Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
5,0
Publiée le 13 juillet 2009
voici donc le film le plus étrange et malsain que je viens de voir en DVD figurez vous. son réalisateur michele saovi semblait en perte de vitesse juste après son second long métrage: le sanctuaire. mais heureusement pour nous fan de la première heure, il nous revient avec un film encore plus réussit que son bloody bird. alors que raconte au juste ce film bien étrange, une série de meurtres pratiqué par une secte, oui certes mais là n'est pas vraiment les vrais réponses de ce long métrage qui serait plus un bon moyen pour philosophé un brin à vrais dire. nous ne savons pas à vrais dire ce qui va arrivé à l'héroïne pendant tout la durée du film, et puis ses petites scènes scabreuses qui arrivent au moment ou on s'y attend le moins en fait un film bien à part et surtout inhabituelle. rarement sont les films de cette acabit là dans le domaine du fantastique et de l'horreur. à voir absolument dans tous les cas possibles.
Les 10 premières minutes de La Secte (titre français de La Setta) ne semble pas présager un très bon film, on se dit que l'on va avoir droit à du petit bis italien mais ce film d'épouvante débute réellement entre la rencontre avec l'étrange vieillard incarné par Herbert Lom et la jeune institutrice jouée par Kelly Curtis (fille de Janet Leigh et Tony Curtis) et là La Secte s'avère dans l'ensemble plutôt un très bon film dans son genre. La Secte joue essentiellement sur une atmosphère mystérieuse et inquiétante plus que sur le gore (très peu présent dans le film) spoiler: mais on a droit à quelques scènes qui vous feront retourner l'estomac comme cet insecte s'introduisant dans le nez , La Secte s'offre même une scène onirique de toute beauté. Au niveau du scénario tout reste très vague mais on s'en fiche un peu ; à partir des années 80 le cinéma d'horreur s'appauvrit mais quelques films auront un sursaut de qualité à l'exemple de La Secte produit par Dario Argento et réalisé par Michele Soavi.
Un film de Michele Soavi produit par Dario Argento (1990) Un film d'horreur raté et ahurissant de médiocrité, c'est horriblement mal joué, c'est laid, c'est long, c'est bavard, c'est mal foutu, c'est n'importe quoi. A noter la présence d'un joli petit lapin blanc mignon comme tout, le seul intérêt de ce pauvre film .
Étrange production mise en boite par un réalisateur pas trop mauvais dans le genre mais qui ici se convainc guère. Une jeune enseignante prise pour cible par une secte sataniste. En gros c'est tout ce que j'ai retenu de ce film d'horreur assez incompréhensible puisqu’il tente de jouer la narration de façon alambiquée. On se perd donc à essayer de comprendre mais rien n'y fait, je n'ai rien compris et le film, pourtant zébré de moments horrifiques, m'a profondément ennuyé. Le cinéma de genre qui a de l'ambition je dis mille fois oui, mais ce "La Secte" manque de limpidité et/ou d'humilité.
« La secte », sorti sur les écrans en 1991, est le troisième long métrage de Michele Soavi que l’on peut considérer comme un disciple de Dario Argento qu’il a assisté sur trois de ses films (« Ténèbres », « Phenomena » et « Opéra ») avant de passer à la réalisation en 1987 avec « Bloody Bird » pour lequel selon la tradition transalpine héritée des années 1960, il recycle un genre auquel il apporte sa singularité. Ici, le slasher alors un peu en perte de vitesse Outre-Atlantique. A la suite « Sanctuaire », produit par Dario Argento lui-même, s’inspire du gothique moyenâgeux sans convaincre complétement. Le jeune réalisateur qui n’a pas encore abandonné l’assistanat, semble encore en apprentissage. « La secte » est à nouveau produit par Dario Argento qui cette fois s’implique assez intensément dans le projet. Le résultat est plutôt probant, « La secte » pouvant s’inscrire dans la lignée des derniers films d’Argento où l’onirique se marie avec l’horrifique au sein d’exercices de style visuels, permettant le développement d’une approche esthétique n’ayant pas à s’encombrer d’un fil narratif contraignant. Ces films sont sans doute les plus hermétiques du maître du giallo. On peut donc dire que Michele Soavi est sous une influence bénéfique qui lui permettra trois ans plus tard de réaliser en complète