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    Salon Kitty
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    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 437 abonnés 4 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 décembre 2016
    Tinto Brass a enchainé dans la suite de sa carrière des films érotiques parfois lourds, parfois réussis, mais plus proche d’une collection Harlequin trash qu’autre chose. En début de carrière il réalisa deux films qui promettaient tout de même un réalisateur plus ambitieux : Salon Kitty et Caligula.
    Salon Kitty est un métrage qui, à l’évidence, ne doit pas être mis entre toutes les mains, ou sous tous les regards, car c’est un film trash à bien des égards. De certaines scènes érotiques aux allures de cirque Barnum, aux scènes d’abattoirs bien crades, Salon Kitty pourra aussi apparaitre moralement discutable. Après, ça c’est un aspect subjectif que je ne jugerai pas ici, je m’appuierai uniquement sur des points objectifs, et Brass réalise un métrage très solide.
    Il y a des défauts, malgré tout. La première partie ressemble un peu trop à un catalogue d’images trash, histoire de poser le décor peut-être, mais qui ne répond pas franchement à la seconde partie qui oublie très largement cet aspect. Brass semble en fait profiter de sa première partie pour se faire plaisir, mais beaucoup de ses scènes n’ont en fait aucune utilité dans l’intrigue, et paraissent souvent futiles, ici pour garantir le côté anti-consensuel de Salon Kitty. Et puis il faut avouer que Brass a une mise en scène parfois foutraque, avec toujours sa tendance aux gros plans assez vains, qui n’ont, là aussi, pas d’utilité véritable au propos du film. En somme, Brass semble parfois vouloir faire un vrai film érotique, mais ne pas assumer pleinement ce statut, et cette première partie de métrage est réellement celle qui expose le plus sensiblement ce paradoxe.
    Reste que Salon Kitty a des atouts notables. Formellement très abouti si l’on omet les quelques effets de style parfois ratés de Brass, on ne peut qu’être séduit par le travail de reconstitution et l’effort fait sur les décors. Superbes, porté par une photographie froide d’une grande élégance, Salon Kitty est un sommet de l’érotisme chic, et le travail est incontestablement brillant, jusqu’aux uniformes, aux costumes, d’une grande richesse de détails. La bande son est au diapason, rétro et classique, en parfaite adéquation avec ce métrage, dont on regrettera peut-être juste qu’il n’y ait pas un peu plus d’extérieurs. Mais cela renforce aussi le côté parfois étouffant du film.
    Le casting est porté par des interprètes solides, avec bien sûr le duo de stars de l’époque : Helmut Berger et Ingrid Thulin. Convaincants, Berger colle parfaitement à ce rôle d’officier nazi sans scrupule et Ingrid Thulin hérite d’un personnage plus intéressant qu’on aurait pu le croire au début. Côté second rôle Brass a recruté un nombre marquant de « gueules », du discret Baccaro à Dan Van Husen, impressionnant officier nazi, et trogne qui fait toujours son effet ! On notera encore la très belle Teresa Ann Savoy, qui est en fait la véritable héroïne du film, et qui livre une prestation aussi sexy que subtile. Dans l’ensemble, les interprètes collent parfaitement à ce qu’on leur fait faire et à leurs rôles.
    Le scénario est assez simple, entre romance impossible, vengeance, perversité, cela sur fond d’espionnage historique, Salon Kitty est un film à l’intrigue sobre, mais avec beaucoup de sujets abordés, d’idées et de sentiments contrastés. Tout cela vient lui donner du volume. S’il y a quelques longueurs, spécialement dans la première partie, Salon Kitty n’est pas spécialement ennuyeux, et il profite réellement d’une dernière partie tendue fort réussie. Honnêtement, le début peut laisser assez dubitatif, car il laisse craindre une succession de scènes érotiques trash sans réel liant, et qu’on imagine terriblement pénible sur 2 heures. Mais Brass arrive réellement créer une intrigue et à donner du volume à son propos, et c’est heureux.
