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Votre avis sur Le Château de Cagliostro ?
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Un très beau film d'animation réalisé par Hayao Miyazaki. C'est son tout premier long-métrage mettant en scène le gentleman cambrioleur Edgar de la Cambriole plus connu sous le nom d'Arsène Lupin III.
Film d'animation japonais d'ordre primaire attention. Bon pour le coup je ne comprends pourquoi pas je n'ai pas vue ce film de Miyazaki en premier. C'est un peu une introduction de tout ce qui poursuivra le cinéaste. Déjà à cause de cette affolante quantité de références; bon indéniablement Le Roi et l'Oiseau est passé par là et cela pour mon plus grand plaisir.
On est donc plongé dans cet univers fortement construit sur des bases fantastiques. Ce qui est nuancé par un film faisant évoluer ses personnages dans un cadre bien plus cartoon que dans n'importe qu'elle autre de ses films. Et bizarrement je trouve le film d'autant plus surprenant sur tous les plans grâce à cela. Après c'est assez proche de Porco Rosso sur l'aspect univers. Bref c'est une partit du cinéma de Miyazaki d'autant plus rare qu'elle en est précieuse. En fait je pense pas ce film comme meilleur que ceux qui suivront, seulement plus appart.
Et puis sur ce qui est du film en lui même et bien c'est excellent évidemment . On a affaire à un film vraiment de l'ordre du divertissement donnant un air très nostalgique à ses images. Sans pour autant être mal écrit. Autrement le personnage de Lupin est vraiment très intéressant pour le coup, les autres peu définit et donc moins attachant. Après les acolytes de Lupin sont très réussi contrairement a méchant du film qui est assez inintéressant. Enfin je trouve que les personnages les plus réussi restent ceux qui ont des traits exagérés.
On est donc plongé dans cet univers fortement construit sur des bases fantastiques. Ce qui est nuancé par un film faisant évoluer ses personnages dans un cadre bien plus cartoon que dans n'importe qu'elle autre de ses films. Et bizarrement je trouve le film d'autant plus surprenant sur tous les plans grâce à cela. Après c'est assez proche de Porco Rosso sur l'aspect univers. Bref c'est une partit du cinéma de Miyazaki d'autant plus rare qu'elle en est précieuse. En fait je pense pas ce film comme meilleur que ceux qui suivront, seulement plus appart.
Et puis sur ce qui est du film en lui même et bien c'est excellent évidemment . On a affaire à un film vraiment de l'ordre du divertissement donnant un air très nostalgique à ses images. Sans pour autant être mal écrit. Autrement le personnage de Lupin est vraiment très intéressant pour le coup, les autres peu définit et donc moins attachant. Après les acolytes de Lupin sont très réussi contrairement a méchant du film qui est assez inintéressant. Enfin je trouve que les personnages les plus réussi restent ceux qui ont des traits exagérés.
Club Dorothée
Contre toute attente, le premier long de Miyazaki n’a pas grand-chose à voir avec son univers habituel ni avec les thèmes qui lui sont chers. Et dans un sens, tant mieux. Nous tenons là une commande car c’est ici la suite de la série courts/longs Lupin III (aka Edgar de la Cambriole) d’où une impression de familiarité avec les personnages. D’où aussi une esthétique proche de chouette séries d’antan (Nicky Larson par exemple). Edgar et son comparse Isidor se retrouvent à aller chercher l’origine de faux billets dans une principauté européenne dirigée d’une main de fer par un dictateur retors. Dès le début, on sent bien qu’on est supposé connaître les personnages mais si ce n’est pas le cas, ça ne pose pas vraiment de problème. Dès le début donc, l’action bat son plein et on est vite dans l’ambiance entre comédie et aventure. C’est d’ailleurs le principal atout du film, on ne s’ennuie pas une seconde et c’est totalement frais, vif et décalé. Alors c’est sûr que l’animation n’est pas à la hauteur de ce que proposera Miyazaki ultérieurement mais peu importe car vraiment, on passe un très bon moment. A tel point que ça donne envie d’aller chercher les autres déclinaisons de ces héros hauts en couleur.
