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    Invisible Man
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    3,5
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    638 critiques spectateurs

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    vindiesel
    vindiesel

    4 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 avril 2020
    pas aimé du tout .... au bout d un moment on d eccroche ... l histoire est tiré en long ... je ne le recommande pas .
    Naughty Doc
    Naughty Doc

    910 abonnés 432 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 février 2020
    Après un Insidious 3 en demi-teinte, et un Upgrade qui se révélait être une très bonne surprise, Leigh Whannell revient chez Blumhouse et Universal. Invisible Man se veut une refonte du mythe de l'Homme Invisible,dans une histoire de thriller-slasher sous tension !

    L'homme invisible ne date pas d'hier. En effet, H.G.Wells sorti le roman éponyme à la fin du XIXe siècle, et depuis, son héritage n'a cessé de faire fantasmer. Si bien que plusieurs œuvres sont nées, sur le grand ou petit écran. On connait évidemment L'Homme Invisible de 1933 (film culte de l'âge d'or des Universal Monsters, tels que la Momie ou la créature de Frankenstein), Les Aventures de l'Homme Invisible de John Carpenter, ou bien Hollow Man de Paul Verhoeven. De multiples itérations, nous montrant tantôt un héros devenu invisible, tantôt un être devenant maléfique. C'est sur cette dernière approche que Whannell a conçu Invisible Man !


    D'entrée de jeu, le film nous présente efficacement son postulat de base. Nous suivons Cecilia Kass, compagne terrifiée de Adrian Griffin, un scientifique sociopathe et pervers narcissique. Cette dernière décide un jour de s'enfuir pour de bon de sa prison luxueuse, lorsqu'elle apprend quelques jours plus tard qu'Adrian s'est donné la mort. Malheureusement, les ennuis ne feront finalement que commencer, lorsqu'elle découvrira la vérité : il a réussi à trouver le moyen de se rendre invisible. Ce sera donc le début d'une lente plongée vers la folie.


    De ce pitch de départ ne cachant à aucun moment la volonté de dépeindre la masculinité toxique et la terreur qu'elle génère, Invisible Man se révèle être un thriller sous tension fait avec un vrai sérieux. Prenant le temps de dérouler son récit et développer son personnage principal, Leigh Whannell prouve également encore une fois ses talents de mise en scène. Le réalisateur arrive à filmer le vide et suggérer la présence d'une menace invisible avec une facilité déconcertante. Chaque recoin, chaque espace est utilisé pour semer le doute et manœuvrer le suspense, le tout sans artifice.


    Une porte qui s'ouvre, une trace de pas, un déplacement d'objet une silhouette dans un fauteuil...des éléments à priori communs pourvoyeurs de tension. Et lorsque l'homme invisible se révèle plus explicitement, un simple couteau en l'air suffit à générer un effet maximal. Une économie de moyen qui se trouve totalement décuplée par une mise en scène ultra efficace, sublimée par un vrai travail de montage et un sens du découpage.

    Si faire de l'antagoniste principal un être très peu visible à l'écran (Oliver Jackson-Cohen, vu dans The Haunting of Hill House, est très bon du peu qu'on le voit réellement), Invisible Man est littéralement porté par son actrice principale. Elisabeth Moss (The Handmaid's Tale, Us) est tout bonnement excellente, parvenant sans mal à créer l'empathie et nous faire croire à sa plongée dans la paranoïa !


    Tantôt femme maltraitée en proie à un stress post-traumatique, tantôt femme battante et déterminée, on tient sans aucun doute un des rôles féminins forts de cette année. Le reste du casting, légèrement plus fonctionnel, est réussi et incarné, que ce soit Aldis Hodge, Storm Reid ou Michael Dorman.


    Si le film se révèle passionnant les 3 quarts du temps, Invisible Man n'est pas exempt de quelques scories. La faute a quelques facilités scénaristiques mais surtout un dernier tiers plus balisé, et plus convenu dans sa narration,amenant sa bonne fin de manière trop abrupte. De menus défauts qui ne pèsent pas forcément bien lourd sur la balance,mais empêchent le film de finir sur un upercut, bridant de belles idées pour un déroulé plus classique de slasher.


