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soniadidierkmurgia
1 178 abonnés
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1,0
Publiée le 10 février 2010
Richard Kelly s’est fait connaître il y a dix ans avec un film fantastique intello plutôt réussi : « Donnie Darko ». Après l’échec public de son deuxième métrage « Southland Tales » on attendait avec impatience le retour en grâce de Kelly (sans jeu de mot) avec « The Box » dont le pitch semblait fort intrigant. En effet cette histoire de boîte maléfique qui vous offre la somme d’un million de dollars en échange de la mort simultanée d’un inconnu semblait offrir de nombreuses possibilités scénaristiques. Hormis la mise en place plutôt sympathique le film s’enlise dans un salmigondis dès que Kelly veut trouver une justification à ce pacte de Faut revisité. Tout d’un coup on ne comprend plus rien et immanquablement on décroche attendant que cette maudite boîte se referme. On aura compris très vite la morale de l’histoire mais on se dit que Kelly a tort de vouloir recréer absolument un film aussi ambitieux que son « Donnie Darko » et ferait mieux de s’atteler à un film de genre plus classique pour se refaire la main. S’il persiste dans cette voie il y a fort à parier qu’il restera l’homme d’un seul film.
Un concept terriblement intrigant ! "The box" nous livre un mélange des genres, démarrant comme un thriller angoissant avant de dériver en science-fiction. Sa seconde partie, nettement plus fantastique, sera certes frustrante, le spectateur s'étant embarqué dans un concept réaliste d'entrée de jeu, il lui sera alors difficile de remettre en cause toute l'intrigue et son interprétation par des explications surréalistes. Mais même si ce nouvel angle inattendu viendra quelque peu nuire au scénario, l'ambiance est belle et bien pesante et entraînante. La fraîcheur du style est là, les acteurs sont bons, et la musique y est sublime, accentuant parfaitement cette atmosphère mystérieuse. "The box", avec son idée de départ remarquable et la présence de certaines scènes marquantes, restera en tête.
Film qui part d'une bonne idée avec une ambiance bizarre plutôt bien retranscrite les vingt premières minutes. Mais après l'ouverture de la fameuse boîte le film par en sucette complète avec de la sf ridicule des acteurs peu crédibles ( hormis cameron diaz que j'ai trouvé juste) et une mise en scène complètement décousu et incomprehensible. Bref ce film me fait penser a la cabane dans les bois dans un genre différent mais avec une bonne idée de départ qui part dans du n'importe quoi.
vivant au dessus de leur moyen, norma (cameron diaz) et arthur (james mardsen) vont se voir offrir une paquet, a l'interieur, une boite, cette boite contient un bouton... c'est alors que l'enigmatique et etrange arlington stewart (franck lingella) va expliqué ce qui se passera a norma si elle appuie sur ce bouton, le jeu est simple, si elle appui, alors norma et arthur se verrons avec une somme de un million de dollar, mais en contreparti, il devra y'avoir une personne morte. le choix d'appuyé ou non sur ce bouton changera le sort de l'humanité pour la famille lewis et pour ceux qui auront a faire a cette meme boite. film a la limite de la perfection signé richard kelly montre comment les homme peuve etre cruel envers les autre pour avoir la chance de réussir leur vie... cameron diaz dans un de ces role les plus marquant, james mardsen dans la tourmante excelle, et la mise en scene du realisateur font de ce thriller de science fiction un film haletant et inquietant, sombre et parfois angoissant, on ne sort pas indemne de cette boite
Je reste vraiment perplexe aprés avoir vu ce film , l'histoire semblait bonne ( ou tout du moins la synospsis ) mais le film part dans une dérive mélo dramatico philosophique.
il n'est rien de plus qu'un film "dans le vent" avec une touche de surnaturel qu'on retrouve dans tous les films dramatiques du moment mais qui ici n'a absolument aucun sens.
A la différence de mes paires je n'ai pas trouvé le jeux d'acteur aussi exceptionelle que ça je dirais même qu'il était plutôt limite !
Le film donne tout de même à réfléchir mais c'est pas vraiment claire , lil n'est pas captivant c'est davantage un effort pour essayer de comprendre.
Richard Kelly est certes un réalisateur controverser notamment avec Donny Darko mais ici le film n'est donne pas le sentiment d'être travailler. Appars peu être pour les bandes sons trés présentes.
