Avis : Judge Dredd - Page 3

Un bon film de science fiction. Les effets speciaux son pas trop mal fait pour l'epoque même si faut avouer qu'ils ont pas mal vieilli on est a la limite entre le mauvais et le bon comme 90% des stallone si on oublie le côté vieillot du film on passe un bon moment nostalgie de monde enfance pour ma part après faut avoué rien de bien fous non plus

ATTENTION ATTENTION NAVET!!! ATTENTION ATTENTION N'ALLEZ PAS LE VOIR!!! ATTENTION ATTENTION... NAVET!

Voilà donc le premier Judge Dredd. Cela faisait un moment que je voulais le voir, et je m’attaque donc à sa critique aujourd’hui.
Franchement, pour commencer, l’interprétation est sur le papier plutôt enthousiasmante, avec une distribution encourageante. Au final, sans être mauvais, les acteurs sont loin d’être au top. Stallone est plutôt bien. Il ne se montre pas archi-sérieux, conscient sans doute du caractère totalement décomplexé du film, et de son potentiel kitsch puissant. Livrant une prestation toute en muscle, il dispose de dialogues assez ridicules, et du coup accentue souvent le coté second degré de son personnage. Cela évidemment dénature sans doute le héros originel, mais évite au film de sombrer. A ses cotés, Diane Lane. Elle est assez effacée en fait. C’est dommage, mais visiblement elle a du mal à s’imposer, et je ne suis pas sur qu’elle soit dans son élément. Sa prestation n’est pas géniale. Armand Assante lui est dans la veine de Stallone. C’est le méchant super méchant bien caricatural, qui volerait sa sucette à un gamin ! Il colle bien au rôle, même si parfois il cabotine quand même outrageusement. On notera un Rob Schneider pas trop mauvais, bien que l’on aurait clairement pu éviter d’accentuer l’aspect pseudo-comique de ce film. Max von Sydow et Jürgen Prochnow complètent le casting principal. Ce sont plutôt des atouts, même si Prochnow est assez décevant.
Le scénario est sobre, mais pas désastreux non plus. En fait si l’histoire offre peu de relief, et se conclue sans surprise aucune, il y a du rythme, des rebondissements, quelques moments musclés à la Total Recall qui font leur effet, et un univers assez prenant. Globalement celui qui n’est pas trop exigeant trouvera pleinement son compte ici, avec un mix de lieux communs de la SF, qui certes ne se marient pas toujours fort bien, mais donnent au final un métrage divertissant.
Visuellement, Judge Dredd s’en sort bien. La mise en scène n’est pas parfaite, mais dans l’ensemble elle est alerte, et offre aux scènes d’action une réelle lisibilité. En plus Danny Cannon était ici dans l’une de ses premières réalisations, et si ensuite il s’est surtout tourné vers la télévision, il offrait un travail prometteur. La photographie ne manque pas de charme. Elle est d’un bon niveau, bien qu’elle fasse son âge. Elle est propre et soignée, mais on sent que le film n’est pas sorti dans les dix dernières années. Les décors eux sont fort réussis, avec un univers futuriste de qualité. Il y a des vues urbaines audacieuses, et quelques plans très bons. Dommage par contre que les costumes ne soient pas au niveau, avec des juges que l’on dirait habillés en plastique. Enfin les effets spéciaux sont encore très convaincants. En dehors d’une ou deux scènes dépassées (notamment une explosion), l’animation du robot par exemple est toujours tout à fait au point. Enfin la bande son correspond à l’univers du film. Pas déplaisante, elle ne marque pas non plus plus que cela.
En somme, Judge Dredd n’est pas un mauvais film. Il se rate clairement en voulant donner une dimension tous publics au héros, ce qui était impossible. Du coup il est clair qu’il sombre parfois dans le ridicule, et que les gags tombent la plupart du temps à plat. Doté aussi d’éléments bien ringards comme les épaulettes en plastique des juges que j’évoquai plus haut, il bénéficie quand même d’une interprétation globalement pas mal, de scènes réussies, surtout coté action, et se montre assez propre sur la forme. Il mérite à mon sens un 3.

