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    Les Sept de Chicago
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    Stéphane R
    Stéphane R

    24 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 avril 2021
    film de procès, oui, et c'est passionnant, car formidablement écrit et incarné (j'ai adoré retrouver Jeremy Strong, le yuppie de Succession devenu hippie). Sans doute un peu édifiant, mais si l'on parle beaucoup (c'est du Sorkin), ce n'est pas pour rien, ce n'est pas en vain.
    Jonathan P
    Jonathan P

    67 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 avril 2021
    Politiquement très fort et comme toujours admirablement bien écrit par l’homme à qui l’on doit l’inoubliable série « The West Wing », Aaron Sorkin qui prouve encore ici à quel point l’homme derrière le script de « Jobs » est bien l’un des plus brillants scénaristes qui existent de nos jours. Le film passionne m’étant en lumière l’incompétence du juge Julius Hoffman. Cependant, du côté de la mise en scène il manque toujours un je ne sais quoi, même s’il y a un léger mieux par rapport à « Molly’s Game » en particulier pour les scènes du tribunal qui n’ont pas la même virtuosité que par exemple la série HBO du nom de « Perry Mason », mise en scène par Tim Van Patten et de Deniz Gamze Ergüven. C’est étonnamment un grand film sur la justice américaine. Mais pas un grand film du côté de la mise en scène. Sacha Baron Cohen est impeccable tout comme le toujours excellent Mark Rylance. Encore une B.O magnifique de l’immense Daniel Pemberton. Boulevardducinema.com
    Isaac L
    Isaac L

    8 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2021
    Les sept de Chicago, de Aaron Sorkin, était prévu pour être vu au cinéma, mais Covid oblige, c'est sur Netflix que je l'ai vu. Mais que ça soit au cinéma ou chez soi, ça reste un très bon film porté par un casting excellent et talentueux : Sacha Baron Cohen, Eddy Redmayne, Mark Rylance, Mikeal Keaton...
    Tout ces acteurs vont parfaitement incarné leurs personnages. Je me suis sentit transporté au sein de cette époque, notamment avec la scène d'introduction qui nous présente le contexte politique et social. Le récit est va alterner entre moments présents et flashbacks, ce qui va fluidifier le scénario et rendre le rythme plus supportable. J'ai ressenti de l'empathie pour les protagonistes, ressentant leur indignité quand il savent tous condamné par ce jugement politique. Le film va savoir parfaitement et judicieusement alterner entre ton sérieux et dramatique et touche d'humour très efficace. La mise en scène est efficace sans être incroyable, en revanche le montage est rythmé et nerveux, collant donc à l'atmosphère du film et de sa situation. Enfin, la scène de fin, est plus que jouissive, et laisse apparaître chez le spectateur un sourire de satisfaction.
    Chris58640
    Chris58640

