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Comme son titre le laisse supposer, le film s’inspire de la légende chinoise du serpent blanc avec des variantes : 2 serpents femelles de la taille d’un anaconda, un de couleur blanc, un de couleur vert, prennent apparence humaine et tombent amoureuses du même homme, dans cette version, un enseignant qui lui tombe amoureux de la femme serpent blanc (Joey WONG), âgé de 1 000 ans alors que sa sœur, serpent vert (Maggie CHEUNG), n’a que 500 ans et donc moins d’expériences dans la connaissance des humains.
spoiler:
Elles sont poursuivies par un moine bouddhiste qui a vaincu un vieux sage, représentation humaine d’une araignée. Bien qu’adversaire, le moine finira par sauver des eaux l’enfant du serpent blanc.
On retrouve le savoir-faire de TSUI Hark en matière de combats, très aériens et chorégraphiés, précurseurs de ceux que l’on trouve dans « Tigre et dragon » d’Ang Lee en 2000. La version de la légende que donne TSUI Hark se situe entre celle de « Madam White snake » (1960) du coréen SHIN Sang-ok, en noir et blanc, conventionnelle et un peu naïve et celle de « The sorcerer and the white snake » (2011) du hongkongais Tony CHING SIU-TUNG, qui gardait un côté conte pour enfant avec une abondance d’effets spéciaux (notamment un tsunami inondant un monastère !) : elle est un peu kitsch et même parfois psychédélique avec un zeste d’érotisme (cf. tentative de la femme serpent vert de séduire le moine bouddhiste en perturbant sa concentration).
On retrouve le savoir-faire de TSUI Hark en matière de combats, très aériens et chorégraphiés, précurseurs de ceux que l’on trouve dans « Tigre et dragon » d’Ang Lee en 2000. La version de la légende que donne TSUI Hark se situe entre celle de « Madam White snake » (1960) du coréen SHIN Sang-ok, en noir et blanc, conventionnelle et un peu naïve et celle de « The sorcerer and the white snake » (2011) du hongkongais Tony CHING SIU-TUNG, qui gardait un côté conte pour enfant avec une abondance d’effets spéciaux (notamment un tsunami inondant un monastère !) : elle est un peu kitsch et même parfois psychédélique avec un zeste d’érotisme (cf. tentative de la femme serpent vert de séduire le moine bouddhiste en perturbant sa concentration).
Un film , poétique, hors du temps et d'un charme naïf.
Dans ce conte fantastique, Tsui hark réussit deux portraits remarquable de femmes perdues dans la tourmente amoureuse. Si les effets spéciaux laissent à désirer, l'aspect théâtrale du film en gomme les imperfections pour nous faire accepter la vraisemblance du récit. Un film incontournable de l'âge d'or du cinéma de Hong Kong des années 90 à déguster avec un bon thé au jasmin.
Dans ce conte fantastique, Tsui hark réussit deux portraits remarquable de femmes perdues dans la tourmente amoureuse. Si les effets spéciaux laissent à désirer, l'aspect théâtrale du film en gomme les imperfections pour nous faire accepter la vraisemblance du récit. Un film incontournable de l'âge d'or du cinéma de Hong Kong des années 90 à déguster avec un bon thé au jasmin.
j ai du passer a cote de ce film vu les autres critiques
en ce qui me concerne j ai trouver ce film long avec des effects spéciaux plus que desues
le scénario est certe commun mais la réalisation et qd a elle hors norme ( le montage est assez complique
ce qui pour certains est poétique pour d autre plus terre a terre cela reste laborieux ( chacun ses gouts
un film a voir et a chacun de se faire son propre avis
en ce qui me concerne j ai trouver ce film long avec des effects spéciaux plus que desues
le scénario est certe commun mais la réalisation et qd a elle hors norme ( le montage est assez complique
ce qui pour certains est poétique pour d autre plus terre a terre cela reste laborieux ( chacun ses gouts
un film a voir et a chacun de se faire son propre avis
Benjamin A
Tsui Hark s'imprègne d'une légende chinoise pour mettre en scène Green Snake, celle du serpent blanc où deux de ces animaux sont inséparables, l'un a 1000 ans, l'autre 500 ans, l'un est blanc, l'autre vert et un jour, ils se transforment en deux jolies filles après avoir trouvé le chapelet du bouddha.
Légende connue en Asie et plusieurs fois adaptée sous diverses formes, ça faisait quelques temps que Tsui Hark songeait à en faire un film, déjà à la fin des années 80 avec Gong Li et Anita Mui dans les rôles principaux. Il en propose-là sa version, arrivant à en faire une oeuvre surprenante mais surtout remarquable et belle, teintée de poésie et de nombreux moments magnifiques, le tout dans un univers créatif et passionnant, sublimé par une belle bande-originale, dans lequel on est vite immergé.