Hollywood a décidé de s’attaquer à un gros morceau de la culture comic en adaptant le célèbre Judge Dredd. Et, comme à chaque fois qu’une adaptation voit le jour, les fans sont partagés entre joie et peur (et je les comprends largement !). Mais bon, le début du film nous rassure : la représentation du monde et surtout de Mega City One colle parfaitement à la vision d’origine. Lorsque Dredd arrive, on est content de retrouver le juge sur sa fidèle moto avec sa fameuse armure et son casque (d’ailleurs, à ce sujet, bravo au costumier qui a fait un boulot impeccable !), puis lorsqu’il commence à s’adresser aux gangs qui se tirent dessus, on retrouve notre personnage droit et inflexible qu’on adore ; et on arrive même au plaisir extrême lorsqu’il règle le problème lors de son intervention musclée avec sa fidèle arme à munitions multiples !! Bref, ça démarre sur les chapeaux de roues et on en redemande !! Malheureusement, la suite se gâte énormément et cela est principalement dû au fait qu’ils ont voulu mettre plein d’éléments du comic au sein de leur scénario. Ce dernier repose sur deux histoires, celle de Rico Dredd et celle du juge Cal : 01) dans les comics, Rico est le « frère » (en fait son clone) de Joseph Dredd et tous deux deviennent juges. Rico étant bien plus doué que Dredd, il devient vite un juge incontournable et respecté. Malheureusement, après une mission d’entraînement dans les Terres Maudites où il fut blessé, Rico commença à changer, à devenir de plus en plus agressif et se mit à commettre des délits (extorsion, racket et même le meurtre d’un juge haut placé). C’est Joe lui-même qui l’arrêtera et Rico fut condamné à une peine de 20 ans de travaux forcés à purger sur la prison Titan. Rico survit à sa peine, revient à Mega City One pour se venger lors d’un duel avec son frère. Joe remporta le défi en abattant son frère. 02) concernant le juge Cal, il était à la tête de la brigade spéciale de la magistrature, l'unité des affaires internes craint par tous les juges, chargée d’éradiquer la corruption dans le département de la justice de Mega-City. Il était connu pour être ambitieux et d'espérer d’être un jour le Juge-Chef. Afin d’arriver à ses fins, il fera accusé Dredd de meurtre, se débarrasser du Juge-Chef en titre et commençant soin règne de terreur en lobotomisant les juges pour qu’ils lui soient totalement dévoués. Bien entendu Dredd reviendra de son exil des Terres Maudites, prouve son innocence et organise une révolte avec les habitants de la mégalopole pour renverser le tyran. Donc pour faire simple, dans le film Cal est remplacé par le juge Griffin (qui est pourtant dans le comic un allié droit et honnête de Dredd) et celui-ci est de mèche avec Rico, qu’il vient d’aider à s’échapper de sa prison, pour prendre le contrôle de Mega City One en créant des clones de Rico avec la même technologie qui avait permis de créer Rico à partir des cellules de Dredd. Et pour ne pas être importunés, il accuse Dredd des meurtres que Rico vient de commettre à son retour pour l’exiler dans les Terres Maudites. Rajoutons à cela que Dredd, lors de son exil, sera capturé par les membres du gang Angel, relégués ici à de simples fanatiques religieux et cannibales, qui sont vite expédiés comme le combat avec Mean Machine qui dure à peine deux minutes !! (ce qui est dommage quand on connaît le personnage…et le peu de temps à l’écran est d’autant plus décevant quand on voit la qualité du maquillage que porte Christopher Adamson : tout ça pour si peu c’est vraiment du gâchis, aussi bien scénaristique que budgétaire !) ; ainsi que la présence du juge Hershey, qui est ici juste coéquipière de Dredd (dans le comic, elle est carrément Juge Suprême). Sinon, c’est tout : pas de trace d’autres juges (comme Anderson ou Fish) ni même des fameux juges noirs (oui, je sais : j’entends déjà vos hurlements de mécontentements…mais bon, c’est un choix)…par contre, ils ont crée un personnage de toute pièce : l’horripilant sidekick pourri qu’est Fergee, qui n’est là que pour faire de l’humour stupide pour le jeune public (comme si c’était la cible principale du film….et en plus il est interprété par l’insupportable Rob Schneider…mon dieu, j’en ai encore du sang qui coule de mes yeux et de mes oreilles !!) Voilà le gros problème du film : à force de vouloir faire original et de ne pas trop décevoir les fans du comic, le film s’embourbe dans sa trame et oubli même l’essence de Dredd : l’action hyper bourrine et sanglante (c’est un comble tout de même !). Au final on retiendra tout de même la bonne prestation de Stallone qui est finalement un bon Dredd (même si son statut de star l’oblige à être vu et reconnu à l’écran, lui faisant commettre l’impardonnable blasphème pour les fans : Dredd sans son casque !!!) et qui a le mérite de nous faire rire en sortant certaines phrases qui font ressortir un énorme paradoxe entre la réalité des choses et son comportement (sortir à ses collègues « cette pièce est pacifiée » après avoir flingué tous les types à l’intérieur ou lorsqu’il répond à la question de Hershey par : « Emotions ? Cela devrait être interdit par la Loi !! »). Max von Sydow joue toujours aussi juste (et en toute simplicité, ce qui est honorable quand on sait le monstre sacré qu’il est !) et Jürgen Prochnow nous campe un méchant vicieux très convaincant…non la grosse déception revient au personnage de Rico car son interprète, Armand Assante, surjoue totalement : cela finit par donner l’impression qu’ilm cabotine à mort, annihilant ainsi tout charisme, le rendant même ridicule à 100%...quand on pense que le réalisateur voulait au début Christopher Walken mais qu’il était trop occupé sur d’autres tournages, on est encore plus déçu ! On peut aussi noter l’effort apporté à la bande originale : même s’il ne s’agit pas de son meilleur travail (la trilogie "Retour Vers le Futur", "Qui veut la peau de Roger Rabbit ?", les deux "Predator", "Abyss"), le score d’Alan Silvestri correspond bien au côté épique et fantastique de l’univers de Dredd.
Sans être une catastrophe, Judge Dredd rate vraiment le coche en nous proposant une adaptation à demi-teinte. Peut-être aurait-il mieux valu ne pas se militer et aller au bout des choses, respecter plus le comic d’origine. Judge Dredd reste un divertissement honnête avec une bonne esthétique mais plombé un scénario mal ficelé. Au final, c’est tout juste moyen. Peut-être un jour aura-t-on une meilleure adaptation de ce personnage si intéressant, allez savoir.