    210 abonnés 757 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 avril 2021
    Quand on voit le film d’Aaron Sorkin sur Netflix, on se prend à vraiment regretter qu’il ne puisse pas être diffusé en salle, quel dommage de priver l’amateur de ce style de cinéma d’un grand film de ce calibre ! Aaron Sorkin, le show-runner de « the West Wing » et de « The Newsroom », le scénariste de « The Social Network » fait avec « Les 7 de Chicago » ce qu’il sait faire du mieux, un film très dialogué sans être bavard, engagé sans être caricatural, militant sans être manichéen, faisant la part belle aux idées, aux idéaux, quitte à être taxé d’idéaliste part les amateurs de cynisme. Sorkin déroule un film de presque 2h10 qui passe tout seul, on est même surpris de voir arriver si vite le générique de fin. Il prend le parti de ne monter les évènements de mai 1968 qu’au travers des flash back, le film commence directement en 1969 après juste quelques éléments de contextes (les images d’archives, ce n’est pas original mais ça fonctionne toujours). Ces flash back, justement, sont disséminés tout au long du procès pour juxtaposer les témoignages avec la réalité des faits, exposant donc clairement spoiler: les mensonges sous serment de la police de Chicago, les mensonges de la municipalité de la Ville, dont la responsabilité dans les évènements est lourde.
    Peu de musique, juste à quelques moments dramatiques ou particulièrement édifiants, une réalisation volontairement très sobre, ce qui normal pour un « court movie » (film de tribunal en bon français). Mais quand même, il y a quelques scènes fortes qui interpellent (celle du bâillon, ou le témoignage de l’ancien ministre de la Justice) qui donne immédiatement envie d’aller sur internet vérifier que ce qu’on a vu à l’écran, de complètement fou, a bien eu lieu et que Sorkin n’en rajoute pas ! Vérifications faites, il n’en rajoute pas, il tord juste un peu la chronologie pour faire tenir son propos en 2h10 (le procès à duré plus de 150 jours quand même !). On peut peut-être, en pinaillant un peu, lui reprocher une scène finale un peu grandiloquente avec la musique et tout, mais allez savoir, il est peut-être là aussi tout près de la réalité. Le film a un casting assez pléthorique, dont on peut malgré tout tirer quelques jolies performances, celle de Jack Rylance surtout, en avocat pugnace, mordant, qui fait l’impossible devant une cour spoiler: volontairement et ouvertement hostil
    e. Il y a aussi celle de Sacha Baron Cohen en hippie, spoiler: en apparence dilettante, en réalité bien plus pointu et intelligent qu’on ne l’imagine (son témoignage à la barre est un moment clef du procès)
    , ou encore celle de Eddie Redmayne en militant démocrate désemparé par un procès qui ne correspond en rien aux valeurs du pays qu’il croyait connaitre. Le Black Panther incarné par Yayha Abdul-Mateen II est également un rôle fort, spoiler: mais il sort de scène au milieu du procès
    . Joseph Gordon Levitt, un acteur que j’affectionne particulièrement, a le rôle difficile du procureur. Un petit regret, son rôle aurait pu être plus écrit, parce qu’on a du mal à la cerner. Il est jeune, peut-être a-t-il des idées peu éloignées des accusés, mais il est contraint par son travail à faire le sale boulot de l’administration Nixon. Si c’est un problème de conscience pour lui, cela aurait pu être montré de façon un tout petit peu moins ambigüe. Scénariste de son propre film, Sorkin sort en la matière l’artillerie lourde pour montrer par A+B combien ce procès est emblématique d’une époque. 1969, les sixties sont terminées, la toute nouvelle administration Nixon vient de se manger 10 ans de présidence démocrate et elle a le couteau entre les dents. Elle veut faire la peau à la contestation de gauche, toute la contestation et ce procès est une sorte de compilation de tout ce qu’elle exècre, les hippies chevelus, les militants démocrates idéalistes, et bien entendu, les Black Panther. La présence de Bobby Seale, alors qu’il ne participait que de façon très marginale aux évènements, est clairement là pour « donner au jury un noir à condamner » spoiler: et ce qui va lui arriver lors du procès prouvera que dans les têtes de l’Amérique Blanche Républicaine, la ségrégation est encore bien ancrée
    . Le Président du Tribunal, incarné par Franck Langella, est soit partial, soit incompétent, soit au début d’une dégénérescence sénile, soit les trois en même temps. Sa conduite des débats parait parfois surréaliste à tout le monde (y compris au procureur !), il est celui par qui l’ambiguïté sera levée, ce procès n’est rien d’autre qu’un procès politique, en 1969, dans la démocratie qui se targue d’être le plus grande du monde. Si certains croyaient au début être jugés normalement, pouvoir honnêtement se défendre, et faire établir la réalité des faits, ils perdent leurs illusions de minutes en minutes. spoiler: Le spectateur, qui ne connait pas l’histoire, attend un coup de théâtre qui ne vient jamais
    . Le film de Sorkin traite d’une époque, 1969, mais son propos est sacrément moderne : la doctrine du maintient de l’ordre, la liberté de manifester, la justice aux ordres, les violences policières, tout ça résonne en 2021 de façon assourdissante ! « Les 7 de Chicago » est un film de cinéma qui n’a pas la chance de connaitre la grande salle obscure, mais c’est malgré tout un bon film, un très bon film un peu « à l’ancienne », comme « Spotlight » l’était dans son genre. On voit trop peu à mon gout du cinéma de ce calibre depuis quelques années.
    selenie
    selenie