Contre toute attente, le premier long de Miyazaki n’a pas grand-chose à voir avec son univers habituel ni avec les thèmes qui lui sont chers. Et dans un sens, tant mieux. Nous tenons là une commande car c’est ici la suite de la série courts/longs Lupin III (aka Edgar de la Cambriole) d’où une impression de familiarité avec les personnages. D’où aussi une esthétique proche de chouette séries d’antan (Nicky Larson par exemple). Edgar et son comparse Isidor se retrouvent à aller chercher l’origine de faux billets dans une principauté européenne dirigée d’une main de fer par un dictateur retors. Dès le début, on sent bien qu’on est supposé connaître les personnages mais si ce n’est pas le cas, ça ne pose pas vraiment de problème. Dès le début donc, l’action bat son plein et on est vite dans l’ambiance entre comédie et aventure. C’est d’ailleurs le principal atout du film, on ne s’ennuie pas une seconde et c’est totalement frais, vif et décalé. Alors c’est sûr que l’animation n’est pas à la hauteur de ce que proposera Miyazaki ultérieurement mais peu importe car vraiment, on passe un très bon moment. A tel point que ça donne envie d’aller chercher les autres déclinaisons de ces héros hauts en couleur.
Un film beau, drôle par certains aspects, avec un scénario pas très original compensé par des personnages profonds.
Par contre il est techniquement très daté mais on ne boude pas pour autant son plaisir.
Par contre il est techniquement très daté mais on ne boude pas pour autant son plaisir.
Très mignon, très gentil, le film est magnifique. Mais la mayonnaise prend moins par rapport à ce que nous avait habitué Hayao Miyazaki. Le film est beau, rien à redire sur ce coup là, le scénario soigné mais...il manque quelque chose. La bande-son est d'après moi largement inférieure aux autres Miyazaki et est peu mémorable. Quittant son côté non-manichéen, le réalisateur Nippon nous présente un méchant très méchant, vénal. Après c'est vrai que ni Interpol, ni nos "héros", s'approchant plutôt de l'anti-héros, ne sont entièrement légitimes.
La poésie se fait moins sentir. Cependant le film est léger, facile au visionnage et haletant. Tout tourne autour d'un mystérieux château aux mille secrets. La morale de fin est superbe et une certaine critique de la société moderne tourne autour de ce film. Bref Le Château de Cagliostro est un bon film, qui ravira petits et grands, mais qui semble assez loin des chefs-d’œuvres habituels d'Hayao Miyazaki.
La poésie se fait moins sentir. Cependant le film est léger, facile au visionnage et haletant. Tout tourne autour d'un mystérieux château aux mille secrets. La morale de fin est superbe et une certaine critique de la société moderne tourne autour de ce film. Bref Le Château de Cagliostro est un bon film, qui ravira petits et grands, mais qui semble assez loin des chefs-d’œuvres habituels d'Hayao Miyazaki.
100 minutes trépidantes et pétillantes d'inventivité et de dynamisme qui réjouiront les enfants et leur parents
L’une des premières œuvres de Hayao Miyazaki, distribuée pour la première fois en France. Récit d’aventures mettant en scène le petit-fils d’Arsène Lupin, Edgar, affublé de ses deux acolytes(le mafieux et le samouraï), où l’on trouve déjà les motifs récurrents du cinéaste, dont l’opposition entre l’avidité humaine et la plénitude de la nature, ou sa fascination pour les machines volantes. L’occasion de (re)découvrir sa filmographie pour les jeunes (et moins jeunes).
Cinéphiles 44
Inédit au cinéma, le premier long-métrage de Hayao Miyazaki, réalisé en 1979, sort en France cette année 2019 dans une copie numérique restaurée. « Le Château de Cagliostro » est centré sur le personnage du petit fils d’Arsène Lupin, lui aussi cambrioleur. Après avoir réalisé le casse du siècle, il se rend compte que les billets étaient faux. Il va alors enquêter pour savoir où cet argent est fabriqué. Son aventure le mène au Château de Cagliostro où une princesse est enfermée avec la clé d’un fabuleux trésor. Si l’imaginaire est bien plus en retenu que sa filmographie à venir, le maître de l’animation signe une petite pépite perdue entre le conte romantique et le thriller. Les personnages sont bien construits et font rires tout en restant crédible dans leur aventure héroïque. Une délicieuse animation à ne pas manquer.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Très joli Miyasaki. On y retrouve la poésie, l'humeur, la nature, les vieilles pierres, le côté anti-conformiste des personnages.
On ne s'ennuie pas, le film file à toute vitesse avec ses rebondissements.
Une valeur sure dans une période triste.
On ne s'ennuie pas, le film file à toute vitesse avec ses rebondissements.
