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    Megalopolis
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    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 878 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 septembre 2024
    Plutôt que de lire les critiques, professionnelles, ou pas, plus subjectives encore que pour d'autres films, le mieux est d'entrer dans le grand barnum de Megalopolis à peu près vierge et, ainsi, de se forger sa propre opinion. Il s'agit ici d'une œuvre inclassable, à laquelle il est difficile d'adhérer pleinement mais qui ne mérite non plus l'opprobre. Ce grand spectacle boursouflé, grandiloquent et grandiose décrit, façon dystopie, la chute de l'empire américain dans une veine de néopéplum ébouriffant sur le plan visuel, parfois, et déconcertant narrativement parlant, souvent, partagé entre délires rétro-futuristes et scènes intimistes. Il y a de quoi perdre son latin dans ce capharnaüm crépusculaire et très personnel que l'on imaginer représenter une sorte de testament cinématographique de la part de Coppola quoique, à 85 ans, il n'est pas dit que cela soit son dernier mot. Même si ce grand film malade ne nous comble pas d'aise, il mérite cependant du respect de la part de ceux qui le jugent, la majorité de ces derniers n'ayant évidemment pas le quart de la moitié du talent du réalisateur du Parrain. Il ne faudrait d'ailleurs pas insulter car qui dit que Megalopolis ne sera pas dans les décennies futures devenu culte ? Là, tout de suite après la projection, l'envie d'en dire plus de mal que de bien se révèle tentant mais il y a quand même quelque chose de visionnaire et de gargantuesque dans ce maelström d'images et d'idées qui incite à moins accorder d'importance au ressenti immédiat car son caractère de film hanté ne laisse pas indemne, en dépit et même grâce à ses intrinsèques imperfections. Entre baroque et hard rock, en quelque sorte.
    Rodolphe35
    Rodolphe35

    11 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2024
    Un grand spectacle et un acteur Adam Driver incroyable en maître du temps . Il y a des moments ou Coppola nous perd mais la magie reprend et on finit ce film en souhaitant le revoir pour rêver encore un peu de cinéma du nouvel Hollywood.
    Jipéhel
    Jipéhel

    61 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2024
    Le caprice d’un vieillard de génie

    Une épopée romaine dans une Amérique moderne imaginaire en pleine décadence... Ainsi commence le pitch du nouveau et très attendu film de Francis Ford Coppola. Une fresque de 138 minutes dans le style science-fiction dramatique. La ville de New Rome doit absolument changer, ce qui crée un conflit majeur entre César Catilina, artiste de génie ayant le pouvoir d’arrêter le temps, et le maire archi-conservateur Franklyn Cicero. Le premier rêve d’un avenir utopique idéal alors que le second reste très attaché à un statu quo régressif protecteur de la cupidité, des privilèges et des milices privées. La fille du maire et jet-setteuse Julia Cicero, amoureuse de César Catilina, est tiraillée entre les deux hommes et devra découvrir ce qui lui semble le meilleur pour l’avenir de l’humanité. C’est aussi superbe visuellement qu’incompréhensible de bout en bout. Et dans ces conditions, même si on en a plein la vue, l’ennui gagne très vite. Pourquoi avoir fait aussi fuligineux et abscons ? Sans doute pour des initiés dont je ne fais pas partie.
    J’ai parlé de caprice dans mon titre. Oui, mais un caprice à 120 millions de dollars. Disons-le tout net, toute sa fortune personnelle y est passée. Quand je parlais de caprice… C’est le projet d’une vie pour Coppola. Il aura fallu quatre décennies au réalisateur pour passer de l’idée à la pellicule et il aurait déjà commencé à programmer ce projet lors du tournage d’Apocalypse Now en 1979. Alors, ce film est énorme, et, devant la difficulté de monter ce monstrueux exercice de style – je devrais d’ailleurs écrire « styles » au pluriel -, Coppola, comme un testament, à voulu tout y mettre ou presque. Peplum futuriste – admirez l’oxymore -, , film politique, science-fiction, romance, grand spectacle circassien, comédie musicale… c’est la démesure qui est au rendez-vous. Alors, tous les goûts sont dans la nature des cinéphiles, pour ma part j’ai été submergé par le gigantisme et l’hermétisme du projet. C’est très beau, chaque plan est admirablement travaillé, mais, le gros problème pour moi, c’est que de tout ce fatras génial n’émerge aucune émotion. Coppola, cinéaste hors norme, tente une dernière fois de réinventer le avec l’ambition, quasi divine – et donc mégalomaniaque - de donner un nouvel ordre à l’univers.
    Aves des acteurs et ses actrices, Coppola se comporte un peu comme un marionnettiste ivre de sa puissance. Le casting tente de survivre aux innombrables citations – qui vont de Suétone à Harold Lloyd, en passant par Shakespeare ou Fellini -. Aussi les Adam Driver, Nathalie Emmanuel, Giancarlo Esposito, Shia LaBeouf, Jon Voight, Aubrey Plaza, Grace VanderWaal, sans oublier les participations de stars comme Dustin Hoffman ou Jason Schwartzman, tentent de survivre à des dialogues souvent aussi ampoulés que nébuleux. L’œuvre-monde de son créateur ou récit dopé à la philosophie trompeuse pour une sorte de soap-opéra pontifiant ? A voir… pour pouvoir en parler.
    Theo
    Theo

    19 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2024
    Francis Ford Coppola a voulu avec Megalopolis offrir une fresque grandiose, une réflexion sur l'urbanisme, le pouvoir, et la chute des civilisations, le tout mêlé à une vision utopique de l’avenir. Mais ce qui devait être un chef-d’œuvre colossal, une synthèse des ambitions de toute une carrière, se transforme en un labyrinthe où la grandeur côtoie l’incompréhensible. Megalopolis est un film plein de promesses, mais qui s’effondre sous son propre poids.