    6 241 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 avril 2021
    Le film débute pourtant après les manifestations en question pour se focaliser essentiellement sur le procès des "7" pour un film purement judiciaire. Sorkin est assurément un scénariste talentueux. Il passe en revue les différents courants qui étaient présent des Black Panthers aux Hippies en passant par les pacifistes anti-Viêtnam même si c'est très survolé afin de se focaliser sur les luttes intestines d'un petit groupe. Là-dessus on peut être un frustré sur le personnage de Bobby Seale (Black Panther) qui est délaissé au profit des autres alors que sa présence est sans aucun doute le point fort de ce procès. Dommage... On oscille donc, devant le film, constamment entre le manque de punch et d'audace, de force et d'émotion, puis entre l'incroyable théâtre ubuesque qui nous scotche de par ces procédures insensées. Sorkin signe une fresque passionnante sur un petit pan d'Histoire, riche de complexité à différents niveaux de lecture qui pêche surtout par une mise en scène académique et par un manque de puissance émotionnel. Ca reste un très bon moment et un film à conseiller.
    Site : Selenie
    ceddur
    ceddur

    12 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 avril 2021
    Très grand film, qui montre une facette peu glorieuse des politiques et de la justice.
    Interprétation au top...
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2021
    Second film du scénariste Aaron Sorkin (la série “A la Maison Blanche”, plus récemment le ‘Social Network’ de Fincher), ‘les Sept de Chicago’ relate le procès du même nom, qui s’étala sur près de six mois en 1969 et 1970 : une manifestation prévue à l’occasion de la Convention Démocrate de 1968 avait dégénéré en émeute. Sept militants, issus de milieux et d’organisations diverses furent arrêtés et jugés, sous la pression de la nouvelle présidence Nixon qui souhaitait faire un exemple. On sait le cinéma américain friand de l’exercice de retranscription d’un procès-fleuve et, si cela permet aux spectateurs du monde entier de mieux connaître le fonctionnement de la justice américaine que leur propre système judiciaire, on sait aussi que ces films sont généralement d’un très grand classicisme, plus ou moins statiques et confits de subtilités jurisprudentielles, et qu’ils finiront in fine par célébrer la primauté du Droit, sur-lequel-est-bâtie-la-nation-américaine sur les passions humaines. Comme on est chez Sorkin, on se doute également que le film sera bavard (enfin, encore plus bavard que ses congénères) et on en nourrit tout de même quelques craintes de spectateur paresseux, étant donné que l’affaire est déjà ancienne, qu’elle n’implique aucun tueur en série mythique et que sa renommée en dehors des Etats-unis reste somme toute très relative. Pourtant, le résultat est passionnant...car ce procès, lancé en dépit des conclusions déjà établies par le ministère de la justice de la présidence Johnson qui mettait en cause la responsabilité des forces de police, mal géré par un juge intransigeant, maladroit et partial, va se transformer en farce tragi-comique. Parmi les accusés, on trouve des fils de bonne famille peu préparés à se retrouver sur le banc des accusés mais aussi des militants radicaux, qui défient le juge et perçoivent clairement avant tous les autres la politisation de l’affaire. A côté d’eux se trouve Bobby Seale, un membre des Black Panthers, étranger aux chefs d’accusation et qui arguera , en vain, que l’absence de son avocat ne lui permet pas d’être représenté équitablement. Les méthodes utilisées par le Pouvoir pour obtenir la condamnation des sept accusés deviendront de plus en plus vicieuses et ouvertes, et le comportement du juge tellement erratique et que les prévenus mais aussi leurs avocats perdront rapidement patience et ne parviendront plus à se conformer à la dignité attendue au sein d’un tribunal. Un nombre record d’Outrages à magistrat seront d’ailleurs enregistrés au cours du procès. Quant à l’attorney fédéral, il sera tellement navré par le déroulement des débats qu’il marquera parfois en toute connaissance de cause contre son propre camp. Si on est fasciné par ce procès ubuesque, ‘Les sept de Chicago’ s’impose comme une leçon sur la manière dont le simple déroulé des minutes d’un procès surréaliste, la cadence parfaitement maîtrisée des argumentaires de part et d’autre, mais aussi des acteurs très en forme (mention spéciale à Baron Cohen, à la fois très éloigné et très proche de ses impersonations habituelles) peuvent se conjuguer pour rendre fascinante une affaire judiciaire pour laquelle on pouvait n’éprouver qu’un intérêt poli au départ, tout en lançant quelques ponts implicites vers les vieux démons, toujours d’actualité, de la justice américaine.
    laurent c
    laurent c

