Derniers Avis : Cloverfield - Page 21

En choisissant le procédé du found footage pour filmer à échelle humaine une histoire digne d'un blockbuster, Matt Reeves a réalisé un chef-d'oeuvre. Le spectateur se retrouve, en effet, complètement immergé avec cette bande d'amis (incarnés par des acteurs quasi-inconnus plutôt doués) qui va vivre une nuit très mouvementée. L'idée de nous montrer des extraits des précédents enregistrements de la caméra lorsqu'elle ne filme plus est une vraie trouvaille qui nous rapproche un peu plus des personnages. De plus, le réalisateur prouve que l'on peut faire de très beaux plans (le baiser devant les hélicoptères par exemple) dans ce genre de film.
Pas besoin d'en dire plus, Cloverfield est un ès grand film.

J'aime les films catastrophes et j'aime les films "fin du monde apocalypse". J'ai pourtant accroché très moyennement à ce film. Le scénario est très conventionnel (proche de Godzilla) et la réalisation est à la "project Blair Witch". Personnellement je trouve ça trop juste pour faire un bon film même si il y a quelques scènes sympas. Je ne recommande pas sauf pour les amateurs du genre. 2 étoiles.

Un film qui tient surtout sur sa particularité de filmer caméra à l'épaule par l'un des protagonistes du film. Le film sonne juste sans nous convaincre totalement néanmoins!

Ce film vaut vraiment le coup , ce film est vraiment bien filmé les effets spéciaux sont magnifique (la tour qui n'est plus droite)

L'idée du found-footage était bien trouvé, mais cela ne suffit pas à retranscrire l'ambiance. Le film tire donc sur toutes les ficelles de l'horreur/ catastrophe, livrant ainsi un scénario banal, aux rebondissements et " coup de flips " attendu.

Le concept de faire un film sur un monstre terrorisant New York sasn quasiment jamais le voir est bien vu. Le peur de l'inconnu est plus effrayante que la peur qu'on connait. Choisir de ne prendre que des inconnus rajoute au côté 'film souvenir' du film. Il est très intéressant, à voir au moins pour ce faire sa propre idée.

Les films caméra au poing se sont largement développés au cours de cette décennie 2000, pour offrir du très bon (The Blair Witch Project) tout comme du très mauvais (Paranormal Activity). C'est bien la première fois que j'entendais parler de son utilisation pour le film catastrophe avec Cloverfield. Le ressenti de fin du monde ne m'avais jamais autant frappé : Cloverfield délivre un spectacle apocalyptique qui laisse parfois bouche bée, tant on s'y croit. La mise en scène est sont atout principal, elle est d'une ruse talentueuse, montrant des images chocs de qualités mais sans excès, nous laissant la plupart du temps écouter les bruits du combat tonitruant qui se livre à proximité, faisant ainsi jouer notre imagination en s'appuyant sur une bande son titanesque. Terrifiant par le sentiment d'immensité que l'on ne peut stopper, Cloverfield l'est en majeure partie. Mais cerise sur le gâteau, on a droit a un morceau dans le métro digne d'un vrai film d'horreur (même capable de nous faire réfléchir sur nos propres frayeurs : on sait qu'on va voir quelque chose d'horrible lorsque Rob propose d'enclencher la vision nocturne, donc on préfère au fond de nous rester bien blottis dans le noir) qui s'ensuit d'une mort zombiesque que l'on n'aperçoit pas, ce qui ne fait qu'augmenter notre panique. Ni trop long ni trop court, Cloverfield nous fait suivre un groupe d'ados avec une simplicité qui facilite bien des choses, évitant les lourdeurs habituelles des films catastrophe, d'autant plus que les protagonistes ne se posent jamais en héros, donc le film reste crédible. Allez, on se dit même qu'on en aurait fait autant...Le final filmé d'un hélicoptère est un paroxysme d'intensité destructive qui se clôt par une dernière prise de vue absolument stupéfiante. Quant à l'agonie lente qui suit, elle achève en toute logique le façonnage de ce bijou original et approchant la perfection de son genre, le film catastrophe. Dépourvu de musiques excepté une poignée de titres d'albums qui passent lors de la fête du début, Cloverfield propose un générique alimenté d'une vraie partition de blockbuster puissante et entraînante, un vrai plaisir. Avec ce film, préparez vous à une plongée brutale dans le chaos tel que vous ne l'avez jamais vu.

