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    Invisible Man
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    3,5
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    638 critiques spectateurs

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    FaRem
    FaRem

    8 637 abonnés 9 523 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2020
    Avec "Invisible Man", Leigh Whannell revisite l'histoire de l'homme invisible avec brio. Au début, je pensais qu'il s'agissait d'une nouvelle version du film de Paul Verhoeven puisqu'il est également question d'une relation de couple nocive, mais rien à voir. Le film écrit et réalisé par Leigh Whannell est bien plus intelligent. Alors que le film avec Kevin Bacon était un film de science-fiction un peu poussif, ce film est un drame horrifique très bien écrit et parfaitement mené de bout en bout. On sait ce que l'on va regarder et pourtant on est surpris par le déroulement des faits. Ce que j'ai aimé, c'est que le réalisateur tente de brouiller les pistes sur ce qui se passe réellement. Cécilia est parvenue à se sortir d'une mauvaise relation qui a laissé des traces et logiquement cela a des conséquences sur son état mental. On peut très bien imaginer que tout ceci se passe dans sa tête. Comme je l'ai dit, on sait ce qu'on regarde, mais le réalisateur arrive à semer le doute. Je pense même qu'il aurait pu faire encore mieux en cachant certains éléments, mais ce n'est qu'un détail, car toute l'histoire ne tourne bien évidemment pas autour de ça. Il y a quand même beaucoup de suspens avec autant d'éléments sans réponses, ce qui rend le récit captivant jusqu'à la dernière. Au niveau de l'ambiance, c'est très réussi. On voit bien que le réalisateur est un habitué du genre même s'il a davantage écrit de films d'horreur qu'il n'en a réalisés. On ressent bien l'angoisse de Cécilia et la tension est omniprésente de la première à la dernière scène. Elizabeth Moss, qui est excellente, participe en grande partie à cela. On peut également dire un mot sur le choix des décors et sur la mise en scène très soignée avec une caméra qui est toujours bien positionnée pour jouer avec la supposée présence de l'homme invisible. Après le chapitre 3 de "Insidious" qui était pas mal et le bon "Upgrade", on peut vraiment dire que Leigh Whannell hausse encore le niveau avec ce "Invisible Man" qui est un très bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 mars 2020
    J'ai adoré ce film. Ca change des deux Hollow man que j'ai églaement adoré mais où l'homme invisible était traité différemment^. :) Seul problème. Je n'ai pas du tout compris la fin x)
    Vador Mir
    Vador Mir

    257 abonnés 785 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 mars 2020
    Après l'excellent "Upgrade" j'attendais Leigh Whannell au tournant. The invisible man est un film très correct, avec beaucoup de tensions (parfois trop peut-être). Les choix de réalisations sont habiles et brillants. On est un cran au dessus des productions habituelles. . Il y a tous les ingrédients d'un film à suspens.
    On pensait l'angle déjà exploité par Verhoeven avec Hollow Man, mais The invisible Man va un peu plus loin dans sa manière de traiter la perversion narcissique et les violences faites aux femmes, les violences psychologiques notamment. C'est bien mené et maîtrisé.Dommage que le scénario deviennent alambiqué et invraisemblable.
    eldarkstone
    eldarkstone

    217 abonnés 2 073 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mars 2020
    Une re-lecture du mythe de l'homme invisible, plus moderne, mais aussi opprésante et plus humaine. Assez réussi c'esr le cas de le dire !
    Terreurvision
    Terreurvision

    211 abonnés 505 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 mars 2020
    Première grosse claque de ce début d'année 2020, Invisible Man vient remettre au goût du jour l'un des célèbres monstres Universal, sous la baguette inspirée du scénariste et réalisateur Leigh Whannell. Notre critique complète est disponible ici : http://www.terreurvision.com/2020/03/invisible-man-2020-de-leigh-whannell.html
    After D
    After D

