Mon compte
    Invisible Man
    Note moyenne
    3,5
    11278 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Invisible Man ?

    638 critiques spectateurs

    5
    58 critiques
    4
    241 critiques
    3
    185 critiques
    2
    83 critiques
    1
    44 critiques
    0
    27 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Geoffrey Ladave
    Geoffrey Ladave

    5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 avril 2020
    Zéro zéro zéro. Lent. Prévisible. Mal joué. Mal fait. Une pure perte de temps.
    Comment peut on faire des films aussi mauvais?
    Et surtout donné une bonne note à ce film ? Alors c'est quoi un mauvais film?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 juin 2020
    Extrêmement nul, encore un de ces films où on prend le spectateur en idiot. Une personne dont la vie est en danger et qui ne réfléchit même pas dans ses choix et actes. La scène avec la peinture dans le grenier a été la seule intelligente de sa part à travers le film
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 mars 2020
    Mon Dieu les mots me manquent ! Incroyable, un monument, une œuvre cinématographique dantesque ! Ce film vous tient LITTÉRALEMENT en haleine du début à la fin ! La peur et l'angoisse ne vous lâche pas une seconde. C'est pour ça qu'on aime tant le cinéma, pour avoir des émotions comme celles ci ! Elisabeth Moss : tout simplement une des meilleurs actrice de sa génération. Non que dis je, la meilleure d'entre toutes. Chef d'œuvre !!
    Barroul
    Barroul

    11 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 février 2020
    Les musiques sont inquiétantes, les plans larges sont magnifiques mais on manque d'explications sur la fin ce qui nous laisse perplexe sur plusieurs points. Bon film néanmoins avec des acteurs talentueux.
    Valentin b.z.p.
    Valentin b.z.p.

    25 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 juillet 2021
    "Comment avoir peur de ce que l'on ne voit pas ?"

    Vingt ans après le divertissant "Hollow Man, l'homme sans ombre", le mythe de l'homme invisible est ramené sous le feu des projecteurs grâce (ou à cause) de l'impulsion du célèbre producteur Jason Blum, connu pour sa surprenante attirance à côtoyer le bon (Get Out, Blackkklansman,...) comme le moins bon (Ouija, American Nightmare 2 à 4, Ma et j'en passe), et du réalisateur Leigh Whannell, à qui l'on doit notamment le surprenant et encourageant "Upgrade". Là où l'on suivait les pas de "l'homme sans ombre" et de Kevin Bacon dans le film de Verhoeven, l'on suit cette fois-ci les pas de la proie, Cécilia.

    Leur projet, aussi ambitieux était-il, était de réussir à faire frissonner le spectateur sans que celui-ci ne puisse voir l'homme terrifiant et traquant la protagoniste. L'on part donc sur un postulat à l'opposé de classique de l'horreur parmi lesquels je pourrais vous citer Scream, Les Griffes de la nuit ou encore Halloween dans lesquels la terreur naît de la peur visuelle de l'antagoniste.
    Alors, pari réussi ? À vrais dires, non et ce malgré les critiques dithyrambiques.
    En réalité, nous nous retrouvons davantage face à une fresque à l’effigie des derniers divers mouvements féministes que face à un film d'épouvante ou un thriller réussi. Véritable allégorie de ces dits mouvements, Leigh Whannell se retrouve pris entre deux feux : défendre ces mouvements, aussi louables et importants soient-ils, et raconter une histoire, intéresser le spectateur. Je tiens à souligner que, par mes lignes, je ne remets en aucun cas en cause les mouvements précités.

    Le partie-pris par le réalisateur est clair et ne laisse rien transparaitre : Whannell, à travers le mythe l'homme invisible, livre un long-métrage bourré d'allusions au rôle second de la femme parfois battue, manipulée, contrôlée ou véritable proie de l'homme dans cette société "patriarcale". Cela s’interprète-t-il comme une réponse au propos hasardeux et critiqués de Jason Blum qui avait affirmé en 2017 qu'il "n'y a pas beaucoup de réalisatrices de manière générale, et encore moins qui accepteraient de faire un film d'horreur". Sans doute.

    Mais revenons à "Invisible Man".
    Loin de moi l'idée de critiquer chaque film dénonçant une part sombre de notre société ou dressant un message aux spectateurs derrière son histoire. Tautologiquement, il faut ainsi avoir une histoire à raconter (dans le genre, comment oublier l'excellent "Thelma et Louise" de Ridley Scott).

