Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Brazil
par Cédric Janet
(...) l'apparente sécheresse de l'entreprise est contrebalancée par une mise en scène fluide et légère qui très vite dédramatise les situations. On ne tomba jamais dans le pathos lourdingue du film social.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site www.cinelive.com
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir le site www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Frank Kausch
Pour un regard qui se veut au-delà de la sclérose répressive des conventions et des identités contraintes (...) ajoutée à une mise en scène assez pesante, une ironie qui sonne mal.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Didier Roth-Bettoni
Des sujets passionnants se croisent ici (...) Trop sans doute. Marco Simon Puccioni sait en revanche dessiner des personnages attachants (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir sur le site www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Le scénario n'évite pas toujours une certaine lourdeur (...) la mise en scène, nerveuse et sèche, exploite à bon escient le jeu des comédiens...
Télérama
par Cécile Mury
Le réalisateur bâtit ainsi une fable un brin démonstrative sur la fatalité des déséquilibres moraux, sociaux et géographiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par La rédaction
Voir sur le site www.lexpress.fr
La Croix
par Marie-Valentine Chaudon
Le réalisateur filme leurs regards alors que la relation triangulaire s'effondre, et là, il parvient à toucher au coeur du sentiment humain.
Le Figaroscope
par La Rédaction
Immigration clandestine, homoxexualité, lutte des classes au menu de ce film pesant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Cette pâte de film social, à vocation politique, est toutefois mal travaillée par son réalisateur qui lui ajoute des péripéties mélodramatiques par trop épicées.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Dans Riparo, on se perd dès le départ dans un tour de passe-passe stérile entre le film et des images en DV, ce qui est de mauvais augure.
Brazil
(...) l'apparente sécheresse de l'entreprise est contrebalancée par une mise en scène fluide et légère qui très vite dédramatise les situations. On ne tomba jamais dans le pathos lourdingue du film social.
Ciné Live
Voir le site www.cinelive.com
Le Point
Voir le site www.lepoint.fr
Positif
Pour un regard qui se veut au-delà de la sclérose répressive des conventions et des identités contraintes (...) ajoutée à une mise en scène assez pesante, une ironie qui sonne mal.
Première
Des sujets passionnants se croisent ici (...) Trop sans doute. Marco Simon Puccioni sait en revanche dessiner des personnages attachants (...)
Studio Magazine
Voir sur le site www.studiomag.com
TéléCinéObs
Le scénario n'évite pas toujours une certaine lourdeur (...) la mise en scène, nerveuse et sèche, exploite à bon escient le jeu des comédiens...
Télérama
Le réalisateur bâtit ainsi une fable un brin démonstrative sur la fatalité des déséquilibres moraux, sociaux et géographiques.
L'Express
Voir sur le site www.lexpress.fr
La Croix
Le réalisateur filme leurs regards alors que la relation triangulaire s'effondre, et là, il parvient à toucher au coeur du sentiment humain.
Le Figaroscope
Immigration clandestine, homoxexualité, lutte des classes au menu de ce film pesant.
Le Monde
Cette pâte de film social, à vocation politique, est toutefois mal travaillée par son réalisateur qui lui ajoute des péripéties mélodramatiques par trop épicées.
Les Inrockuptibles
Dans Riparo, on se perd dès le départ dans un tour de passe-passe stérile entre le film et des images en DV, ce qui est de mauvais augure.