J'ai pris un coup de vieux en revoyant ce film que j'avais trouvé correct au moment de sa sortie , tout est beaucoup trop kitch .

"Cette pièce est désormais pacifiée !", "J'étais sur que vous diriez ça...", "Pirates de la terre de malédiction...assassins, charognards, et avant tout, sacs à merde !". Pas de doute, c'est Stallone qui parle. Et c'est clair que c'est pas un chef d'oeuvre. Mais qu'est ce que c'est bon ! Stallone comme on l'aime, qui ne fait pas dans la poésie, avec du comique bien lourd qui nous plie en deux de rire, de l'action à tour de bras, des flingues en plastiques plus grands que les bonhommes qui les utilisent (mais c'est pas la taille qui compte, c'est la façon dont on s'en sert). Du grand navet pur premium platinum, à voir d'urgence !

Un subtile mélange entre Buzz l' éclair et Simple Jack qui m' a subjugué autant de part les performances des acteurs que part des dialogues tenaces et aboutis. Je suis resté troublé dès le début après avoir vu un être bodybuildé en collants moulant, munis de chaussures buffalo et d' un plastron power ranger en PVC flambant neuf faire ces galipettes, j' ai tout d' abord cru que c' était une vidéo d' avant film promotionnelle pour une soirée SM chez Michou. Ce personnage à commencer à m' énerver quand j' ai vu qu' il ne possédant que 5 mots à son vocabulaire et qu' il tentait de monopoliser toute l' attention du film. Malgré des décors qui tentent de rattraper quelque peu le tout, le fossé qui pourrait emmener ce cataclisme de mauvais gout vers un film moyen, est encore trop profond pour que ce nanar atteigne le niveau respectueux de la médiocrité. Une douloureuse pensée aux gens qui ont payés pour voir cette magistrale daube et qui pour la plupart doivent essayer, encore aujourd' hui, d' effacer se triste souvenir de leur mémoire.

Excellent casting réunis dans ce film riche en effets spéciaux qui nous entraine de façon réaliste dans l'enfer de Méga City One. Enfin un film prestigieux que ce personnage culte méritait.

Film plutôt mauvais dont le seul intérêt est de voir Sylvester Stallone au meilleur de sa forme (entre le costume et les phrases cultes, il faut dire que ça vaut le coup!).

« La loi c’est moi » crie dans ce film Stallone, tel un Louis XIV futuriste ! C’est tout ce que je retiens de ce film incroyablement vide. Ah si, je retiens aussi les costumes absurdes… Et les motos aussi… Et les décors… Et l’hIstoire… Et les opposants. Non, désolé, mais en fait, quand on se rappelle de tout, on se rend quand même bien compte que ce film, c’est juste une grosse série Z qui tache…

J'avais détesté ce film à l'époque: pur action movie des années 90 ultra prévisible, adaptation totalement ratée d'un univers culte sacrifié sur l'autel des blockbusters hollywoodiens. En le revoyant aujourd'hui, j'apprécie énormément ce côté too much d'un gros bourrin de Dredd caricatural qui nous pond quand même des répliques cultes au kilomètre: "la loi, c'est moi!i", "je risque quoi? la vie?-non, la mort". Pas sûr que ça ait été conçu comme du second degré à l'époque, mais c'est aujourd'hui de la série Z de luxe, et Stallone est nettement plus convaincant en Dredd que Karl Urban, même si je préfère la dernière adaptation.

Bon film d'action futuriste assez sympathique à regarder. Stallone toujours aussi bon dans ce qu'il fait mais faut pas lui demander plus.

Découverte de JudgeDredd. Blockbuster bourrin des années 90 qui s'embourbe dans un scénario simpliste et des effets numériques atroces. Les inspirations à Star Wars et Total Recall n'y changent rien. On conseille d'avantage la version de 2012.

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Un très bon film de science-fiction des années 1990 avec Sylvester Stallone , Diane Lane, Max von Sydow et Jurgen Pruchnow .

Intrigue pathétique, mythologie moisi, décors très moche et réalisation très moyenne. Rien n'est bon dans ce film. Même pas l'imposante présence de Stalone.