    En clair, Salon Kitty est un film provoquant et qui n’est évidemment pas du tout destiné aux âmes sensibles. Reste que Brass signe un de ses films les plus aboutis formellement, et aussi, sûrement, scénaristiquement. Sans échapper pleinement à ses travers quasi-habituels, ce qui donne une première partie plus faible, le réalisateur parvient à convaincre ici. 4
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 909 abonnés 12 470 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juin 2011
    1976: C'est du Japon que nous parvient "L'empire des sens" qui fit dèfinitivement basculer l'idèe même de censure! 1976, c'est aussi le "Salon Kitty" de Tinto Brass, cinèaste italien jusqu'à alors cantonnè dans les films à petit budget, qui raconte de façon hallucinante l'histoire d'un bordel berlinois de l'Allemagne nazie, que la gestapo utilisait à des fins d'espionnage. Dans les rôles principaux, Helmut Berger et Ingrid Thulin sont fascinants! Mais c'est Teresa Ann Savoy (très belle dans sa nuditè) en prostituèe romantique qui impressionne! Un film oscillant entre un Pasolini (on pense parfois à "Salò ou les 120 journèes de Sodome") et un Visconti (notamment pour sa reconstitution très soignèe du Berlin des annèes 40) qui lança la mode du porno nazi (femmes nues et uniformes SS en passant par des scènes scabreuses avec des nains et des handicapès en tout genre) où l'espionnage joue un rôle important! Culte...
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    328 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 mars 2014
    Depuis le temps que je devais voir le premier film de Tinto Brass, voilà qui est enfin fait. "Salon Kitty" nous conte donc l’histoire d’un officier SS qui reçoit la mission de diriger le plus connu des bordel de Berlin, Le Salon Kitty, afin d’espionner les clients importants de l’établissement. Il va alors engager et « former » des femmes fidèles au parti national-socialiste mais va s’amouracher de l’une d’entre elles…Ce film est vraiment un pur produit des années 70, et plus précisément de la « Nazixploitation » qui faisait rage à cette époque ("Ilsa la Louve des SS", "Le Camp des Filles Perdues" et "Des Filles pour le Bourreau" en sont quelques exemples marquants) : jeunes femmes dénudées, officiers nazis en uniformes, scènes de sexe osées…tout y est. Mais, contrairement à la plupart des bobines de ce genre, plutôt que de tomber dans la succession de scènes trashs ayant pour seuls but de choquer le public, Brass choisit de construire une histoire sur le thème de la révolte par l’intermédiaire de Marguerite, jeune fille dévouée à la cause nazi qui va ouvrir les yeux grâce à son amant régulier, un capitaine de l’armée allemande qui, écœuré par la guerre, est férocement opposé à Hitler et au Nazisme. L’idée est intéressante mais malheureusement le film se perd en longueurs et il est assez difficile de rester jusqu’au bout (d’autant plus que le film fait 2h10 !!)…j’ai du mal à croire ce que je vais dire, mais je me suis plus fait chier devant "Salon Kitty" que devant "Salo ou les 120 Journées de Sodome" ! C’est dommage car pour un dernier tiers vraiment intéressant, on doit s’en coltiner deux qui nous pousse plus dans les bras de Morphée que de nous inciter à continuer de regarder le film ! Mais je ne garde pas un souvenir 100% catastrophique de "Salon Kitty" : le passage de « l’entraînement » des jeunes filles en matières de pratiques sexuelles, la reconstitution de l’Allemagne nazie ou encore la prestation formidable de Helmut Berger dans le rôle de Wallenberg (véritable salopard dérangé qui n’a rien à foutre de Hitler et du nazisme : seul son carriérisme le fait vivre) sont autant de bonnes choses qui méritent amplement la vision du film.
    Film à moitié subversif car n’osant pas aller au fond des choses, "Salon Kitty" est une œuvre à la réalisation impeccable mais souffrant d’un handicap de rythme plus qu’évident. Il n’en demeure pas moins une curiosité pour cinéphiles dont la vision, au moins pour sa culture personnelle, est indispensable.
    Redzing
    Redzing

    1 144 abonnés 4 493 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 janvier 2016
    "Salon Kitty" est tiré de faits réels, à savoir la conversion d'une maison close en opération d'espionnage par les services secrets du 3ème Reich. Ceux-ci utilisèrent des prostituées entraînées et des micros bien cachés pour espionner officiers allemands et dignitaires étrangers. Un tel contexte pour aborder l'Allemagne nazie n'est pas inintéressant, sauf que le film préfère s'éparpiller dans de l'érotisme osé pour l'époque, sans proposer de vrai intrigue. L'aspect politique est quasi absent, l'espionnage est à peine utilisé, et l'on se borne à suivre quelques prostituées ayant affaire à des clients étranges et des nazis tordus. Toutefois, tout n'est pas à jeter. On y trouve quelques bons acteurs (Helmut Berger est glaçant en officier strict mais dérangé), une bonne reconstitution des années 40 et des maisons closes de l'époque, et une mise en scène qui livre quelques séquences baroques inspirées. Ainsi, plutôt qu'un film historique, "Salon Kitty" s'inscrit dans le début de la vague de "nazisploitation", qui fera fureur dans les 70's.
