Avis : Le Syndrome du Titanic - Page 8

Un documentaire de N. Hulot déprimant sur la société de consommation.
Certes, il y a quelques passages criant de vérité sur le fossé riches/pauvres mais cela ne sauve pas le reste. On a l'impression que la messe est dite et que l'homme va droit dans le mur. Je trouve qu'il n'apporte aucune solution aux problèmes qu'il soulève.

Très axé sur la pauvreté, plus que sur l’environnement. Assez décevant, car le factuel est peu présent et le film est surtout la litanie des avis de Nicolas Hulot sur différents sujets.

on pourrait ecrire beaucoup de choses sur le sujet et malheureusement et c'est mon propre avis c'est trop tard ,trop d'argent et de pouvoir en jeu le film est different mais pas enormement de ceux de yann arthus bertrand mais apres tout ces film avec celui d'algor egalement nos gouvernement n'ont pas voulus saisir le sens de la gravité de la situation ce n'est pas 20% d'effet de serre en moin qui nous sauverons c'est bien plus ...
bonne toile

Vraiment très léger pour un documentaire de cinéma au vu de ses prédécesseurs. Celà aurait fait un documentaire de télévision honorable mais le manque de ligne directrice et, oserai-je le dire, de conviction est criant.

"Nous sommes capable de mettre des sommes colossales d'argent dans des constructions gigantesques, dans l'armée... sans aider ceux qui sont dans le besoin"
voici une des grandes idées exprimé dans ce documentaire qui pour moi est grandiose.J'invite toutes les personnes qui entendent parler de ce film à le voir. Bien que N.H. ne propose pas concrètement de solution, il nous laisse réfléchir à ce que nous sommes capable de faire. Vraiment Grandiose.

Il y eut Koyaanisqatsi, et puis Arthus Bertrand, émouvants et beaux l'un comme l'autre, mais hors-sujet, contrairement à Syndrome du Titanic.

Il nous y est montré l'accablante réalité d'une planète naufragée par nos moeurs, débordée de toutes parts par le mauvais génie humain.

Le cap de l'irréversible paraît partout franchi, pourtant Nicolas trouve encore en lui des voix pour l'indulgence : le mal selon lui n'est que dans l'excès, la démesure. Il veut encore croire qu'on peut changer de cap, même si sa propre voix par instants s'étrangle et le dément. La faute sans doute à nos grandes consciences qu'il essaie de convoquer, mais dont les discours ne sont que pépiements d'oisillons face à l'écrasante brutalité de tous ces monceaux d'immondices, de carcasses, de métropoles.

Le regard de son équipe distille à nos contemplations stupéfiées l'oeuvre grouillante et inhumaine de la multitude humaine, gigantesque chaos d'intelligence amoncelée. Ce spectacle habité réussit le miracle de s'élever à la hauteur de ce qu'il embrasse, et accomplit ce paradoxe de nous rendre capables de basculer au-delà du désarroi :

Nous comprenons enfin qu'il n'est rien d'autre à apprendre de tout cela que le devoir d'enfin réduire et refluer. En cela ce film est indispensable, peut-être un peu moins que tous ceux qui demain réussiront à nous montrer comment réussir ce reflux, mais assez tout de même pour mériter un sacré merci.

Que dire ? Je suis en première et je suis allé le voir avec mon lycée et je peux dire que même les profs de SVT(qui avaient organisé la sortie) ont trouvé sa piteux, navrant, sans interêt. Un enchainement de plans sans aucune concordance, et moches en plus. On sort de la et on ne sais même pas ce qu'a voulu dire N-H. Quel message veut-il faire passer ? Tout est flou, sans aucun rapport, des phrases presque inutiles. Mais quel public veut-il sensibiliser ? Si quelqu'un voit un quelconque interêt pour ce tas de daube infect qu'il m'explique. Non la vraiment je ne sais pas, a part rembourser sa villa de bretagne, ce qu'il a voulu faire. Si j'y avais été j'aurais payé 8 euros, sa, sa fait réfléchir...