    7 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mars 2020
    Un thriller original et bien foutu, qui flirte avec le film d'anticipation dans son traitement de la technologie d'invisibilité, et qui réserve des bons petits moments de tension. Bon rythme, bonne interprétation, à voir!
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    354 abonnés 1 790 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2020
    J’ai trouvé ce film fantastique horrifique très bon. On reconnait facilement la patte de Blumhouse Productions. Il y a un gros travail fait sur l’ambiance. Tout est fait pour nous surprendre et qu'on sursaute. Et cela marche. Je me suis pris facilement aux jeux avec certains passages qui m’ont laissé sur place (dans le bon sens du terme). Il faut dire que c’est bien aidé par une musique donnant du volume à ce qu’il se passe. On monte en puissance dans l’avancement du film. Il y a un vrai impact du concept de l’homme invisible. La volonté du réalisateur de tourner ce personnage « mythologique » vers la modernité et l’épouvante, est un pari réussi. Pendant 90% du film, je trouvais que par contre l’intrigue n’était pas du tout travaillée et que l’avancement était trop banal. Mais finalement, quelques rebondissements finaux donnent une meilleure saveur. Je ne les avais pas vus venir et ça donne une autre optique. J’ai été un peu moins enchanté par Elisabeth Moss. Je trouve qu’elle en fait légèrement trop. Son personnage qui frise la folie est intéressant. J’aime cet aspect paranoïa mais elle aurait dû être plus soft dans son jeu. Côté casting, il n’y a que Aldis Hodge qui m’a plu.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    687 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mars 2020
    On essaie de nous faire croire qu’un petit génie de la science obsédé par le contrôle – un Christian Grey scientifique, dit autrement – a inventé tout seul une combinaison d’invisibilité qu’il garde pour lui et dont il se sert, après avoir simulé sa mort, pour harceler sa petite amie ; qu’il prend néanmoins la peine d’envoyer un mail méchant à la sœur de cette dernière en forçant le mot de passe de son ordinateur ; que son propre frère l’aide dans ses machinations diaboliques au point de se séquestrer lui-même dans la cave de la maison ! Et comme contrepoint à ce scénario abracadabrantesque, Elisabeth Moss pleure, chouine, a les yeux rouges à force de les frotter. Un rôle qu’elle maîtrise à la perfection, le seul rôle qu’elle semble vouloir interpréter – en témoigne la série de Jane Campion. The Invisible Man n’est jamais crédible, en dépit d’une relecture pertinente de la symbolique du personnage créé par H. G. Wells à l’aune du féminisme : l’invisibilité devient aussitôt la métaphore de la persécution dont le spectre hante les espaces vides, menace de surgir à tout instant, confronte le protagoniste féminin à sa détresse affective et à l’image qu’elle renvoie à elle-même et aux autres, soit une folle qui balance de la peinture dans le couloir et du café moulu sur le sol de la cuisine. Le souci, c’est que cette idée ne bénéficie pas d’une écriture apte à la convertir en fondement sur laquelle construire un récit cohérent. À y regarder de plus près, les agissements d’Adrian n’ont aucun sens, n’obéissent qu’au besoin de remplir le temps – presque deux heures – et l’espace. De même, les réactions émotionnelles de l’entourage de Cecilia sont disproportionnées, à l’instar de cette sœur qui claque la porte après avoir reçu le fameux mail, visiblement trop long et élaboré pour provenir de l’esprit d’une personne fragile et volontiers confuse. The Invisible Man est un film empressé, conscient de tenir une bonne idée mais terrifié à la perspective de la perdre ; et si les séquences de tension s’avèrent plutôt réussies, le divorce entre le pitch et l’écriture de cinéma est trop net pour rattraper un ensemble animé par un faux sens.
    Emmanuel Ncll
    Emmanuel Ncll

    1 abonné 181 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2020
    Très bon film qui arrive à vous tenir dans un climat de peur et de tension sans abuser des screamer et des jumpsacre.
    14/03/2020
    EmilieUniverse
    EmilieUniverse

    15 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mars 2020
    Hello tout le monde ! Bon je suis allée voir *Invisible Man* et c'était plutôt pas mal, mais rien d'extraordinaire tout de même...

    D'abord, on a une histoire intéressante avec quelques scènes d'angoisses (même s'il en manque un peu à mon goût) bien choisies. Point positif pour (attention spoil) la scène ou Cécilia se bat avec l'homme invisible dans la cuisine ; cette scène aurait pu être un peu plus longue ou du moins il aurait pu y avoir plus de scènes similaires. De plus, je dois admettre que j'adore l'actrice Elisabeth Moss (*The Handmaid's Tale*) qui est naturelle et qui fait ressortir ce côté dans son jeu d'actrice.
    Néanmoins, le film est un peu long et manque de charme ou de chutes qui aurait pu alimenter et donner un meilleur film. Aussi, selon moi la fin est bâclée, mais je n'en dirai pas plus...