    AMCHI
    AMCHI

    5 899 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2010
    Salon Kitty est une sorte de mixte entre Portier de nuit et Les Damnés mais laissant de côté l'analyse politique au profit de l'érotisme de luxe, Tinto Brass aime les femmes (à sa manière) et nous offre un film mêlant perversion sexuelle, amour, folie tout cela dans une belle reconstitution de l'Allemagne nazie. L'histoire est assez simple mais le film fascine ; à signaler un très bon Helmut Berger en capitaine SS.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    116 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 octobre 2012
    Je n'avais vu que "Caligula" de Tinto Brass qui me paraissait peu représentatif de sa renommé, c'est pourquoi je me suis risqué dans ce qui est manifestement son plus grand succès. Il ne me fait aucun doute à présent de sa réputation de réalisateur controversé. Les 1ères minutes de "Salon Kitty" sont excessivement provocantes voir vulgaires si ce n'est dégoûtantes et on s'attend à un film très malsain et honteux. Quelle idée saugrenue mais en faite pas si bête que ça que de s'attaquer au nazisme à travers un bordel! Les dialogues sont également difficiles à supporter car parfaitement représentatif de cette idéologie au point qu'on se demande si Tinto ne cherche pas à faire passer ses opinions fascistes. Et pas du tout! Après avoir excité nos neurones avec ses fidèles plans de nombreuses paires de fesses le scénario se focalise petit à petit sur une véritable romance entre la superbe Teresa Ann Savoy et un officier nazi en voie de traîtrise envers sa confrérie ce qui est la véritable intention de Tinto pour nous amèner tout doucement vers ses convictions ce que j'aie trouvé très intelligent. Les nazis en prennent pour leur grade jusqu'à ce final très intense où l'on a droit à une excellente performance d'Helmut Berger qui va clore cette savoureuse satire dénonçant les tares de ses conquérants de l'Europe heureusement battus. Très bon scénario, réalisation sympa et un bon casting, si quelques images choquantes et un peu d'érotisme ne vous dérangent pas, c'est très plaisant!
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    764 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Certes, ce n'est pas du niveau de "Caligula", que le même réalisateur nous offrira quelques années plus tard, mais avec "Salon Kitty, les nuits chaudes de Berlin", Tinto Brass nous propose un très bon film érotique. L'histoire toute simple se déroule au début de la Seconde Guerre mondiale et raconte comment des nazis recrutent des prostituées afin d'espionner des clients dans une maison close berlinois. La réalisation est très réussi pour un film de ce genre et le casting assez étonnant, notamment en ce qui concerne les performances de Helmut Berger et de Ingrid Thulin.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    96 abonnés 1 550 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2015
    Si "Salon Kitty" partait plutôt bien, le film baisse en régime et en intérêt au bout d'une heure.
    En effet, sa réputation de film sulfureux est surtout due à cette première heure où le régime nazi et son idéologie sont représentés crument, sans concession, et c'est une chose que l'on voit peu dans les films plus traditionnels. Je pense notamment à la présentation de l'idéologie portant sur la prétendue suprématie de la "race" aryenne sur les autres par un médecin légiste. De ce point de vue, "Salon Kitty" est donc plus qu'un simple film avec des gens nus à tous les plans.
    Cependant, il ne faut pas s'y tromper, cet aspect est ultra minoritaire et là où le film fait encore mouche durant la première heure, c'est dans sa sélection des mata-haris. Là, Tinto Brass repousse beaucoup de limites et offre parfois des scènes très osées voire très limites.

    Toutefois, ce côté osé et sulfureux disparaît pendant l'heure suivante pour devenir un film plus traditionnel, mal filmé et avec des acteurs et actrices plutôt mauvais.
    Cela me surprend un peu venant de Tinto Brass puisque lorsque l'on s'intéressait à son Caligula, on avait à faire à un péplum plutôt bien réalisé, loin des plans très laids de ce film. Je suis un peu déçu de ce côté là même si je ne fondais pas d'exceptionnelles espérances en ce film.

    "Salon Kitty" n'est donc pas aussi sulfureux que l'on veut bien l'admettre et présente de nombreux défauts même si l'on tient sans trop de mal les plus de 2 heures que dure le film.