Les réalisateurs posent un regard esthétique sur la société postmoderne dans laquelle nous sommes maintenant rentrés depuis les 30 glorieuses. La caméra s'arrête ainsi sur les abbérations et l'absurdité de notre monde contemporain, en pointant du doigt essentiellement l'urbanisation galopante. Le discours de Nicolas Hulot teinté de philosophie new age et bouddhique posent des questions sans toutefois s'égarer dans des réponses dogmatiques. Des interventions audio de Grands de ce monde viennent agrémenter le discous. Entendre la voix de Salvador Dali parlant de son compte en banque est particulièrement croustillant. Le film réussit l'équilibre entre un certain pessimisme affiché et l'espoir que représente le génie humain.

Une étoile pour le thème qui est bon à être rapellé chaque jour. Ce documentaire est ennuyant. Il n'y a pas de prises de vue exceptionnelles. C'est plutôt simpliste et mal monté. On a droit au "je" de Nicolas Hulot pendant tout le film, qui au lieu d'avoir abordé le thème de façon intéressante, nous fait sa petite leçon de morale personnelle.

Juste après Home ce film... Un autre genre mais tout aussi déconcertant. A quoi bon ces films à force?? Ils déroutent et chamboulent, mais vont ils vraiment au delà? Est-ce au grand public que cela doit faire son effet et non pas plutôt aux plus hauts placés des politiques et des financiers... les grandes mesures devraient être prise dés aujourd'hui, mais depuis hier, on ne voit pas de vrais changement de cap, qu'en sera t-il demain...En effet on y va tout droit, l'humanité n'a pas l'air de vouloir vraiment changer de cap et ce film vient plus nous le confirmer.

Un électrochoc... Sur l'absurdité du monde qui nous entoure et que nous avons crée, sur notre course effrénée vers la destruction, sur notre profonde cupidité, sur notre égoïsme... Ce film sonne le réveil d'une civilisation qui a trop longtemps fermé les yeux sur son absurdité. Nous devons agir pour changer les choses si nous le pouvons encore. Le seul point noir de ce film se trouve peut-être dans quelques lenteurs mais l'ensemble est très bien réalisé et sert à merveille la cause primordiale que défend ce film! Il est temps de changer les choses si nous voulons que notre civilisation ne sombre pas dans son flot d'absurdité...

Sur la forme, très moyen, sur le fond une longue inquisition pour nous culpabiliser , au moyen-âge il y avait le bucher maintenant il y a les khmers verts comme Hulot
Tout ça sans fondement scientifique indiscutable.
Vous paierez bientôt votre taxe carbonne , ne payez pas en plus votre place de ciné pour Mr Hulot.

Documentaire qui a le défaut majeur des films écologistes: le discours apocalyptique et culpabilisant.Il mélange aussi des sujets sans rapport, la pollution, le conflit israélo-palestinien, les jeux-vidéos violents et leur influence supposée sur la violence des ados.Il aurait pu rajouter les films gores et un sujet sur les Farcs pour faire bonne mesure.Hulot n' est pas un fin pédagogue ni un scientifique.

Des images spectaculaires, mais présentées de facon un peu maniérée. Nicolas Hulot pose de bonnes questions, mais elles sont trop nombreuses. Ces questions sans réponse ni piste entrainent la déconvenue du spectateur. Il est plus pédagogique de creuser une des questions à fonds et proposer des réponses comme l'a fait très bien Al Gore.

Encore un énième film traitant de l'écologie me direz vous? Oui et non. Ici pas de moralisation à l'emporte pièce, pas d'image trop chocs, pas de prise à partie directe, pas d'agression simpliste du spectateur, non ici tout n'est que pensée phylosophique, état d'esprit et intuition. Certains décrirons un manque de prise à partie, un ton trop neutre de N. Hulot et de ses comparses et un lyrisme un peu trop poussé, mais il n'est ici question que d'un témoignage et de l'idée de 'comment amener aux réflexions qui s'imposent?'. Personnellement j'ai beaucoup aimé ce film, son choix des images, des sons et des textes proposés et de son lyrisme. A chacun de retenir ce qu'il souhaite mais à voir absolument.