Green Snake prend plusieurs risques, que ce soit dans l'aspect esthétique ou la façon de mener le récit et de se concentrer sur les deux figures féminines, et Tsui Hark remporte ces paris haut la main. D'ailleurs c'est remarquable de voir comment il arrive à créer un univers beau et original malgré quelques moyens défaillants, notamment dans les effets spéciaux, on oublie ces points-là et on est plongé dans une ambiance lyrique, parfois même onirique, et surtout prenante et puissante.
Tsui Hark démontre à nouveau tout son savoir-faire, que ce soit dans la gestion du récit et des personnages, ou dans l'aspect technique, où sa science du rythme, du montage et de la réalisation fait des merveilles. Chaque plan ou chorégraphie est parfaitement bien exécuté et s'insère justement au récit, ça sonne vrai et on peut aussi apprécier la façon dont il met en avant une très belle métaphore sur l'animosité de l'Homme et l'humanité de l'Animal. Maggie Cheung est comme toujours magnifique, et prête remarquablement ses traits au serpent vert, formant un parfait duo avec Joey Wong.
C'est une oeuvre magnifique et poétique que propose Tsui Hark avec Green Snake, un joli conte où il nous emmène dans un univers unique et fascinant, au côté de deux remarquables comédiennes.
Légende connue en Asie et plusieurs fois adaptée sous diverses formes, ça faisait quelques temps que Tsui Hark songeait à en faire un film, déjà à la fin des années 80 avec Gong Li et Anita Mui dans les rôles principaux. Il en propose-là sa version, arrivant à en faire une oeuvre surprenante mais surtout remarquable et belle, teintée de poésie et de nombreux moments magnifiques, le tout dans un univers créatif et passionnant, sublimé par une belle bande-originale, dans lequel on est vite immergé.
Green Snake prend plusieurs risques, que ce soit dans l'aspect esthétique ou la façon de mener le récit et de se concentrer sur les deux figures féminines, et Tsui Hark remporte ces paris haut la main. D'ailleurs c'est remarquable de voir comment il arrive à créer un univers beau et original malgré quelques moyens défaillants, notamment dans les effets spéciaux, on oublie ces points-là et on est plongé dans une ambiance lyrique, parfois même onirique, et surtout prenante et puissante.
Tsui Hark démontre à nouveau tout son savoir-faire, que ce soit dans la gestion du récit et des personnages, ou dans l'aspect technique, où sa science du rythme, du montage et de la réalisation fait des merveilles. Chaque plan ou chorégraphie est parfaitement bien exécuté et s'insère justement au récit, ça sonne vrai et on peut aussi apprécier la façon dont il met en avant une très belle métaphore sur l'animosité de l'Homme et l'humanité de l'Animal. Maggie Cheung est comme toujours magnifique, et prête remarquablement ses traits au serpent vert, formant un parfait duo avec Joey Wong.
C'est une oeuvre magnifique et poétique que propose Tsui Hark avec Green Snake, un joli conte où il nous emmène dans un univers unique et fascinant, au côté de deux remarquables comédiennes.
gimliamideselfes
Récemment j'ai vu The Sorcerer and the white Snake qui est en fait un remake (mais à l'époque je ne le savais pas) de ce Green Snake, sauf que ce film est réalisé par Tsui Hark et si j'ai aimé le remake, comment ne pas en attendre plus de ce film là ?
Le gros défaut du remake c'était la CGI dégueulasse, bon là il y en a aussi (et elle est même pire : 1993…), mais beaucoup moins et on a droit des effets mécaniques vraiment réussi pour certains, moins pour d'autres (surtout la maquette du serpent verre qui passe moyen en fait).
Et je dois dire que ce Green Snake est un beau film, pour sûr, très bien mis en scène, on a droit de beaux ralentis, des combats bien menés, d'où se dégagent un beau sentiment de puissance.
Après l'histoire reste en dessous d'histoire de fantômes chinois, tout comme les personnages, j'ai une nette préférence pour le film de Ching Siu-tung, que Tsui Hark n'avait que produit. Mais si elle reste en dessous, elle n'en est pas moins belle, et plaisante à suivre, surtout le final que je trouve magnifique, très beau, et surtout très triste.
Là où le film m'a vraiment bluffé, c'est sur la photographie,les éclairages, les couleurs vivent que dégage le film.
J'ai trouvé ça vraiment très beau par moments, cette image multicolore, pleine de vie, participant de manière intégrante à la création de cet univers doté de démons en tous genres.