    Voilà, on est sur un film sympa sans plus qui se regarde de manière tranquille et agréable. Sur ce à plus tard pour une nouvelle critique...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 mars 2020
    très surprenant , super histoire bien construite
    une très bonne actrice pour le rôle principal
    j'adore

    je recommande ce film
    ffred
    ffred

    1 696 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 mars 2020
    Après le très moyen Insidious : Chapitre 3 et l’excellent Upgrade, j’étais curieux de voir ce nouveau film de Leigh Whannell. La bande-annonce était alléchante et pour une fois elle tient toutes ses promesses. Surtout qu’en tête d’affiche on retrouve l’excellente Elisabeth Moss (The handmaid’s Tale). Elle est vraiment très convaincante ici. Elle tient tout le film sur ses épaules. Film que j’ai particulièrement aimé. Les belles qualités du réalisateur entrevues dans son dernier long métrage sont de nouveau présentes ici. Une mise en scène solide et rythmée, un scénario bien écrit, imposant un ambiance lourde et étouffante, de plus en plus inquiétante et oppressante au fur et à mesure que le récit avance. Le tout est techniquement superbe. Une nouvelle variation sur le thème de l’homme invisible (même si on est ici du côté de l’entourage et de la victime), tout autant qu’un portrait de femme (victime de violences conjugales) et une implacable descente aux enfers, originale et parfaitement réussie. Efficace, palpitant et terrifiant. Une excellente surprise.
    Wylan
    Wylan

    20 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2020
    Ce thriller est époustouflant avec une Elisabeth Moss bluffante comme à d'habitude encore une remarquable performance de sa part. La tension est à son comble le film nous met dans une ambiance étouffante jusqu'à ce qu'on découvre la vérité, le pourquoi du comment. Et, honnêtement bravo scénario juste mais on reste sur notre faim beaucoup de choses pas assez expliqués et parfois pas du tout expliqués.
    Dy G
    Dy G

    3 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mars 2020
    Excellent ! J'ai beaucoup adoré et des passages où l'on s'y attend pas . Dommage que beaucoup de chose soit dévoiler dans la bande annonce mais sinon le film reste vraiment bien .
    Stephenballade
    Stephenballade