Dans l'idée ce film est intéressant. Le côté réaliste apporté par le "caméraman amateur" est sympathique. Cela doit permettre de se sentir dans l'action, et faire monter une certaine angoisse.
Cependant que de défauts ! Le jeu des acteurs est vraiment plus que moyen. Quant à l'histoire, elle est plus que prévisible. On peut prévoir à l'avance tout ce qui va se passer, ce qui enlève tout effet de surprise, ce qui pourtant doit être le crédo numéro un de ce genre de film ...
Bref sans grand intérêt

belle affiche, j'ai acheté le DVD...
même en me forçant (6€ le DVD !) , j'ai craqué au bout de 10 minutes !

j'ai beau sauter des chapitres, rien n'y fait, tout est nul !
incroyable que l'on puisse faire, réaliser et encore plus, vendre un film tourné avec un espèce iphone !!!!
insupportable visuellement !
vous etes prévenus !
cordialement

PS : je savais que l'on peut aimer ou ne pas aimer un film.
celui-ci n'étant pas un film, je commence à avoir des doutes sur les notations, quand je vois la note moyenne !!!

Une sorte de mix de films. Pas original mais on est vraiment dans l'ambiance. La fin est presque nulle, dommage.

Petit chef-d’œuvre qui ne ressemble à rien de connu. Le spectacle absolu selon une certaine presse. Le film se contente de pasticher un genre très connu et pauvre cinématographiquement, et lui rend hommage, le film catastrophe. Mais Reeves arrive à pousser le genredans ses limites et inventer un nouveau jeu, le film de genre-catastrophe. C’est aussi une relecture de ses « found footages », films qui jouent sur la vague des images soi-disant trouvées très à la mode mais sans cinéma dedans. Là, il n’y a pas de pseudo-réalité de pacotille, Matt Reeves joue le clin d’œil contre la fiction, (Godzilla, le 11 septembre, l’esthétique jeu vidéo), le spectateur peut s’amuser à entrer et s’identifier, sans se préoccuper d’intellectualisme forcené ou de scénario alambiqué. D’ailleurs les acteurs sont tous jeunes et beaux comme dans n’importe quel jeu vidéo, New-York habituel terrain de jeu pour blockbusters est forcement détruite, et la bête à de la gueule(le peu qu’on en voit). Le traitement est aussi original que le sujet est éculé, le sujet n’est pas où on le croit, le sujet c’est nous, c’est-à-dire ceux qui regardent. Dans une société obsédée par l’image comme la notre, il nous invite, Reeves à regarder pour ne rien voir, et à être puni par où on a péché, il suffit de voir comment finit le « héros ». Génial et culotté.

Tout est mauvais et ne donne que des vertiges et la nausée. A vomir!

Pas mal, de belles scènes, un bon scénario catastrophe sur NY, avec de très bon effets spéciaux mais un goût d'inachevé tout de même. A voir.

Un film fantastique produit par J.J Abrams et tourner en caméra tenue à la main qui suggère un film amateur et accentue l'effet réaliste. Un film très original qui révolutionne le film catastrophe avec des effets spéciaux à couper le souffle. La bestiole du film est vraiment bizarre et immense et en plus elle envoie des petites bestioles tuer les gens dans les gratte ciel, métro et leurs morsures sont fatales car elles pondent d'autres bestioles dans le corps des personnes. Au final, la bestiole est détruite tout comme Manhattan et ses habitants. Des acteurs pas connus enfin Lizzy Caplan un peu et un réalisateur pas connu pour un film qui s'impose comme l'un des meilleurs films de l'année 2008. Génial!

Oui, un chef d'oeuvre.
je trouve que ce film est une réussite sur de bon nombres de plans.
Le film est long à partir mais ça ne fait qu'augmenter notre immersion dans l'histoire, on passe une bonne soirée, tout va bien, on fini même par s'y habituer jusqu'à ce que le film prenne un virage à 180 degré.

Immersif, puissant, visuellement époustouflant, une réalisation incroyable, de bons moments de suspense, de grosses références aux chef d'oeuvre du genre...
On tient là un des meilleurs "film de monstre" de ce nouveau siècle (avec Super 8).