autonomie avec « Dellamorte Dellamore », son chef d’œuvre en jouant à fond sur un humour noir et une dimension poétique que l’on sentait déjà poindre dans « la secte ». Notamment dans le choix et la manière de filmer la très gracile Kelly Curtis, sœur de Jamie Lee Curtis, mais aussi dans l’exposition de certaines scènes où la violence n’est pas aussi frontale que chez Argento. Le scénario sans grande cohérence narrative, on l’a dit, n’est pas le point essentiel du film qui, situé d’abord aux Etats-Unis cherche à faire de Kelly Curtis la petite sœur de la Mia Farrow de « Rosemary’s Baby » (Roman Polanski en 1968) puis passant en Allemagne, la cousine de Jessica Harper, l’héroïne inoubliable de « Suspiria » (Dario Argento en 1977). Les analogies géographiques proposées ici seront peut-être jugées hasardeuses mais il demeure incontestable que les trois actrices offrent à la caméra le même regard de biche effrayée face à une transformation de leur quotidien, devenu angoissant, qu’elles ne comprennent pas. La grande trouvaille du film est le tunnel qui, situé dans la cave de la jeune institutrice interprétée par Kelly Curtis, mène jusqu’en enfer et que Soavi utilise à merveille grâce à des artifices techniques ingénieux révélés dans les bonus de la très belle édition B-ray proposée par « Le chat qui fume ». « La secte » s’il contient quelques longueurs et répétitions, constitue une très bonne approche avant de passer à «Dellamorte Dellamore », acmé de la carrière d’un Michele Soavi très parcimonieux de son talent (sept films en trente ans de carrière).
Moins prisé que Sanctuaire, La secte est pourtant loin d’être une œuvre mineure. Pour moi, elle annonce clairement le style très visuel, et parfois démentiel du Soavi responsable de ce chef d’œuvre qu’est Dellamorte Dellamore. Certes, l’économie est encore au bis avec la Secte, mais l’atmosphère angoissante est savamment distillée durant les deux heures de projection, sans que l’on trouve le temps long. La grande réussite vient d’une réalisation folle et terriblement audacieuse pour l’époque, mais aussi d’idées en apparence saugrenues qui viennent pimenter une histoire assez classique pour qui a vu Rosemary’s Baby. Les acteurs sont nettement mieux dirigés que dans les deux premiers ouvrages de Soavi, même si certains sont encore peu expressifs. On saluera notamment le talent d’Herbert Lom. Mais la sœur de Jamie Lee Curtis ne s’en tire pas trop mal non plus. Bref, une œuvre intrigante qui n’appartient finalement plus vraiment au pur film de genre et se love dans un cinéma à la lisière de l’auteurisme.
Je n'attendais pas mieux de ce film si ce n'etait pire. Le début est assez réussi, nous nous posons beaucoup de question sur cette secte. Et puis plouf, le film s'écroule avec une fin totalement décevante. Le film est fauché donc les effets spéciaux, pas terrible. 3.7/10
La secte est un film assez étrange au premier abord qu'il convient surtout de ne pas négliger. Parfois plusieurs visionnage sont nécessaires pour en comprendre la subtilité de certaines scènes et celui ci n'échappe pas à la règle. Ce qui peut parfois sembler incongru doit être replacé dans le contexte de l'époque et si quelques scènes sont parfois passables, l'ensemble de l'œuvre est vraiment intéressante. L'édition du Chat qui Fume très riche en bonus et explications apporte ainsi un éclairage à ce qui pourrait passer pour un film mineur et qui, pour ma part, ne l'est pas du tout. Les 50 dernières minutes se déroulant de nuit quasi en temps réel rehaussent l'œuvre de manière incroyable. L'onirisme se marie avec les scènes d'action et même si le rapprochement avec Rosemary's baby n'est pas loin, il s'en démarque et propose une nouvelle vision du thème. Le système D est de mise, pas beaucoup de moyens mais compensés par des trucages et une imagination des plus fertiles du réalisateur. En conclusion, un film que je revois avec beaucoup de plaisir.
Film bien realisemais au narratif confus ou inexistant. Si les temps sont venus pour la secte satanique des Sans Visage, c'est davantage leur proximite avec une porte de l'Enfer qui est a l'origine des evenements qu'une action construite de leur part. Le fantastique et l'effet visuel priment donc sur le thriller ou le policier..