    Là où le bas blesse c'est que, derrière cette allégorie de la souffrance féminine, l'on s'ennuie devant cet insipide scénario du méchant mari qui en viendra jusqu'à mourir, pour de faux, puis se rendre invisible pour faire souffrir sa femme davantage.
    Les trois premiers quart d'heure souffrent, autant que le spectateur souffre d'ennui, d'une profonde paraisse d'écriture à tel point que je me suis endormi. J'ai dû m'y reprendre à deux fois avant de finir le film.
    Plus encore que la paresse, je peux également souligner diverses maladresse : la plus frappante étant la fausse mort du mari. Qu'à fait la police, existe-t-il des coroners dans ce film, qui a examiné le corps ?
    Enfin, le twist final ( spoiler: le frère dans le coup et meurtrier, le mari innocenté puis tué
    ) s'avère être malheureusement raté et laisse bien trop de question en suspend : quel était l'intérêt du frère (l'argent je suppose en faisant passer Cécilia pour folle) et surtout l'intérêt du mari lui-même (qui se fait passer pour mort puis réapparait comme par enchantement sans que la police ne se pose de question) à part satisfaire son côté sadique.

    En somme, malgré quelques scènes plutôt réussies, il ne passe pas grand chose, c'est long, trop long (plus de 2 heures), et, à l'inverse de la protagoniste qui ressent la peur, le spectateur n'arrivera pas à avoir peur de ce qu'il ne voit pas.
    oooooooooo
    oooooooooo

    101 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 février 2020
    En se plaçant strictement du coté de la victime, le film sacrifie d’emblée ce qui constitue la part la plus fructueuse du dispositif déjà de nombreuses fois exploité (là où la dernière version en date, celle de Verhoeven, bien inégale, avait su concilier les deux). Celle du spectateur voyeur, celle du spectateur omnipotent par procuration. Un pari qu’on pourrait juger audacieux. Mais restait de fait raisonnablement une matière suffisamment riche pour produire un film sur le registre de l’angoisse, de l’horreur. C’est ce à quoi s’attèle ici le réalisateur-scénariste. C’est ce dans quoi pauvrement il sombre. Souvent le film de genre est jugé mineur. La seule vraie et juste raison est qu’il est bien souvent traité de façon mineure, confié à des personnes aux talents insuffisant.
    Le film ne produit rien de neuf, patchwork de matières éculées. Plus contrariant, et c’est souvent malheureusement le cas dans cette branche du divertissement, le film s’affranchit de toutes vraisemblances (à croire que le script n’a jamais été relu). L’invraisemblance n’est pas nécessairement à bannir. Hitchcock l’avait énoncé et éprouvé. Une très bonne idée dramatique ou cinématographique peut valoir qu’on sacrifie à la vraisemblance. Mais là la vraisemblance et la cohérence sont bafouées presqu’à chaque instant au profit de ... rien, de rien de significativement valable (jusqu’à s’enliser en voulant mettre de la vraisemblance là où il ne peut pas y en avoir, dans l’explication du dispositif). De ces produits bas de gamme dont le cinéma US a fait son pré-carré. Le tout mâtiné d’une esthétique à la NETFLIX (le casting, hors miss Moss, ressemble à une mauvaise blague, tout particulièrement du coté des mâles), le fléau du moment (avec son confrère Disney)
    Aubin C
    Aubin C