La bande annonce constituerais presque l'essentiel du film !! Je désaprouve totalement cette tendance dans le film dramatique à dire le surnaturel est la réponse à tout !
Film mettant en avant certains défauts humains, leurs rédemptions, une apologie du paradis (film pro-suicide O_o ? )...avec une sorte de conspiration, contrôle extra-terrestre.... Très mauvais moment passé devant ce film. "Mal foutu", beaucoup trop de choses abordées pour une morale simpliste...autant regarder robins des bois(le dessin animé) et E.T juste après : )! (Même si j'aime bien les acteurs, ils ne jouent pas bien dans ce film, j'ai oublié de mentionner que la "fin" est prévisible bien tôt...
Il pourrait donc plaire à certain...car ça part loin. Mais pour la plupart...passez vite au film d'après =D!
Énorme déception pour ce film à morale basique ! Premièrement le fait que l'action se passe dans les années 70 n'apporte absolument rien au film. Diaz et Marsden forment un couple totalement improbable et peu crédible. Quant au scénario, qui présente, de trop nombreuses longueurs, il est burlesque mais poignant..
L'histoire est intéressante, mais on a quand même beaucoup de mal a y croire. Je trouve les personnages peu convaincants et il y a beaucoup de longueur. Racourci d'une demi heure le film y gagnerait sans doute en dynamisme.
Un thriller captivant de bout en bout, certes, quelques moments long mais, le tout reste très sympathique. Oppressant, angoissant, triste, tout y passe. On en sors tout secoué.
Que dire de ce film tant il est étrange mais pas mauvais pour autant. L'idée de départ est assez bonne mais plus on avance plus on se demande où tout cela va nous mener. L'imagerie 70's avec une photographie très lumineuse peut choquer voire rebuter au premier abord mais après 20 minutes, on n'y fait même plus attention. Donc pas mal de bonnes idées mais mélangées ensemble, le résultat souffre de lourdeurs (le côté mystique, science-fiction, dramatique a du mal à prendre totalement) mais le réalisateur a le mérite d'expérimenter et de suivre sa ligne de conduite. la musique est pas trop mal. A voir pour se faire une idée.
Virtuose ? Coup de cœur ? Film culte ? The Box n’en est rien de tout cela, réalisé par Richard Kelly en 2009 et adapté d’une nouvelle de 8 pages « Le jeu du bouton » de Richard Matheson qui avait déjà fait l’objet d’un épisode de la cinquième dimension, The Box s’annonçait comme un film de science-fiction très attendu, tout d’abord par une intrigue qui, sur le papier, s’annonce alléchante et qui pourtant ressemble à un épisode raté de la « Quatrième Dimension » et également pour le casting de ce film à travers la belle et talentueuse Cameron Diaz (Charlie’s Angels, Gangs of New York, Bad Teacher…) et James Mardsen (X-Men). Le scénario au potentiel apparemment indéniable garde le suspense jusqu’au bout, et pourtant tout démarrait très bien, un matin, Norma et son époux se voient remettre une mystérieuse boîte par un inconnu au visage étrange. Celui-ci leur révèle qu’en appuyant sur le bouton rouge de cette boîte, ils recevront un million de dollars, mais tout prix à ses conséquences et le sort de l’humanité pourrait à jamais en être changé. En effet, dis comme ça, le tout s’annonce intéressant et original pour qu’au final on se noie dans toute cette absurdité que nous balance violemment Richard Kelly à la figure ! Le scénario est tellement grotesque qu’on pourrait croire que Richard Kelly s’essaye à expliciter l’inexplicable ou expliquer l’abstrait. Vraiment pourquoi de si bons acteurs gâchent autant de talent dans un tel film ? Car il faut le dire, Cameron Diaz interprétant Norma est touchante, et joue très bien son rôle, tout comme James Mardsen campant le rôle d’Arthur Lewis qui livre une interprétation plutôt convaincante ainsi qu’un Frank Langella (Sans identité) intriguant dans son rôle d’Arlington Steward, cette étrange homme qui livre la boîte à ce jeune couple, finalement les acteurs et cette jolie mise en scène ne seront que les seuls réussites de ce film vraiment décevant. A aucun moment on ne croit à cette histoire irréaliste, de pur fiction vraisemblablement tiré par les cheveux, aucune scène ne casse vraiment des briques, non vraiment aucune si ce n’est la fin riche en émotion et vraiment touchante, dommage on dirait la scène d’un autre film tellement le film ne suit pas. Dommage on sent vraiment que c’est le scénario qui pêche dans ce film et non la réalisation de Richard Kelly qui avait déjà auparavant réalisé le psychologique et décevant Donnie Darko ainsi que Southland Tales. De plus, la photographie n’est pas superbe et demeure trop traditionnelle, dommage avec ce film on aurait pu se détacher et créer vraiment quelque chose de percutant visuellement. Le film est vraiment long car au rendez-vous quelques longueurs malheureusement qui finisse en cercle vicieux .Aussi décevant que tiré par les cheveux, Richard Kelly confirme une nouvelle fois qu’il a du talent et du potentiel pourtant inexploité à travers The Box. Dommage !