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    304 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mars 2008
    Parfois assez surprenant pour sa richesse de reconstitution, "Salon Kitty" n'est pas tant que ça éloigné d'une soirée échangiste à la dune du Pilat... ( Et puis de "Salo & les 120 journées" pour nos amis libertins. )
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 février 2014
    Avec la présence de Helmut Berger et d'Ingrid Thulin tout d'eux excellents ont fait bien sûr le rapprochement avec les damnés de Visconti. Le style est ici plus trash mais le film garde une certaine hauteur de vue. Du moins au début car le réalisateur au bout d'un moment semble atteindre sa limite et retombe dans la facilité.
    benoitparis
    benoitparis

    112 abonnés 1 277 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 juillet 2010
    Tinto Brass est un réalisateur comparable à un Paul Verhoeven. Talentueux et très cultivé, mais aussi roué, retors. Capable de mêler inextricablement la charge démystificatrice avec le racolage. « Salon Kitty » est très visiblement inspiré des « Damnés » de Viconti, avec les mêmes comédiens vedettes (Helmut Berger et Ingrid Thulin). Les deux films évoquent le même sujet, le nazisme, par le biais commun de la perversion sexuelle, utilisée par Brass au dernier degré de la provocation. Même esthétique aussi du fastueux et du glauque mêlés, avec en plus chez Brass le sens de la monumentalité. On passe, en voyant le film, du malaise à l’admiration. Tinto Brass joue avec les pulsions voyeuristes dans un contexte particulièrement abject et donne naissance, sans doute à son corps défendant à une catégorie peu ragoûtante de cinéma d’exploitation (la « nazi exploitation »). En même temps on ne peut que saluer son audace et reconnaître qu’il fait mouche : la charge contre les fascinations morbides ou faisandées du spectacle nazi est bien ciblée. On en est aussi, comme spectateur, une victime…
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 juillet 2010
    Raideur des costumes, décors « béton » et lumière « cave »

    On pourra toujours porter au scandale l’utilisation scénique de l’univers des nazis cela n’empêchera pas d’y décrypter les traitements de la domination et par conséquent celle de la femme coincée entre une carrière domestique de foyer et le machisme « armé » qui la traite en objet… Poussé certainement à l’extrême, cette palette de Tinto n’en est pas moins transposable à bien des milieux. Politique, ordre étatique et cellules duales se confrontent, s’affrontent. Bien entendu l’outil scénaristique rattaché au nazisme n’en est que plus hideux mais détaille la peinture noire d’une époque et comme leur convoitise visait à dominer le monde comment aurait-il pût en être autrement avec leurs conquêtes sexuelles ? Poussée au cynisme le plus abject, la relation homme femme n’est pas simple chez Tinto Brass et flirte souvent avec une certaine forme d’exaltation pornographique en caresse de sado masochisme. La torture est pour le spectateur horrifié de voir ces jeunes femmes lâchées en pâture au défouloir ou à l’orchestration des accouplements… Numéro de music hall assez sophistiqué - et il leur en fallait à ces crapules pour égayer leurs soirées - pas là pour donner de la douceur et de la crédibilité du régime social imposé par ces messieurs mais destiné à accentuer un paradoxe des pouvoirs de domination dans ce qu’ils entretiennent avec des formes de culture dominantes ou marginales.
    Révélation d’une actrice plus que belle…
    Cuillère de bois à probablement tous les festivals, le Salon… de Brass risque fort d’être tout simplement interdit pour motif de décors non adéquat avec le pouvoir dominant et torturant alors qu’il actualise la violence sexiste et la férocité de l’amour. Ah, si la culture joue la carte de l’intégrisme ce n‘est pas dans le film de Tinto Brass qu’il faille la chercher puisque par définition son contexte est repoussant dès le départ, la répulsion limitée qu’on peut en exprimer n’a d’égard que cette pulsion sexuelle qu’on aime tant à cacher et même si cela doit se passer en milieu d’expériences cliniques de laboratoires et de nombreux individus dits « déviants » n’ont de place dans l‘esprit de certains qu’en laboratoire, encore aujourd’hui… Cela doit résider dans le postulat du degré de coercition de droites réunies en une seule par sa même extrême et les pouvoirs des formes politiques qui y conduisent mais…
    Certes, le choix du contexte historique est maladroit et paraîtra hideux aux yeux sensibles et voilés de nombreuses vérités historiques en tous cas l’aspect provoquant marque une volonté nette de lever la censure et de ne pas se cacher la face aux vues de scènes qui n’inspirent certainement pas au voyeurisme mais se prononcent en faveur d’un film « placard » !
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