Le film arrive à érotiser légèrement certaines scènes, bon ma préférence va encore une fois à histoire de fantômes chinois 2, mais quand même l'histoire est un peu plus que juste mignonne, romantique, tragique, on sent aussi un certain désir, un appel de le chaire (c'est tout relatif, mais je pense que ça a le mérite d'être souligner).
En somme un film très beau tant sur l'histoire que sur le visuel, mais malgré tout il possède quelques longueurs.
Le gros défaut du remake c'était la CGI dégueulasse, bon là il y en a aussi (et elle est même pire : 1993…), mais beaucoup moins et on a droit des effets mécaniques vraiment réussi pour certains, moins pour d'autres (surtout la maquette du serpent verre qui passe moyen en fait).
Et je dois dire que ce Green Snake est un beau film, pour sûr, très bien mis en scène, on a droit de beaux ralentis, des combats bien menés, d'où se dégagent un beau sentiment de puissance.
Après l'histoire reste en dessous d'histoire de fantômes chinois, tout comme les personnages, j'ai une nette préférence pour le film de Ching Siu-tung, que Tsui Hark n'avait que produit. Mais si elle reste en dessous, elle n'en est pas moins belle, et plaisante à suivre, surtout le final que je trouve magnifique, très beau, et surtout très triste.
Là où le film m'a vraiment bluffé, c'est sur la photographie,les éclairages, les couleurs vivent que dégage le film.
J'ai trouvé ça vraiment très beau par moments, cette image multicolore, pleine de vie, participant de manière intégrante à la création de cet univers doté de démons en tous genres.
Le film arrive à érotiser légèrement certaines scènes, bon ma préférence va encore une fois à histoire de fantômes chinois 2, mais quand même l'histoire est un peu plus que juste mignonne, romantique, tragique, on sent aussi un certain désir, un appel de le chaire (c'est tout relatif, mais je pense que ça a le mérite d'être souligner).
En somme un film très beau tant sur l'histoire que sur le visuel, mais malgré tout il possède quelques longueurs.
belle histoire racontée avec poésie et imagination. Le fantastique et le merveilleux sont présents tout au long du film, je me suis vraiment évadé pendant 90 minutes...bref du bon Cinema gros coup de coeur
Très beau film, avec des effets spéciaux un peu ... artisanaux... Mais une histoire d'amour très joliment raconté
film genial plein de poesie un reve eveille en gros une bombe
Même si la réalisation de Tsui Hark n'est pas toujours très fluide et que les effets spéciaux sont largement dépassés, ce film, inspiré d'une célèbre légende chinoise, est un plaisir à regarder.
lhomme-grenouille
Quel début singulier! Si on se limite aux dix premières minutes, on se demande vraiment à quel genre de flim on a à faire. Mais très vite le charme de Maggie Cheung et le talent de Tsui Hark prennent le dessus! C'est simple, ce film est un véritable jeu de séduction auquel on succombe. La musique, merveilleuse de douceur, y joue un très grand rôle. On en oublie les effets spéciaux douteux, les monstres en carton pâte, pour se laisser noyer dans un univers fantastique envoûtant... Un chef d'oeuvre trop méconnu!
Seul un conte chinois pouvais nous transporter au fin fond des songes de cette manière. Et tsui Hark nous étonne encore grace à sa mise en scène qui se fond pour le sujet du film. Lente et posée sur les paysages, plus rapide lors des affronts. Un rêve qui utilise à merveille câbles et maquettes, le tout sur une musique enchanteresse qui laisse pantois d'admiration béâte. Un pur chef-d'oeuvre!!!
Un trip scénaristique, poétique et visuel total du grand Tsui Hark qui se révèle en fait être une très belle métaphore sur l'animosité de l'Homme et l'humanité de l'Animal.
A travers une mise en scène inspirée et visuellement impressionante, Tsui Hark nous conte cette histoire avec beaucoup d'Amour et de poésie. Maggie Cheung y est d'ailleurs magnifique et prête ses traits au Green Snake de la meilleure manière qu'il soit.
Un bon divertissement asiatique beaucoup moins idiot qu'il pourrait paraître aux premiers abords... A découvrir donc !!!
A travers une mise en scène inspirée et visuellement impressionante, Tsui Hark nous conte cette histoire avec beaucoup d'Amour et de poésie. Maggie Cheung y est d'ailleurs magnifique et prête ses traits au Green Snake de la meilleure manière qu'il soit.
Un bon divertissement asiatique beaucoup moins idiot qu'il pourrait paraître aux premiers abords... A découvrir donc !!!
Un très bon film de Tsui Hark. Si vous aimez les contes chinois et les belles images vous allez adorer Green Snake.
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