Une valeur sure dans une période triste.
C’est toujours émouvant de redécouvrir une pépite de l’animation de la part du Maître Hayao Miyazaki. Ce film date de 1979, mais il n’est enfin sorti en salles que le 23 janvier 2019 ! Quel bonheur de le découvrir en salle (je ne l’avais jamais vu) dans une salle du quartier latin bondée.
Beaucoup des thématiques de Miyazaki sont déjà à l’œuvre dans ce premier opus. Celui-ci a le charme d’une animation légèrement hésitante et le culot du voleur gentleman. Miyazaki a compris que dans ce type de films d’animation il fallait des moments de pure folie, du type course poursuite, des moments de charme avec une princesse, et des moments de respiration poétique en relation avec la nature.
Beaucoup des thématiques de Miyazaki sont déjà à l’œuvre dans ce premier opus. Celui-ci a le charme d’une animation légèrement hésitante et le culot du voleur gentleman. Miyazaki a compris que dans ce type de films d’animation il fallait des moments de pure folie, du type course poursuite, des moments de charme avec une princesse, et des moments de respiration poétique en relation avec la nature.
Le tout premier Myiasaki a quelque chose de nostalgique. Une animation qui rappelle sa série Sherlock Holmes, un scénario qui reprend les codes des Disney, des personnages attachants, et surtout une animation qui ne vieillit pas. À la différence de la 3D la méthode traditionnelle souffre moins des stigmates du temps.
https://www.facebook.com/la7emecritique/
https://www.cineserie.com/critiques/cine/le-chateau-de-cagliostro-sortie-inedite-du-premier-hayao-miyazaki-2284086/
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Hayao Miyazaki maîtrise l’œuvre du début à la fin, et même si on ne connais pas le dessin animé original on n'a pas de mal à nous mettre dans le bain, c'est drôle, c'est léger, c'est ingénieux et certains instants sont magiques comme seul Miyazaki sait en créer, puis la bande son est mythique.
Fan de Lupin 3, je décide donc de montrer ce premier long métrage à mes enfants.
Comme papa, ils ont adoré !!!
On retrouve tout l'univers de Lupin 3, ou Edgar de la cambriole pour le français moyen, un an après la fin de la saison 1.
Tous les ingrédients sont là, tous les personnages, mais on a le droit à un dessin plus joli, une animation beaucoup plus rapide, un meilleur sens de la réalisation...la série en dix fois mieux!
Sans dire encore une fois qu'il s'agit du premier film de, ce manga nous apporte action, humour, sentiments, sans aucun temps mort.
Un premier film Lupin 3 génial à regarder en famille même 30 après...
Comme papa, ils ont adoré !!!
On retrouve tout l'univers de Lupin 3, ou Edgar de la cambriole pour le français moyen, un an après la fin de la saison 1.
Tous les ingrédients sont là, tous les personnages, mais on a le droit à un dessin plus joli, une animation beaucoup plus rapide, un meilleur sens de la réalisation...la série en dix fois mieux!
Sans dire encore une fois qu'il s'agit du premier film de, ce manga nous apporte action, humour, sentiments, sans aucun temps mort.
Un premier film Lupin 3 génial à regarder en famille même 30 après...
Magnifique. Un film qui nous replonge dans la préhistoire du manga d'animation. Tout juste avant les fatidiques années 80, à partir desquelles se développeraient toutes les franchises cultes du genre. On a affaire en l'occurrence à la première réalisation de Miyazaki. La "patte" du bonhomme, loin d'être flagrante sur toute la longueur du film, apparaît par petites touches, par-ci, par-là. On aurait pu s'attendre de ce fait à une sorte de premier essai un peu brouillon, mais dans mon cas, ça a plutôt été l'inverse. Ce film a la particularité de mettre en scène un onirisme évitant une surenchère qui, selon moi, aurait tendance justement à nuire à l'onirisme du Miyazaki moyen. On s'y croit plus. Quelque part, ça rend mieux le regard que pourrait porter un enfant sur le monde, et j'aime ça. Donc voilà. Je l'ai vu à une époque où je n'attendais vraiment plus rien de Miyazaki, et j'ai eu une sacrée surprise.
Même si ce n'est pas le genre d'histoire sur lesquels on s'est habitué au style Myasaki, ce film n'en demeure pas moins l'expression d'un jeune génie. Un excellent moment au charme délicieusement retro.
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