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jamesluctor
134 abonnés
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2,5
Publiée le 17 janvier 2011
La dernière maison sur la gauche a encore fait des petits ! Si on sent les inspirations Cravenniennes de Deodatto, on notera aussi un certain style italien dans la mise en scène, avec l'usage d'un rasoir aiguisé et la présence de femmes magnifiques à l'écran. Grosse déception, la mécanique du film n'est pas aussi bien rodée que chez Craven, notamment avec une certaine disproportion entre la violence infligée (ahurissante), et la violence rendue (très soutenable au regard de ce qui a précédé). Les bons restent bons et les méchants sont neutralisés quand on commence vraiment à tirer sur la corde. Parce qu'on l'attends pendant tout le film, la réponse musclée. On sera donc déçu par ce dénouement, parce qu'au niveau des messages sociaux, c'est un peu la dèche. La mise en scène est vraiment dans un style italien, ce qui signifie beaucoup d'élégance, mais parfois quelques faux raccords gênants. Film peu utile au final, mais un peu de violence brut par ci par là, avec de belles femmes à l'appui, ça ne se refuse pas non plus comme ça...
C'est moche et c'est le moins que l'on puiss dire sur ''La maison au fond du parc'', avec son histoire de viol dès le début, ses personnages mi-tarés mi-provocateurs.
Et le pire c'est qu'il y a une intrigue ! Haha quelle blague justement cette intrigue, ridicule au possible quand on voit tout ce qui s'est passé durant tout le film.
C'est mauvais, mal joué, malsain, après les admirateurs de films sals aimeront peut-être mais moi je passe mon tour.
Tourné dans la foulée de Cannibal holocasut Deodato dirige à nouveau un film à l'histoire malsaine et perverse. Moins marquant mais tout de même dérangeant La Maison au fond du parc mêle violence et érotisme ou un psychopathe magistralement interprété par David Hess va chambouler une soirée. C'est prenant, le suspense est bien entretenu mais ça reste de la série B.
Alors là, dans le genre navet bien nul, on est servis! Cette pseudo histoire de vengeance a de quoi decevoir le spectateur le plus indulgent du monde.C'est mal filmé, mal joué (les acteurs sont vraiment tous des amateurs finis), la musique est atroce( surtout le morceau disco qui revient tel un leitmotiv a plusieurs reprises), il n'y a aucun suspense, ce n'est pas choquant pour un sou tant on y croit pas. Et la fin.....mon dieu! Deja, pour arriver jusqu'au bout de ce nanar, il faut etre tres courageux tant c'est long. Bref, un ratage total et parfaitement inutile.
Un film qui se veut dans le style d'Orange Mécanique. Quelques scènes qui frappent l'esprit, quelques répliques mythique, un casting certes bien choisi mais tous les + du film s'arrête là. L'histoire est peu recherchée, l'atmosphère est lourd et le dénouement très peu attractif.
Un film qui n'a pas beaucoup de prétention si ce n'est de divertir le producteur lui- même.
C’est sûr que ça change. Ruggero Deodato est sorti de sa forêt amazonienne pour nous faire faire un petit circuit touristique. Ici le pont machin, là les ex tours du World Trade Center, New York by Night… Ca traîne en longueur, et puis chemin faisant, quelque part, il y a une maison au fond du parc. Jusque là, ça colle avec le titre… À droite, une piscine, et derrière, un grand potager où il fait bon cultiver le navet. D’ailleurs, le film en est imprégné. Cette maison est parfaite pour un dîner de con. L’utilité des scènes débiles ne sert qu’à combler les longueurs d’un film que l’épilogue ne justifie en rien. Deodato persiste et signe !
Tentative de réediter le classique "La dernière maison sur la gauche" avec toujours le charismatique David Hess dans le rôle du sadique de service mais le coté malsain du film de Wes Craven est absent malgré quelques bonnes scènes de violence brute. Un bon film, mais on reste un peu sur sa faim. C'est fou ce qu'on peut faire avec un rasoir et quelques bonnes idées -;)