    Quoiqu'il en soit, Invisible Man demeure une chouette proposition, à contre-courant de l'industrie actuelle. Préférant traiter une histoire avec sincérité et développer ses personnages plutôt que de privilégier un festival d'effets numériques sans âme, Leigh Whannell livre un bon film réussi. Solide, tendu, souvent prenant, porté par une vraie performance d'actrice, un sound design anxiogène de Benjamin Wallfisch (Blade Runner 2049 , Shazam) et une mise en scène maitrisée, Invisible Man est le film de genre à ne pas louper ce mois-ci.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 juillet 2020
    Énormément d'incohérence dans le film, ce qui gâche le spectacle. Je savais pas qu'elle était capable de mettre des baffes télescopiques et surtout qu'elle est tellement rapide que la gamine n'a pas eu le temps de la voir venir.
    Sans parler de la boîte de diazepam... Et le chien qui vie tout seul dans la baraque (bon la on peut parler de la femme de ménage mdr).
    Tout ça en a peine une heure de film et je suis sur d'en avoir oublié quelques uns...
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 février 2020
    Plus de doutes chez Blumhouse, qui tranche sur le retour des monstres Universal avec une réelle conviction de réinventer les mythes. Et quand bien même la production excelle dans l’art du divertissement horrifique, parfois à outrance, il faut avouer que l’on tend vers un équilibre dramatique à suivre, notamment auprès des équipes qui ont la responsabilité d’innover et de garder la lame aiguisée. Le réalisateur australien Leigh Whannell est le premier dans le coup, après nous avoir fait comprendre que son “Upgrade” avait plus de potentiel qu’il n’y paraît. Il enchaîne donc avec une relecture intéressante de Griffin et les conséquences de son excentricité. Et pourtant, le scientifique n’est pas le coeur du sujet, mais il maintient ce rythme et cette tension autour d’une victime, dont on adopte le point de vue. L’idée peut s’avérer limité et même détourner à des fins plus subtiles, mais la finesse se trouve ailleurs, quelque part entre ce que l’on voit et ce que l’on ressent.

    Nous avons une femme en quête de rébellion, mais le courage ne fait pas tout, notamment lorsqu’il s’agit de violence conjugale ou relation toxique. Elisabeth Moss porte donc son personnage Cecilia avec une grande crédibilité. Jamais dans le surjeu, cette battante admet tout de même ses faiblesses, à savoir des cicatrices qui ont longtemps baigné dans des traumatismes douloureux et intérieurs. On ne révèle pas tous les aboutissant et la première partie nous laisse suggérer et déduire énormément d’hypothèses, avant de trancher entre une réelle folie ou bien l’oeuvre d’une menace invisible et palpable. Le récit repousse cependant plusieurs fois l’échéance et parvient à garder son jeu optique qui forge la paranoïa de Cécilia et peut-être même du spectateur. Toute la mise en scène repose sur les bases du harcèlement et des codes de l’horreur. Et le traitement passe inévitablement par l’aspect d’une guérison déguisée. Le fantôme ou encore le spectre d’un homme rôde pour insuffler de la peur et elle sait facilement traverser l’écran pour nous alerter. La mécanique verra sa pertinence et son efficacité s'atténuer, passé un certain acte percutant, mais d’autres détails peuvent irriter, car on se répète ou on perd de la visibilité dans la structure narrative.

    L’intrigue a vraiment du mal à trouver une conclusion, car il faut déclarer le triomphe ou la chute de l’héroïne. Mais avec les thématiques fortes du moment, il serait impossible voir cette fin se détourner de ses objectifs. Pas d'ambiguïté, nous avons un rapport de force qui change radicalement et qui jure un peu avec ce qui a été posé. L’influence de MeToo oriente encore certaines décisions et on ressent cette confusion au bout d’un moment. Ce qui ne nous gâche pas le plaisir pour autant, mais de la frustration s’en dégage inévitablement. Peut-être qu’un brin de subtilité aurait pu maquiller ces maladresses. Le travail du hors champ et des espaces vides est néanmoins réussi, ce qui nous prouve que ce film possède deux types d’emprise. D’un côté, nous avons un cinéaste qui use intelligemment du cadre et de l’autre nous avons un discours un peu trop badigeonné d’excès.

    Tout n’est pas parfait, mais tout semble maîtrisé et “The Invisible Man” (2020) s’installe convenablement dans les esprits. Il s’agit d’un beau rattrapage pour Blumhouse qui n’a pas hésité à limiter les effets visuels et à virer l’action décalé. Les fuyards seront prévenus, car il y a une forme de modestie qui ne peut plaire à tous les amateurs de gore ou de jump scare. Le Monster Universe devrait typiquement s’inspirer de cette première étape, qui mêle habilement la fantaisie et ce que le cinéma moderne a à offrir. Attention toutefois à ne pas étirer le support à l’excès comme Whannell a pu le faire sur des scènes qui ont beau l’air dynamiques, mais qui s’avèrent redondantes. Laissons donc une chance à la tragédie de se manifester et de rendre l’invisibilité possible, tout en la gardant mature.
    zorro50
    zorro50