    16 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mars 2021
    meilleurs film depuis longtemps.. le mélange archives , les dialogues de très bon acteurs ... une réussite
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 avril 2024
    Avec « Les sept de Chicago » sorti en 2020 pour la plate-forme Netflix, Aaron Sorkin revient sur les évènements historiques du procès de sept individus accusés d’avoir participé à des émeutes contre la politique du gouvernement américain en 1968. Pour éviter l’académisme de sa mise en scène, le réalisateur a intégré plusieurs images d’archives. Malgré tout, le scénario reste classique, et ce sont surtout les joutes verbales entre accusés, avocats et juges qui nous tiennent en haleine. La démonstration d’un pouvoir juridique dominé par les hommes blancs conservateurs est tout de même édifiante. Bref, une œuvre de mémoire souffrant d’un trop grand académisme.
    lograt
    lograt

    10 abonnés 500 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 mars 2021
    Très bien écrit, les acteurs sont excellents. Et ils ont réussi à ne pas tout miser sur des images d'émeutes tout en montrant la violence de la répression. A voir même aujourd'hui même s'il s'agit de la protestation d'une guerre du Vietnam aujourd'hui terminée.
    Adrien Bletton
    Adrien Bletton

    5 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2021
    Rien de tel qu’un ping-pong verbale lors d’un procès pour les férus de joute élocutoire.
    Nul doute sur le domaine de prédilection d’Aaron Sorkin, l’écriture est bien son atout premier.
    Toutefois, le scénariste oscarisé nous prouve qu'il a plus d'une corde à son arc et qu'il s'est aussi s'entourer.
    Outre la performance notable de l'avocat engagé, celle de l'humoriste loufoque qui aime rappeler qu'il peut être plus qu'un Kazakh éxubérant, le casting cinq étoile campe avec justesse des rôles divers et variés.
    À l'exception, peut-être, d'Eddie Redmayne que l'on retrouve encore et toujours dans sa fragilité perpetuelle, à l'inverse de Joseph Gordon-Levitt qui sait souvent se renouveler.
    TUTUR29
    TUTUR29

