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Gentilbordelais
325 abonnés
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3,0
Publiée le 5 octobre 2017
c'est toujours un plaisir de retrouver cette bande de new-yorkaises branchée et libre. face à la série, le format film alourdi certains aspects mais comme toujours on se laisse emporter par les aventures sentimentales de Carrie et ses ami(e)s. un bon moment en perspective.
je n'ai pas vraiment suivis la série, mais je n'ai pas eu de problème à comprendre le film sans aucun problème, il est vraiment divertissant c'est une bonne comédie romantique.
Un film dans lequel on cite Napoléon écrivant à Joséphine est forcément un un film qui attire mon attention. Mais le rythme est beaucoup trop lent à mon goût. Le scénario manque de rebondissements. Au détour de saynètes qu'on a plus l'habitude de voir dans une série TV, on arrive soudain à se dire : "Vive le coloriage !" J'ai aussi apprécié d'entendre Walk This Way comme musique de fond d'un défilé de mode en plein déménagement. À voir avec une personne qui vous commentera les tenues des créateurs.
Je n'ai jamais regardé réellement la série mais déjà vu des épisodes par ci par là. Donc forcément, mon opinion sur ce film est tronqué car je n'ai pas eu toutes les références liées à la série. Je juge donc le film en tant que tel. Et là forcément, le film n'est vraiment intéressant car le spectateur n'a pas tous les codes mais la seule chose que je peux dire et qui est totalement objectif c'est que je n'ai pas apprécié ce film que j'ai trouvé brouillon, avec un intrigue banale. Une chose est sur, cette série culte n'est pas dans mon panel de goût.
N'ayant vu aucun épisode de la série télé (ou seulement deux pour être précis), c'était sans motif de comparaison que j'ai pu voir cette adaptation cinéma des aventures de Carrie Bradshaw. Le résultat est agréable, moins piquant que prévu (alala, ce que c'est chiant la consensualité) mais tenant assez bien la distance durant (tout de même!) près de deux heures et demie. Les quatre héroïnes sont attachantes, pas neuneus et quelques répliques vachardes font plaisir à entendre. Dommage que le scénario apparaisse en revanche assez classique, l'évolution de l'intrigue ne nous surprenant que rarement... Quelques scènes n'en sont pas moins très drôles et l'ensemble rythmé comme il faut. A défaut d'être un triomphe, « Sex and the City » n'en est pas moins un bon divertissement, chaleureux et sympathique : une agréable surprise.
Je ne connaissais pas la série et bien je suis content toujours de ne pas la connaître . Film avec tous les clichés des femmes New-Yorkaises aisées et leurs petits problèmes qui n'en sont pas . Deux étoiles car il y a bien pire comme productions .
Après avoir écrit l’une des plus belles pages de la télévision américaine pendant six saisons, le quatuor féminin de “Sex and the City” tente l’aventure cinématographique avec un avantage certain sur les autres séries non-animées (“South Park” et “Les Simpson” exclus, donc) adaptées sur grand écran : celui d’avoir, à sa tête, la même équipe que sur le petit écran, aussi bien devant que derrière la caméra. C’est donc à Michael Patrick King (scénariste et réalisateur de plusieurs épisodes) que revient l’honneur de donner une suite aux chroniques sentimentalo-comiques de Carrie, Samantha, Charlotte et Miranda, pour le plus grand plaisir des fans. Les néophytes, eux, risquent sans doute de se sentir perdus en débarquant dans cet unviers. Heureusement, le générique nous offre un résumé de six saisons précédentes, ce qui permet de se familiariser, vite fait, avec les personnages et le ton de la série, avant que les choses sérieuses commençent, lorsque Carrie Bradshaw prépare son mariage avec Mr. Big. Jusqu’à ce que les choses ne se passent, évidemment, pas comme prévu, et que s’enchaînent bon nombre d’événement. Assez pour tenir en 1h30, mais trop peu pour justifier les 2h25 du film. Equivalente, en durée, à celles de six épisodes, l’intrigue, morcelée en trois parties disctintes, rame souvent, et ce ne sont ni quelques dialogues et scènes superficielles, ni les séquences filmées comme des clips qui aident un relever un film qui glisse, petit à petit, vers la niaiserie (avec des messages aussi originaux que “crée tes propres règles”) pour ne ressembler, au final, qu’à une quelconque comédie romantique. Loin de révolutionner le genre comme la série l’avait fait à la télévision, “Sex and the City - Le Film” est donc une comédie plutôt fade (malgré quelques répliques épicées, ou quelques scènes torrides), qui plaira avant tout aux fans de la première heure, aptes à apprécier ces retrouvailles avec leurs héroïnes. Les autres, eux, risquent de trouver le temps long.