Je suis agréablement surpris par The box. Un ami me l'avais conseillé, et je m'y suis lancé malgré les notes très basses des spectateurs. Bon ce film n'est pas un chef-d'œuvre, mais il est plutôt bon. Je pense que beaucoup de gens ne l'ont pas aimé parce qu'il prend un chemin complètement différent de ce à quoi on s'attend quand on lit le synopsis. À ce moment-là je me demande pourquoi tout le monde est en admiration devant Interstellar. Car oui ce film prend la direction spoiler: extraterrestre mais va au bout de ses idées. Beaucoup se sont aussi plein de la tournure métaphysique du film. D'abord, je ne l'ai pas trouvé si métaphysique que ça et quand je pense que ces gens là vont dire qu'Interstellar est un chef-d'œuvre parce qu'il traite de métaphysique, excusez moi mais Interstellar n'amène pas à réfléchir et The box non plus, sauf que c'est le but de l'un et pas de l'autre. Car non, The box n'amène pas à réfléchir, c'est juste une fiction. Bien sûr qu'il dénonce le comportement égoïste de l'homme, mais nombreux sont les films à le faire. J'ai trouvé à The box une ambiance très glauque, sombre et froide. Ça en devient effrayant car le spectateur est pris dans un tourbillon d'évènements imprévisibles et je trouve que sur ce point là le film est très réussi. C'est vrai que par contre je ne me suis pas attaché aux personnages : le couple de jeunes dont Cameron Diaz en prof et le gars en ingénieur de la NASA qui roulent en Corvette alors qu'ils se prétendent fauchés...pas très convaincant et je me demande toujours pourquoi Richard Kelly a laissé cette fichue Corvette. Donc comme je l'ai dis, il y a directement eu une barrière entre moi et les personnages, d'autant plus que les acteurs ne sont pas au top. Mais le film n'est pas ennuyeux, sa fin est plutôt réussie, la part de mystère le rend même assez captivant. A la fin, par contre, j'ai eu une sensation étrange, comme si j'avais assisté à quelque chose de très bizarre, d'incomplet. Un bon film, très sous noté.
Intriguant, dérangeant et surtout un brin complexe dans l'écriture, à l'image de formats courts (métrages/nouvelles) librement adaptés en longs métrages - 12 Monkeys (1995) basé sur la Jetée / The Curious Case of Benjamin Button (2008) / L'agence (2011), nouvelles adaptées - le rythme est, de ce fait, parfois envieux sur le formel. Mais c'est ce traitement, cette adaptation du rythme qui excite la réflexion, ou qui peut à l'inverse, je le conçois, désappointer. En exceptant le fait que ces projets à risque sont parfois portés par de trublions tels que Terry Gilliam, David Fincher ou cette fois-ci Richard Kelly, qui retient mon intérêt, et excite ma rétine - car même Southland Tales, au-delà de mon intérêt pour le récit m'a, peut être par un procédé subliminale, intrigué d'un bout à l'autre. C'est un balais de conséquences, sur le destin des personnages qui prend forme - ambiance sonore et exagération du déplacement - les séquences fourmilles d'idées chorégraphiques - à l'image des échanges entre le personnage de Norma Lewis (Cameron Diaz) et de son élève; De la séquence du repas de mariage et la présence de cette étrange boite; Ou encore de cette théâtrale séquence dans la bibliothèque. Le contexte seventies de départ, figurativement classique, culmine dans l'intriguant, avec les avancées technologiques de son époque. Le détournement de la forme originelle marque la rupture, assez rapidement, dans un récit sans temps mort. On suit alors avec passion ce jeu de conséquences, absurde ou irrationnel.