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Un visiteur
1,0
Publiée le 9 août 2009
Grosse déception finale malgré une bande annonce prometteuse. Ces trois parties semblent avoir été réalisées par trois réalisateurs différents...On s'ennuie ferme, les acteurs font le maximum mais le scenario ne prend pas. Seule la dernière partie avec le vieux boucher sourd est surprenante. Quel dommage
Un film plutôt moyen dans son ensemble. Le scénario est souvent confu, avec pas mal de longueur et de répétition. On doit aussi malheureusement souvent se demander si c'est de l'humour au premier degrès ou non. Un premier film qui reste semble prometteur pour la suite!
Histoire prenante très bien mise en scène. De bons acteurs qui nous attirent dans leur détresse. Le choix des acteurs rend très bien. Petit bémol : les lenteurs du début qui peuvent conduire les plus intransigeants à une totale lassitude. C'est un film à voir, c'est certain, et on ne perd pas son temps en y allant.
pour moi, le meilleur film de gangster depuis Scarface et les infiltrés de scorcese. des jeux d'acteurs à la pointe de la perfection avec une mention spéciale pour le vieux Cassel. Humour - Action - Emotion sont enfin réuni dans un très beau film. trois profils, trois histoires, une seule intrigue. une oeuvre à voir et à revoir
Bouzi Bouzouf aime « Little New York » de James DeMonaco (ce metteur en scène ayant vu le jour en 1969, il n'est donc pas le fils illégitime d'Albert), une sympathique tarantinade construite en chapitres s'emboîtant les uns dans les autres telles les pièces d'un puzzle, comme l'était « Pulp fiction » (normal que ce film soit une tarantinade puisqu'il est signé Tarantino) ou encore « Amours chiennes » d'Inárritu (Bouzi Bouzouf précise que ce film n'évoque pas les vies intimes de Caroline et Stéphanie de Monaco). La première demi-heure de « Little New York », si l'on excepte toutefois une introduction très drôle proposant la projection en 35mm d'un vieux documentaire, n'est pas dès plus passionnante, mais cela est imputable à la structure même du film : puisque celui-ci prend toute sa dimension au fur et à mesure que s'imbriquent les différents éléments de son intrigue, il est forcément un peu vide au départ. Mais dès que l'histoire se focalise sur les personnages d'Ethan Hawke et de ce touchant épicier sourd et muet (touchant dans le sens de « émouvant » et non pas dans le sens de « quelqu'un qui touche » ; t'as vraiment les idées mal placées, lecteur), le film se révèle complètement et devient du même coup (mais c'est logique) très intéressant. On peut regretter toutefois que la dernière partie, qui voit les trois chapitres fusionner pour occuper la même ligne narrative, soit quelque peu décevante parce que, notamment, trop expéditive (l'oeuvre est un peu trop courte). Mais ce défaut est rattrapé par l'image « leitmotiv » du film, à savoir un plan d'ensemble de la baie de New York. Ce plan montre le conditionnement géographique auquel les personnages, qui vivent sur Staten Island, une île voisine de Manhattan et effacée par la renommée de celle-ci, sont continuellement soumis. De la même manière que Staten Island sera toujours dans l'ombre de la prestigieuse Manhattan, ils ne seront toujours que des outsiders qui n'arriveront jamais à dépasser leur condition.
Un film de plus dans l'univers de la mafia. Le scénario est assez conventionnel mais le fait de vivre l'histoire sous différents angles donne un intérêt au film, même s'il faut s'accrocher au début. Il est parfaitement interprété, notamment par Ethan Hawke. Je le conseille même si ce n'est pas un grand film.
On met trop de temps à rentrer dans ce film de James DeMonaco qui possède de nombreuses longueurs. Confus et désordonné, seul les 10/20 dernières minutes réhaussent un peu le film.
Et donc? Quel en est l'intérêt? Bon et ça parle de quoi au fait? Il semblerait en fait que je n'ai pas vraiment compris l'idée qu'avait derrière la tête M. James DeMonaco au moment ou il a réalisé ce film. Trop vague pour être vraiment incisif. ... Reflexion faite, j'ai peut-être trouvé le leitmotiv du réalisateur : Promouvoir l'eugénisme! Ainsi qu'encenser les pratiques mafieuses en partant du postulat que n'importe qui peu se racheter une conscience en deux semaines. Je reste très sceptique au final. D'autant plus que la prestation des acteurs n'est pas vraiment remarquable. A oublier. A et une dernière chose. N'est pas Akira Kurosawa (ou encore Tarantino pour en citer un autre) qui veut.
Très original complètement décalé. Trois personnages bien joués. Un mafieux qui veut absolument laissé son nom dans l'Histoire, un vidangeur très peu futé qui s'en prend au mafieux et un sourd muet qui veut avoir un objectif dans sa vie...Trois personnage que le destin fait se rencontrer. Ce film est bourré de finesse, de personnage à la recherche d'eux même dans le regard des autres... Belle surprise.
Déçut, sans réel intérêt, on se croirait dans une parodie ! Le film est en trois parties, chaque partie se passe en même temps que les autres mais sous différents points de vue (ceux des trois personnes de l'affiche du film) ! C'est beaucoup plus une comédie qu'autre chose ! Or, quand on veut voir ce film, on ne veut pas une comédie ! Mais un bon film de gangster ! Et un gangster qui passe la moitié du film perché dans un arbre et spoiler: qui se fait tuer par son épicier sourd et muet n'est pas un gangster ! Malgrès tout, l'idée que l'épicier décide d'en finir avec lui est une bonne idée de scénario...ce sera la seule par contre ! A la limite, on aurait du centré toute l'histoire sur l'épicier, beaucoup plus approfondir et ça aurait été beaucoup plus accrocheur, émouvant et prenant ! Là, on est dans une grosse perte de temps avec les deux autres protagonistes ! Dommage, très dommage...le film partait d'un bon point de vue.
Une très belle surprise! Un véritable conte des temps modernes...pour adultes! Vincent D'Onoforio y est magistral en mafieu,comme à son habitude, et Seymour Cassel nous campe un mysterieux mais tellement sympathique Papy qui fait de la résistance... Pour ce qui est de la mise en scène, on peut se demander, à juste titre, si le réalisateur ne s'est pas inspiré de Pulp Fiction et Revolver, car l'un ou l'autre de ces Tarantino ou Richie aurais pu être derrière la caméra!