Il faut vraiment etre fan de l'univers et de la série car voir déambuler des personnages en plein monde idyllique et irréel commence serieusement à lasser au bout de 5 minutes. On se croirait en plein conte de fée et même les dialogues agacent. Bref à reserver aux fans.
D'abord pour ceux qui comme moi, ont vu aucun épisodes de Sex and the city, cette série apparue au début des années 2000 en France est construite à partir de chroniques satiriques du personnage de Carrie Bradshaw qui s'inspire pour les écrire, de son histoire et de celles de ses 3 copines, Samantha Jones, Charlotte York et Miranda Hobbes , un quator de femmes trentenaires new-yorkaises partageant leurs avis de célibataires au quotidien et sur la vie de tout les jours. Et au fur à mesure des épisode, on pouvait y découvrir ces femmes modernes toujours à la pointe de la mode, collectionner les aventures avec la gente masculine tout en étant à la quête de l'homme idéal. Sex and the City parlait ainsi de sexe sans pudeur en plaçant la sexualité au coeur de ses épisodes sans vulgarité mais avec humour, ce qui fit probablement l'énorme succès de cette série. Il n'est pas alors étonnant que des producteurs décidèrent de créer son adaptation cinématographique, mais à l'issu de la projection on se demande quand on a pas vu la série comment celle ci a pu rencontrer autant de succès si le film y prolonge parfaitement la suite tant sur le fond que sur la forme, comme à vrai dire je fus assez surpris du constat de niaiserie que ce long métrage m'a apparu faire preuve, au vue de la mièvrerie des dialogues, de la faiblesse des ingrédients de l'intrigue parfois ridicules et tant que les personnages qu'ils soient féminins ou masculins m'ont apparu ecervellées de par leurs stéréotypes. Et bien que le film aborde des thématiques universelles comme la recherche de l'amour, de ce qui se passe quand on le trouve, de l'usure du couple, de la peur de l’engagement, du mariage, des femmes et de leurs amitié, cette version filmique donne l'impression de tourner dans le vide tant que les thèmes abordés , quoi que très classiques, tombent dans des gros clichés, dans un monde de plus apparaissant très déconnecté de la réalité. Et sans doute par ce navrant constat, le film fait perdre ainsi tout
Version beaucoup plus aseptisé et moins impertinente que la série. Mais le principal point noir reste la longueur du film. Les fans de la première heure seront toutefois heureux.
ce film respire dès le départ une volonté d'argent, les bijouteries de luxes, la maison de luxe a holiwood......, la fille cherchant désespérément comment merner sa vie, c'est super long, pas intéressant quelques (subtiles) tentatives de blagues en mode American pie INSSUPORTABLES, ça parle de robes encore et encore, c'est long,long, long, ça n'avance a rien......le mariage qui échoue sans la moindre explication. très mauvais film.
Dès le début c'est agaçant, 10mn d'explications inutiles pour attardés... Dans le genre "X-Files" avait su faire un film sans prendre le spectateur pour un abruti et qui était compréhensible aussi bine des fans que des néophytes ; ce qui n'est apparemment pas le cas ici. Second énervement l'incroyable présence des marques (il y en a pas tant dans la série !) ; ce n'est plus un film c'est une bande-annonce ! Je crois qu'on est ici dans le pire des marques montrées dans un film. Voilà pour les 2 gros défauts. A part ça il est vrai que ce film (quoi que le scénario est découpé comme 5 épisodes ; encore une fois le travail est plus faineant que l'a été "X-Files" en 1997. Mais il est vrai qu'on retrouve avec plaisir nos 4 nanas et que tous les ingrédients y sont.