    9 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 mars 2020
    J'y suis allé essentiellement car on me l'a vendu comme un film d'horreur, ce qui n'est absolument pas le cas. On se rapproche plus d'un thriller teinté de science-fiction. Bref, on suit l'histoire de Cécilia qui fuit son sociopathe de mari pour essayer de retrouver une vie paisible loin de lui. Son mari, Adrian, va se suicider suite à son départ, mais après que Cécilia ait constaté plusieurs phénomènes étranges, elle devient persuadée que son ex-mari a trouvé un moyen de devenir invisible dans le but de la tourmenter sauf que personne ne va la croire. Pas grand chose à dire sur ce film, la première partie est assez longue et ennuyeuse, il ne se passe absolument rien si ce n'est une porte qui s'ouvre toute seule comme dans "Paranormal Activity", je m'ennuyais vraiment dans mon siège. On notera quand même la scène du restaurant qui offre quelque chose d'assez inattendu pour être souligné, c'est probablement la meilleure scène du film. Globalement, le rythme et la mise en scène sont vraiment mal foutus et c'est dommage car le film part sur le fait que l'antagoniste ne va pas chercher à tuer Cécilia mais plutôt à lui attirer tout un tas de problèmes qui auront pour conséquences de lui ruiner sa vie et je trouve ce parti prit scénaristique assez original. J'aime bien aussi le fait que le film dénonce par moment les violences conjugales mais j'ai paradoxalement un gros problème avec ça aussi : spoiler: pendant tout le film, Cécilia n'obtient jamais la paix qu'elle mérite. A la fin du film, après qu'elle aie tué Adrian, la toute dernière image du film nous montre son visage pour la première fois apaisé et libéré de l'emprise de son démon, mais je ne peux m'empêcher de lever un sourcil. N'est-ce pas encourager au meurtre que de choisir de montrer cela sous cet angle? Parce qu'en tout cas, la libération dans les yeux du protagoniste après qu'elle aie tué son bourreau est vraiment visible et le film nous laisse avec ça. J'avoue n'avoir pas su trop quoi penser de tout ça en sortant du cinéma...
    . Voilà à peu près tout ce que j'ai à dire sur le film, sinon que le film ne fait pas peur du tout, les effets spéciaux et l'esthétique du costume plutôt convaincants, les acteurs sont normaux mais en même temps, les personnages n'ont rien d'original donc c'est dur d'amener un vent frais en tant qu'acteur quand les personnages sont aussi lisses, le scénario est vraiment très classique et hormis la scène du restaurant, on n'est jamais surpris si tant est qu'on a déjà vu un policier dans sa vie. Bref, je ne m'attendais pas à grand chose et je ne m'étais pas trompé. Pas terrible.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 196 abonnés 7 501 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mars 2020
    Nous avions tout à craindre de la part de Jason Blum (producteur de films de genre à destination des ados et dont ses productions sont pour la plus part des navets).

    Mais fort heureusement, avec Leigh Whannell (Upgrade - 2018) à la réalisation, nous avons échappé de peu à l’archétype du film d’horreur. La mise en scène soignée et le casting viennent en grande partie sauver le film de sa léthargie. En effet, il faudra attendre la seconde partie du film pour qu’un semblant d’intérêt vienne piquer notre curiosité et nous sortir de notre apathie.

    Serait-ce l’effet #MeToo ou le hasard du calendrier ? Cette nouvelle relecture du roman de H. G. Wells s’intéresse aux violences faites aux femmes et se concentre sur le point de vue la victime et non sur celui de l’homme invisible (comme cela avait été le cas avec les précédentes adaptations).

    Divertissant mais pas révolutionnaire pour autant.

    http://bit.ly/CinephileNostalGeek
    PLR
    PLR

    465 abonnés 1 558 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 février 2020
    Moi qui n’aime pas trop le genre fantastique, mais qui apprécie les thrillers, je ne regrette pas le choix de ce film, le classant finalement davantage dans ce second registre que le premier. Un peu de fantastique donc, à renfort de haute technologie, mais surtout un thriller psychologique servi par l’actrice principale, métamorphosée, toute à son personnage. Son visage sur l’affiche en donne un aperçu. Conforme au genre thriller, le scénario permet au spectateur d’entrevoir la sortie de ce personnage principal des affres qui l’habitent et l’abîment. Non sans fausses pistes et donc rebondissements ! Ouah !!!
    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mars 2020
    Invisible man est efficace tant qu'il joue sur les possibilités du registre fantastique, laissant le spectateur en proie à l'ambiguïté. Malheureusement très vite le scénario prend une tournure plus classique pour s'achever de manière très artificielle un peu comme un mauvais thriller des années 90. Bien qu'efficace, le film paraît un peu daté. Il se regarde néanmoins sans déplaisir grâce à l'excellente interprétation d'Elisabeth Moss et quelques scènes d'action bien menées. Pas révolutionnaire mais sympathique.
    Ufuk K
    Ufuk K

    517 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 février 2020
    " invisible man" est un thriller fantastique qui sort des sentiers battus. En effet en dépit de quelques invraisemblances, l'histoire nous offre quelques séquences fortes avec un film qui nous démontre aussi comment un pervers narcissique peut détruire une personne, belle performance Élisabeth Moss impressionnante dans son rôle.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    175 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 février 2020
    Émancipée dans Mad Men puis emprisonnée dans Handmaid's Tale, violentée puis libérée ici, Elisabeth Moss par ses choix d'actrice incarne parfaitement un féminisme revendicatif et salutaire. La maison Blum nous propose avec Invisible Man un très bon thriller horrifique qui reprend un mythe du cinéma fantastique pour illustrer habilement une thématique ultra-contemporaine, celle du harcèlement, de la manipulation psychologique et plus généralement de la violence faite aux femmes. Avec les lésions invisibles, les fantômes et les traumas qui restent même quand leur courage leur a permis de quitter l'enfer marital. Un film intelligent sur l'emprise, les blessures de l'âme et la résilience.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 février 2020
    Thriller excellent, très applaudi après sa projection,suspense et stress durant tout le film, on est sous tension en permanence et E.Moss joue très très bien, je recommande
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 avril 2020
    Film atroce.
    À un moment, on peut voir un spray d'autodéfense agir sur un personnage équipe d'une combinaison complète, lui couvrant tout le corps.