    396 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2020
    Un titre qui ne me disait pas grand-chose, mais pour lequel je me suis laissé finalement tenter en raison d’un visionnage en salle Ice. Si point de vue ambiance lumineuse, la technologie de cette salle n’apporte pas vraiment grand-chose, sa grande qualité acoustique avec le son dolby atmos apporte un vrai plus. Mais de là à payer un tel surcoût, je ne suis pas sûr que ça en vaille vraiment la chandelle, surtout si vous avez des salles réputées pour leur qualité audio. Bien que le fond de l’histoire n’est en soi pas très nouveau, "Invisible man" est une très bonne surprise. Une très bonne surprise qui vous fera passer efficacement deux bonnes heures de votre temps. Rien de très étonnant point de vue qualité quand on sait que Leigh Whannell a travaillé avec James Wan, celui-là même qui est considéré comme le nouveau patron du genre épouvante thrilleritique. Excusez-moi du terme, j’invente des mots mais je ne vais quand même pas dire thriller épouvantable ! Ça ne veut pas du tout dire la même chose ! Bref ! Encore faut-il savoir mettre les leçons reçues à exécution. Eh bien le résultat est plus qu’honorable. Je dirai même plus, il est convaincant. Il frôle l’excellence. Le générique de début est déjà original et surtout extrêmement bien fait : ces lettres qui se matérialisent sur chaque vague donnent déjà un aperçu sur la qualité des effets visuels. La confirmation ne tardera pas à venir, que ce soit par le biais de la couverture, ou de la table de la cuisine. Puis la caméra braque une maison perchée au sommet d’une falaise, étonnamment éclairée alors que tout le monde dort, bercé par le vacarme de la houle qui bat inlassablement la roche. Tout le monde ? Presque ! Le souffle haletant, la peur au ventre, une femme s’extrait de son lit. On comprend rapidement son dessein, et on se demande pourquoi elle n’agit pas quand lui n’est pas là. Ce serait tellement plus simple ! Mais la réponse nous sera apportée ultérieurement par la description faite d’un homme éminent, qui se trouve être un aussi un maniaque du contrôle. Au cours de cette fuite, une première incohérence vient rapidement : le fait qu’elle se fasse rejoindre pile poil à l’endroit où elle se trouve, et non pas à 50 mètres, 100 ou plus ! Il n’empêche que le spectateur ressent sa peur, mais pas autant qu’elle. D’abord parce qu’on se demande encore ce qu’il se passe et pourquoi (surtout pourquoi), notamment si on a pris le soin d’éviter comme moi le visionnage de la bande-annonce et la lecture de toutes les informations relatives au film comme le synopsis ou les différents avis. Certes notre peur n’est pas à la hauteur de celle que ressent Cecilia, mais le véritable tour de force du cinéaste est de savoir par moments inverser la tendance. La buée du souffle derrière elle en est un parfait exemple, mais attention : c’est très court et on peut facilement rater ce moment. Dès les premières images l’attention du spectateur est retenue, mais celui-ci devra faire preuve d’une attention de tous les instants, ce qui ne devrait pas être trop dur. En effet, Leigh Whannell connaît les codes du genre, sait utiliser les jump-scares sans en abuser, et parvient même à nous surprendre complètement ! La scène du restau ou de la gifle sur la jeune Sydney (Storm Reid), avouez quand même que c’était inattendu, d’autant que ça arrive de façon très soudaine ! Sans compter que c’est l’occasion de mesurer l’intelligence de l’homme invisible, et donc forcément du scénario : être invisible, c’est bien, mais quand on peut faire en sorte de faire accuser quelqu’un d’autre pour chacun des méfaits commis, c’est mieux. En tout cas malin. Non, pas malin, c’est machiavélique ! Le cinéaste aurait pu se contenter de ça, mais voilà que de temps en temps il tourne sa caméra sur un endroit où il ne se passe rien. Mais en est-on sûr, qu’il ne passe rien ? Une belle façon en tout cas, de rendre le spectateur un peu parano sur les bords. Alors quand en plus la musique de Benjamin Wallfisch vient renforcer tout ça, forcément on ne peut qu’être pris dans cette intrigue un peu dingue, il faut l’avouer. Cependant "Invisible man" tire aussi son épingle du jeu dans la façon de traiter le sujet. Ici nous n’avons pas affaire à une fuite en avant (quoique dans un premier temps si), ni à une poursuite incessante du persécuteur (bien qu’elle soit bien présente), mais plutôt à une volonté farouche de se défendre, de combattre ce qui ne se voit pas aux yeux des autres. Le point de vue réaliste n’est pas pour autant oublié, confrontant les autres personnages à l’inexplicable et donc à la confrontation avec ce qui ressemble à de la folie. N’oublions pas qu’à leur place, nous réagirions comme eux et que pour Cecilia, il y a de quoi perdre totalement la raison si elle ne connaissait pas aussi bien son diable de mari. En parlant de ça, notons la très bonne prestation d’Elisabeth Moss qui a la lourde charge de porter le film sur les épaules si on excepte la technique de Leigh Whannell. On voit une évolution parfaite de son personnage, passant par toutes les étapes de la personne terrorisée à la femme fatale. Saluons cette implication qui n’a pas dû être de tout repos. Saluons aussi la performance de Leigh Whannell qui aurait pu se contenter de finir là où beaucoup d’autres auraient mis un terme à leur long métrage. Non, tel quelqu’un qui veut aller jusqu’au bout des choses, il nous offre une dernière pirouette, non content d’avoir su précédemment brouiller les pistes quant à l’identité du persécuteur. Après tout, si on y réfléchit un peu, tout est possible ! Et en plus ça se tient ! Punaise, on n’a pas fini de se triturer l’esprit avec ça… un peu comme l’avait fait "Basic instinct" à l’époque : souvenez-vous, ne vous êtes pas demandé si la vraie meurtrière était… la brune ou la blonde ?
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