    115 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 février 2020
    Le film démarre mollement avec 30 minutes dissuasives de demeurer dans la salle malgré tout. Puis, cela s’améliore un peu quand enfin on rentre dans le feu de l’action. Ensuite, on assiste à un bon film pour frissonner, avec de bons nombreux coups de théâtre du fait que le danger omniprésent n’est pas visible. Finalement, le résultat global est positif et je le recommande volontiers à tous ceux qui aiment se faire peur
    JPOLND86
    JPOLND86

    3 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mars 2020
    Un mélange d'épouvante, de thriller et de science fiction très justement équilibré. Le scénario est excellent, les effets spéciaux parfaits, le rythme du film pertinent et haletant. Un vrai bijou qui a su marier avec intelligence la technologie et la folie. Et on ne peut que reconnaître l'incroyable talent d'Élisabeth Moss qui est simplement stupéfiante dans ce rôle. Un grand bravo !
    Paolo C.
    Paolo C.

    11 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 mars 2020
    Mon dieu quel déception c est long les effets spéciaux limités la fin est catastrophique et je parle pas du scénario qui est d un privisible
    Franchement hollow man est nettement supérieur à celui ci
    frederic P.
    frederic P.

    9 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mars 2020
    Un film oppressant et captivant. Un suspens qui vous tient en haleine jusqu'au final. La musique est bien choisie et rend l'atmosphère pesante. Des acteurs sont exceptionnels. Un film qui contraste avec la version originale mais qui est est bien pensé et interprété.
    Nathan B.
    Nathan B.

    9 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 février 2020
    Un super film et une prestation d'elisabeth moss juste géniale ! Le jeu des caméras est juste ouf et l'histoire également
    Sir K
    Sir K

    4 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 mars 2020
    Excellent film, franchement à voir. Énormément de retournements de situation, le scénario est très bien ficelé, une très bonne surprise. Je ne peux que conseiller de le voir et Elisabeth Moss joue son rôle à la perfection.
    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    82 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mars 2020
    L'histoire est impeccable et elle se tient parfaitement jusqu'à ce moment où, lors de la fuite de l'hôpital psychiatrique, tout s'effondre. A partir de là, en plus d'avoir déduit qui était sous le masque depuis le début, je me suis dit que l'affaire était pliée et qu'il n'y aurait plus rien a en tirer. Tout ce que je vais retenir de ce film est sa mise en scène, Leigh Whannel s'amuse avec nous en filmant des endroits où il n'y a personne dans le champ de vision, voulant donner vie a des décors vides, on s'amuse a guetter le moindre geste. Dommage d'avoir gâché un tel sujet avec cette deuxième partie (qui conduit inexorablement a une mauvaise troisième partie) et cette morale plus que douteuse.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 août 2020
    Hypé par sa note moyenne sur allociné, je me suis laissé tenter !
    Qu'est ce que c'est mauvais.. les moyens sont présents, les personnages sont totalements inconsistants, la réalisation est pompeuse... et c'est sans compter les innombrables incohérences.
    Un Telefilm du dimanche sur M6 avec un gros budget.
    selenie
    selenie

    6 228 abonnés 6 180 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 mars 2020
    Les thrillers mettant face à face une épouse victime d'un conjoint violent n'a rien de nouveau, on peut même dire qu'on oublie un peu vite "Hollow Man". Par là même, si la combinaison à l'aube du 21ème siècle est plus vraisemblable mais elle ouvre aussi la porte à une succession d'incohérences et d'invraisemblances dans le déroulement du récit (pour les exemples cliquez ici !) La cerise sur le gâteau avec la musique qui est justement trop démonstrative, peut-être aussi est-ce pour cela que les meilleures séquences sont celles enveloppées d'un écrin de silence. On ne passe pas forcément un mauvais moment, mais le scénario reste bancal sur ce qui était promis comme original tandis que le reste n'a rien de nouveau. Dommage...
    Site : Selenie
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 mars 2020
    Bof, bof !
    Ca aurait pu être presque bien, mais de mon point de vue, l'actrice principale n'est pas crédible dans ce rôle. Il faut reconnaître qu'elle est particulièrement ....laide. Dans certaines scènes, son visage est vraiment effrayant.
    Elle est sensée jouer le rôle de la compagne d'un beau, brillant et riche scientifique.
    Nathalie Portman aurait été parfaite.
    De plus, c'est un film très connoté "post-#MeToo" pour collé à l'air du temps.
    La fin est assez immorale.
    Did
    Did

    14 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 février 2020
    Un divertissement honnête mais sans plus.
    Le film est assez long à démarrer et se révèle au bout du compte, très prévisible.
    J'ai trouvé ça au final assez moyen, mais pas raté.
    Cette histoire d'homme invisible trouve toutefois son originalité sur la façon dont ce dernier le devient, belle trouvaille.
    A voir un samedi soir à la maison.
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