    Ce nanard est dénué de toute cohérence.
    À fuir comme la peste !
    léo P
    léo P

    29 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mars 2020
    La rédemption d’une femme battue intégré à une histoire de film avec comme matière ce concept d’homme invisible, qui plus est produit par un studio tel que la Blum house (Get out, Paranormal activity etc.) est d’emblée une idée attirante qui mérite d’être souligné. Ainsi cette merveilleuse inspiration artistique nous mène à suivre une jeune femme, Cécilia Kass, persécutée par son mari qui va s’échapper de chez elle, terrorisé par celui-ci, et se morfondre dans sa peur chez des amis à elle jusqu’à ce qu’elle apprenne que son agresseur a fini par se suicider. Toutefois les choses s’emballent lorsqu’elle subit les violences d’une forme invisible qui lui pourri la vie, forme qu’elle soupçonne alors d’être son mari. Le sujet est donc très intéressant d’autant plus lorsqu’on commence à apprendre les motivations on ne peut plus narcissiques de l’agresseur, qu’il est d’ailleurs intéressant de transposer chez ces mêmes agresseurs qui sévissent encore aujourd’hui, jusqu’à malheureusement ce que le récit s’emballe vers une quête de spectaculaire qui le dessert complètement.

    Ainsi mis en perspective avec le reste du film, le scénario en tant que tel ne permet que très peu de s’attacher ou s’identifier aux difficultés rencontrées par l’héroïne tant la psychologie du personnage est balayée pour convenir à un spectacle qui déjoue très souvent. En effet, la première partie va à toute vitesse sans qu’on puisse se reconnaître en la protagoniste, celle-ci passe d’un état de peur, de faiblesse, dépendante des autres jusqu’à soudainement se métamorphoser dans la deuxième partie et devenir soudainement l’égal physique ou presque du frère comptable transformé alors en Terminator 2.0, personnage qui n’a d’ailleurs aucun intérêt si ce n’est de perdre complètement le propos de base. Le film s’égare dans la durée à trop vouloir s’égarer dans un spectaculaire forcé, alors que la peur peut tout à fait bien ressortir dans l’intimité, l’identification à un personnage ou même l’imaginaire et donner un effet semblable et tout aussi intéressant pour tout le monde. En effet puisqu’en rationalisant le fait d’être invisible, en sur-expliquant tout ce qui se produit à chaque moment de l’histoire sans laisser place à aucune imagination et donc implication du spectateur, on a le sentiment que tout sera dévoilé, justifié en nous tenant par la main sans part de mystère, et alors sans que ça vaille réellement la peine de voir l’histoire, autant la lire tant ce que l’on voit devient d’un ennui terrible. En mettant l’imaginaire de côté on enlève ainsi tout le charme et la part de mystère que peut produire le cinéma, car c’est ce qu’on ne voit pas, au final, qui est fascinant.

    La mise en scène est toutefois intéressante mais très déséquilibré sur tout le film où l’on remarque quelques scènes marquantes comme dans le restaurant par exemple ou au début dans la maison de ses amis mais sans pour autant être mémorable au point de pouvoir oublier les longueurs interminables des multitudes de combats sans intérêt s’enchaînant dans le dernier tiers du film. Le troisième long-métrage de Leigh Whannel réussi son pari lorsque ces scènes qui sont censés valider ce titre commercial de film d’horreur sont orchestrer de manière plus maline. Car en effet le concept d’homme invisible appel cette subtilité. Stimuler l’imaginaire du spectateur pour se demander où se situe la menace et le hors champs implique alors une tension qui provoque tellement plus d’effets qu’un combat armé avec un costume défectueux face à une héroïne qui au fil du film ne donne à aucun moment l’impression de pouvoir prendre le dessus sur son adversaire, si ce n’est par le coup du sort. C’est lorsque l’homme invisible est invisible qu’il nous intéresse et nous fascine, lorsqu’il hante la maison par de gestes très simples mais qui en deviennent alors terriblement terrifiant, et c’est par là que le réalisateur a perdu son sujet.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top