    32 abonnés 1 115 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mars 2021
    Je me suis pris une vraie claque devant "Les Sept de Chicago", sûrement l'un des meilleurs films que j'ai vu depuis des mois. Tout d'abord, il faut souligner que ce film est réalisé par Aaron Sorkin, qui est plus célèbre pour écrire les dialogues de nombreux autres films à succès comme The Social Network et bien d'autres films de Fincher si je me trompe pas. Et effectivement, ça se sent totalement dans le film : à voir l'affiche et le résumé du film, on pourrait penser à tort que ça va encore être un film qui se contente de raconter un événement historique (certes intéressant) mais qui ne deviendra jamais passionnant car dénué de réelles qualités cinématographiques. Ici, ce n'est pas du tout le cas, et il faut surmonter le préjugé comme quoi Les 7 de Chicago serait un long film politique ennuyant car c'est totalement faux. Aaron Sorkin écrit toujours aussi bien des dialogues, ce qui rend chaque joute verbale passionnante et aussi percutante qu'un combat de boxe. C'est d'ailleurs ce que j'aime dans les dialogues de ce film : ils sont au final tournés comme des scènes d'action ! Ils servent à faire avancer l'intrigue, mais aussi à galvaniser complètement le spectateur devant l'injustice du jugement rendu en 1968. C'est vraiment difficile de rester de marbre devant Les 7 de Chicago tant le message qu'il véhicule est puissant. Des individus qui se battent pour leurs droits et un jugement équitable devant un tribunal pourri jusqu'à l'os, comment ne pas se mettre à la place de ces personnages et ne pas les soutenir ? C'est impossible car Aaron Sorkin réalise ici un film d'une précision chirurgicale au niveau du message politique qu'il transmet. Cela rend les scènes de procès bien plus galvanisantes que n'importe quelles scènes d'action de blockbuster. De plus, Sorkin rythme son film avec une mise en scène simple mais efficace avec beaucoup de changements de plans et d'ellipses temporelles, ce qui donne encore plus de dynamisme aux dialogues. Les ellipses temporelles sont d'ailleurs très bien utilisées et intégrées au montage, on ne ressent pas du tout l'effet du flashback un peu ringard et cliché pour raconter ce qui s'est passé. Mélangés aux dialogues, ces flashbacks se mélangent juste parfaitement au reste du film et ça rend les 7 de Chicago d'autant plus savoureux. Enfin, il faut saluer le travail de tous les acteurs du film qui livrent ici une prestation excellentes et très justes. Bref, Les Sept de Chicago a été une réelle claque pour moi et son intrigue a été prenante de bout en bout, l'un des meilleurs films de cette année 2020 selon moi (à mes yeux c'est même le meilleur).
    Le Video Club De Sabrina
    Le Video Club De Sabrina

    31 abonnés 350 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mars 2021
    1968, Chicago, la convention démocrate doit se tenir dans l'Illinois mais une manifestation en marge de celle-ci va dégénérer en tournant à la bataille rangée avec les forces de l'ordre.

    Les organisateurs doivent répondre de la situation devant le tribunal pour conspiration et incitation à la violence.

    Histoire vraie, les sept de Chicago est un grand film sur une parodie de procès, un procès purement politique duquel l'Amérique ne sort pas grandie.

    La réalisation très classique permet à chaque acteur de s'exprimer et de développer un point de vue comme autant de vérités autour d'un même évènement.

    Le casting prestigieux (Sacha Baron Cohen, Joseph Gordon Levitt entre autres) et l'interprétation sont fantastiques et mettent bien en lumière le simulacre de justice et l'ignominie du juge qu'on ne peut qualifier « d'honorable » !

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    Pamolico - blog
    Pamolico - blog

    11 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2021
    Cet imbroglio cinématographique mêle humour et émotion en revenant sur une page sombre de l'Histoire des États-Unis où racisme et intolérance frayent avec ingérence et hoquets juridique (plus d'infos : https://pamolico.wordpress.com/2021/02/19/les-sept-de-chicago-aaron-sorkin/)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 février 2021
    Un film d'une justesse incroyable!

    Le montage et la bande entraînent une immersion complète dans ce procès passionnant.

    La justice des acteurs et le rythme au cordeau serve une rigueur rare dans le réalisme de la tenue d'un procès aux États-Unis.

    Les personnages sont tous attachants et l'ambiance de l'époque est parfaitement retranscrite.

    2 heures de délices en somme!
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