Avis : Yes Man - Page 10

Un film qui fait réfléchir, même si Carrey est toujours dans ses mêmes outrances. C'est amusant, prévisible mais c'est aussi vrai. Comme disait Antigone d'Anouil, il est toujours plus facile de dire non que oui.

Le genre de film qu'on ne peut comprendre qu'après avoir été éclairé. Dîtes oui aux opportunités de la vie, voilà le message essentiel. Jim Carrey l'embrasse avec la fausse naïveté qui le caractérise. J'ai vu ce film la première fois il y a plusieurs années sans comprendre son sens caché. La lecture des livres de Ekhart Tolle, Lise Bourbeau, Doreen Virtue ou encore les vidéos de Jenna Blossoms ont changé ma perception de ce film. Derrière le premier degré naïf se cache une philosophie de vie bien plus profonde qu'il n'y paraît de prime abord. A (re)voir après une initiation.

Un homme solitaire, à la vie bien rangée, refuse toute perturbation de son quotidien. Jusqu'à ce qu'il participe à un séminaire qui le convainc de répondre affirmativement à toute proposition, aussi saugrenue soit-elle. On retrouve dans "Yes Man" la structure typique de la comédie façon Jim Carrey (on pense à "Bruce Almighty" ou "Liar Liar"), cependant celui-ci demeure plus sobre qu'à son habitude. A l'instar des gags, qui évitent le potache alors qu'il aurait été facile de tomber dans ce piège. Pour autant, "Yes Man" manque quelques peu de punch. Si quelques idées sont bien trouvées, les situations auraient pu être plus délirantes, et la morale est un peu facile. Et s'il on apprécie Zooey Deschanel en femme excentrique convoitée par notre héros, son rôle est très conventionnel. Un comédie au résultat mitigé.

Une sympathique petite comédie avec un J. Carrey sobre la plupart du temps mais qui prouve encore au détour de quelques séquences qu'il est encore capable de quelques délires inimitables. Le scénario est assez simple et réserve même quelques bons délires. Le casting est impeccable et joue sa partition à la perfection. Du côté de la mise en scène, P. Reed vient d'être mis en lumière quand il a été choisit pour faire "Ant-man" et si il est indéniable qu'il a moins de génie que E. Wright, ses compétences techniques sont assez bonnes avec à la clé quelques plans et quelques idées de mise en scène assez spectaculaires. Pas vraiment de surprise dans ce film mais rien de décevant non plus, c'est drôle et sympathique.

Une comédie avec Jim Carrey ça ne se refuse pas, un acteur aux multiples facettes resté culte à travers deux décennies c'est un petit exploit en somme, "Yes Man" m'avait filé entre les doigts en 2009 il était temps de rattraper mon retard.

L'exubérant Jim joue ici le rôle de Carl un homme divorcé qui (sur)vie dans la morosité du quotidien, filtrant les appels téléphoniques de ses amis, ne bougeant pas de son appartement, et un jour il découvre une méthode miracle où une sorte de gourou lui dicte sa nouvelle philosophie : dire "oui" à la vie. Prenant ça au pied de la lettre il va changer du tout au tout pour devenir un autre homme et repousser ses limites.
Un film qui joue aussi bien du registre de la comédie que celui de la romance, Jim Carrey fait ses pitreries qu'on lui connaît en gardant toujours ce côté terriblement attachant, un rôle taillé sur mesure pour lui, il a démontré à maintes reprises par le passé qu'il pouvait alterner son jeu sans trop de difficulté, il est excellent et brille totalement. Certaines scènes sont irrésistibles comme celle de la baston derrière le bar ou de la course en Ducati, c'est un des rares acteurs qui peut me faire éclater de rire avec presque rien, on peut vraiment dire qu'il fait le taff à 80%.
Puis Carl va rencontrer Allison, une espiègle musicienne interprétée par la délicieuse Zooey Deschanel, et va en tomber amoureux, le couple passe plutôt bien à l'écran notamment grâce à cette mise en scène pétillante, les situations romantico-édulcorées sont sympathiques.
Après reste à savoir ce que veux exactement ce film, faire passer un bon moment ou un message ? J'imagine que c'est un peu des deux mais justement j'ai trouvé l'approche du message un peu confus et favorable aux facilités narratives, dire "oui" à la vie était une bonne idée de base mais quel homme sensé serait à même de faire cela de manière non-arbitraire ? On dirait presque que Carl est devenu un robot déshumanisé (ou humanisé ça dépends des points de vue plus ou moins démagogues), c'est amusant au début mais cela tombe allègrement dans l'exagération inutile pour profiter des situations loufoques (même si elles sont savoureuses), on fini par se perdre dans la tangibilité de l'histoire, et puis la réaction de Allison lorsqu'elle apprends cela s'apparente plus à une ficelle narrative, pour cette fois faciliter la trame du registre romantique, sans vraiment de réflexion humaine. Ou alors c'est que je me prend trop la tête je sais pas ...

Au final "Yes Man" est une comédie semi-romantique qui tente de poser des enjeux ambitieux mais qui se fait piéger lui même par son registre codifié et son acteur, qui même par son énorme talent et son interprétation n'arrive pas à cacher les défauts du scénario. Cependant ça reste forcément un bon moment et on rit à de nombreuses reprises.

Encore une bonne comédie avec Jim Carrey. Le scénario est astucieux avec cet homme dépressif , qui décide de changer d'attitude et de dire oui , à toutes les propositons. Cela va changer le cours de sa vie. La comédie est solide, Carrey en fait un maximum mais de manière très efficace . Les gags sont bons , on ne s'ennuie pas une seconde. Un bon spectacle à voir en famille.

Encore une fois un Jim Carrey en grande forme qui bonifie un pitch assez simpliste. Comme souvent, il est déchaîné et balance des punchlines à tout va, évidemment ça fonctionne et ses mimiques sont hilarantes. Il arrive finalement même à nous faire oublier que Yes Man est tout de même dans le fond une comédie romantique plutôt mièvre, mis à part la fraicheur de son casting d'ensemble. Un bon moment en bref.

Jim Carrey est de retour non pas dans ce qu'il sait faire de mieux puisqu'il s'adonne également à de grands jeux côté dramatique mais dans ce qui l'a fait connaître et apprécié de tous...La comédie burlesque et grimaçante qu'il nous offre est d'une juste mesure. Ni plus ni moins qu'un bon petit film...pour un comédien qui débuterait dans ce genre. Or, ici nous avons un des pitres les plus "élastiques facial" du cinéma. C'est en ça que la déception pointe son nez. L'histoire est d'un classique convenu et déconvenant. Cela reste gentillet, quelques idées originales, des sourires mais de rares rires. Terrence Stamp fait une jolie (et courte) partition de gourou "yes"..;malgré tout cela on reste sur sa fin devant une réelle originalité contante dans le développement de cette histoire. Il reste simplement quelques moments éparses et rares de farces visuelles et sonores. On en reste donc sur un bilan de qq farces posées ça et là faisant mouche et Carrey nous offrant un (réel) minimum syndical.

J'ai un souci avec Jim Carrey. Et il est le même que pour De Funès. Leur comique appartient à leur époque. Autrement dit, Carrey quand il fait The Mask, Ace Ventura ou Menteur, menteur, il est à hurler de rire. Aujourd'hui, ses grimaces me gênent plus qu'autre chose car de l'eau a coulé sous les ponts. Surtout qu'elles ne sont pas appropriées à un film romantique où j'apprécie un peu de sobriété. Parce que Yes Man est un film romantique. Un homme qui se met dire oui à tout comme par hasard voit tout à coup toutes les portes s'ouvrir devant lui. Mais l'effet est de courte durée. Car il est nécessaire, parfois, de savoir dire non. Pire, dire oui alors qu'on pense l'inverse, c'est se mentir à soi-même. Mentir aux autres. Je ne crois pas vraiment à cette thèse consistant à être positif pour que les choses marchent. C'est plutôt une question de destin, de hasard, de coïncidence que d'état d'esprit. De planètes correctement alignées à un moment précis. On pourrait en débattre. C'est traité sur le ton de la blague dans Yes Man donc je ne vais pas forcément tout prendre au premier degré. C'est là où on voit les limites de l'impact du cinéma sur notre propre vie. Il ne suffit pas de dire oui à tout bout de champ et à tomber en panne dans un trou perdu pour conquérir Zooey Deschanel. Et ça, c'est très, très triste.

Plaisant et bien rythmé même si « Yes Man » reprend énormément de paramètres de « Menteur, Menteur ». En bonus, la présence de la jolie Zooey Deschanel.

un film pour positiver qui comprend un grand nombres de scènes amusantes avec un Jim Carrey qui assure son abattage habituel pour le reste il ne faudra pas en demander trop.

bon film, il y a plein de bonnes blagues drôles et lidee est super originale, Jim Carey est très a laise dans ce film, on passe un bon moment.

Vous pouvez penser ce que vous voulez du Nombre 23, il faut bien admettre que le thriller de Joel Schumacher nous avait révélé Jim Carrey sous un autre jour. Et pour cause, l’acteur adepte de la loufoquerie assumée et sa gestuelle/mimique hors du commun s’était retrouvé à jouer avec une profondeur et une noirceur que l’on ne lui connaissait guère. Après un passage au doublage (Horton), l’acteur nous revient dans ce qui sait faire le mieux : une comédie délurée où Carrey peut user de son corps élastique pour nous faire rire. Occasion qui se présente donc avec Yes Man. Retour en force ?


Carl Allen est au point mort. No future... jusqu'au jour où il s'inscrit à un programme de développement personnel basé sur une idée toute simple : dire oui à tout ! Carl découvre avec éblouissement le pouvoir magique du "Yes", et voit sa vie professionnelle et amoureuse bouleversée du jour au lendemain : une promotion inattendue, une nouvelle petite amie... Mais il découvrira bientôt que le mieux peut être l'ennemi du bien, et que toutes les occasions ne sont pas bonnes à prendre...
Yes Man ne serait-il pas un mélange des dernières comédies de l’acteur ? A savoir un scénario quasi identique à Menteur, Menteur, et la gentillesse de Bruce Tout-Puissant ? En lisant le synopsis et en regardant la base du film, il est même évident que le film s’inspire de ces deux prédécesseurs. Mais encore fallait-il que Yes Man soit à leur hauteur ! Ce qui n’est, malheureusement, pas le cas… Le film prend aussitôt le pas de Menteur, Menteur en nous présentant un personnage paumé qui va devoir dire oui à chaque fois (c’était la vérité dans le film de Tom Shadyac), jouant des situations présentées et de l’acteur pour nous faire rire aux larmes. Des rires qui, finalement, ne parviennent que trop rarement ! Parce que, personnellement, je m’attendais à une comédie délurée digne de The Mask ou Ace Ventura, et se montre être à la place une niaiserie rarement drôle. Les moments se veulent loufoques (empêcher un mec de sauter du haut d’un immeuble par une chanson, la course finale sur scooter en tenue d’hôpital…) et pourtant, ces séquences ne semblent jamais s’élever comme cela aurait dû. Sans compter qu’elle semble empêcher Jim Carrey de se déchaîner comme avant (juste une grimace ou deux…). Non, Yes Man est niais, pas si marrant, limite débile et donc décevant sur le plan de la comédie à la Carrey. Il ne reste que l’histoire d’amour, classique et sans originalité, mais qui permettent quelques passages mignons à regarder entre les personnages de Carl Allen et Allison. Les instants plus sérieux étant, en quelque sorte, bien plus intéressant à suivre que le côté comique de l’ensemble.

Il faut bien avouer également que les acteurs semblent plutôt s’amuser. En particulier le couple principal de l’histoire. Il faut dire qu’il n’y à qu’eux à l’écran, les seconds rôles étant carrément laissés en arrière-plan. Même si Bradley Cooper semble sortir par moment du lot pour son rôle de meilleur ami. Il en reste pas moins un « figurant » face à Jim Carrey, certes bien trop sage pour une comédie qui se veut déjantée, qui se sent dans son élément. Aussi bien dans la comédie que dans les séquences sérieuses et sentimentales. En même temps, il trouve en la personne de Zooey Deschanel une partenaire à sa hauteur, toute mignonette, toute gentille. Qui arrive à rendre leur duo très attachant. Si vous devez voir Yes Man, c’est bien pour ce couple où règne une alchimie (presque) parfaite.

En résumé, Yes Man n’est pas la comédie déjantée qu’avaient pu être Menteur, Menteur, The Mask, Ace Ventura, Fou d’Irène, Disjoncté, Dumb and Dumber, Bruce Tout-Puissant et même Braqueurs Amateurs. Non, Yes Man est une comédie, dans un sens, loupée, n’étant pas aussi drôle que prévue. Ne laissant à aucun moment Jim Carrey se déchaîner comme il aime le faire. Non, il faut voir Yes Man comme un film rose bonbon sans grand intérêt et sans originalité, qui doit toutefois être regardé pour son couple vedette, c’est tout ! Passé inaperçu en salles, Yes Man s’oublie vite fait une fois vu, ce qui ne change rien au final…

Je surnote peut-être ce film car je l'ai vu au cinéma quand j'avais 14 ans avec ma soeur et il nous avait beaucoup plu à l'époque. Aujourd'hui, j'ai grandi et je me suis fait une culture ciné que je n'avais pas à l'époque.

Evidemment, après l'avoir revu, j'identifie aisément de nombreuses faiblesses : des personnages niais, un concept original mais qui contient de nombreuses failles (que se passe-t-il si tel personnage demande à Carl de ne plus l'appeler ? C'est la fin du film ?), etc ...

Néanmoins, "Yes Man" apporte une énergie positive au spectateur. Jim Carrey n'en fait pas des tonnes mais il a son éternelle énergie communicative et le met au service d'un message qui pourrait se résumer par "Carpe diem".

Et ce mantra sera l'occasion de péripéties drôles et divertissantes. C'est ce que j'en retiens : la sensation d'avoir vu un bon divertissement, avec un joli message et quelques passages assez drôles. J'assume donc de peut-être l'avoir surnoté mais il me fait passer un bon moment et c'est l'essentiel.

Une comédie à la fois drôle et pleins de bons sentiments. Le scénario est bien trouvé sur l'histoire d'un homme qui est au point mort jusqu'au jour ou il se retrouve à un programme de développement sur une idée toute simple : dire oui à tout. Ce changement va voir sa vie professionnelle et amoureuse bouleversée du jour au lendemain. Le duo Jim Carrey et Zooey Deschanel est attachant et le reste du casting est sympa : Bradley Cooper, John Michael Higgins, Rhys Darby, Danny Masterson, Sasha Alexander et Terence Stamp.