    Tout commence plutôt bien : une vision futuriste captivante, des décors grandioses, et un casting solide. Adam Driver incarne César, un architecte visionnaire, avec toute la fougue qu’on lui connaît. Giancarlo Esposito campe un maire corrompu avec une présence glaciale. Il est évident que Coppola sait diriger ses acteurs et capturer leur intensité, mais cela ne suffit pas. Car pour chaque scène brillante, il y en a une qui tombe à plat, où l’intrigue se perd dans des dialogues obscurs, des monologues pompeux, ou des effets spéciaux qui semblent inachevés.

    Le cœur du problème réside dans le scénario. L’inspiration de la Rome antique transposée à une dystopie moderne aurait pu fonctionner, mais ici, la métaphore est souvent trop lourde et maladroite. Les allusions à Catilina, Cicéron, et César semblent forcées, et le message sur le déclin de l'Amérique moderne se noie dans des sous-intrigues inutiles. Les personnages, pourtant intrigants en surface, manquent de profondeur et deviennent rapidement des stéréotypes de leurs rôles respectifs : le génie incompris, l’idéologue corrompu, la muse réfractaire. On attendait plus de subtilité, plus de nuances.

    Visuellement, le film oscille entre le spectaculaire et le kitsch. Certaines séquences sont indéniablement sublimes, mais elles sont contrebalancées par des moments où l'utilisation abusive des écrans verts et des décors numériques donne un aspect presque bon marché. L’approche expérimentale de Coppola, en laissant les acteurs improviser et en modifiant constamment le script, produit des scènes à la fois imprévisibles et chaotiques. Mais le chaos ne se traduit pas toujours en génie. Parfois, il donne simplement l'impression d'un manque de direction claire.

    Côté musique, la bande originale composée par Osvaldo Golijov est sans doute l’un des points forts du film. Ses mélodies orchestrales tentent de compenser les incohérences visuelles et narratives, mais elles ne peuvent à elles seules sauver l’ensemble. C’est comme si chaque élément du film fonctionnait bien isolément, mais échouait à se synchroniser dans un tout cohérent.

    Megalopolis est aussi rempli de tentatives de commentaires sociaux sur l’écologie, la technologie, et les inégalités de pouvoir, mais elles tombent souvent à plat ou sont diluées par des dialogues verbeux. Il y a des moments où on se demande si Coppola n’a pas simplement perdu de vue ce qu’il voulait vraiment dire, dispersant des idées sans véritable liant. Tout semble trop ambitieux, sans jamais vraiment atteindre son but.

    En fin de compte, Megalopolis est à l’image de la ville qu’il tente de construire : une utopie inaccessible. C’est une œuvre pleine de potentiel, une œuvre où l’on sent la passion de son créateur, mais qui n’a pas su choisir entre ses ambitions grandiloquentes et la nécessité de rester ancrée dans une narration solide. Il y a de quoi être fasciné, mais aussi déçu, comme si un grand tableau avait été commencé et laissé inachevé.

    Coppola a tenté un retour audacieux, un dernier coup de génie peut-être, mais cette fois, la folie créatrice l’a emporté sur la maîtrise. Megalopolis est un spectacle à moitié accompli, une vision à moitié réalisée, et un film qui aurait mérité d’être repensé en profondeur avant d’être dévoilé au monde. C’est un film qui nous donne envie d’applaudir la tentative, tout en soupirant devant le résultat final.
    Michèle G
    Michèle G

    44 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2024
    « Megalopolis » est un choc cinématographique. Une rupture avec le connu. Un labyrinthe dans lequel on ne peut se perdre car… comme Alice a suivi le lapin blanc, il nous suffit de suivre le fil de cette narration, aux multiples fragments et ramifications, qui nous transporte dans un temps non linéaire.

    Le montage est une partition fragmentée qui raccorde les temps de diverses époques. Vertigineuse fusion, une à une elles se répondent en miroir. Éclats de verre brisé… Depuis l’Antiquité, il semblerait qu’il n’y ait toujours rien de nouveau sous le soleil.

    L’histoire est assez claire. L’être humain a beau changer de décor et d’époque, il reproduit sempiternellement la même histoire décadente de lui-même, se pose les mêmes questions, commet les mêmes erreurs et retombe dans les mêmes pièges.

    Malgré son évolution, l’homme n’a pas fait de grands pas en lui-même, hormis celui qui l’a conduit à l’art et à la création. Ce pas fut un premier saut dans l’inconnu.

    « Megalopolis » nous offre un magistral éventail de toutes ces traversées créatives que furent, entre autres, les arts, la littérature, le théâtre et le cinéma. Si toutes ces explorations n’ont pas répondu au mystère de l’être, elles ont peu à peu transformé le monde et arrêté le temps en figeant la matière ; à l’instar du protagoniste, César Catilina, artiste de génie, interprété par Adam Driver.

    Pour Coppola, « le premier homme qui a peint des animaux dans une grotte a arrêté le temps ».
    L’art est aussi pour lui un moyen d’explorer un peu plus profondément la conscience humaine en dépassant ses propres limites. « Nous sommes illimités, il n’est rien que notre créativité ne puisse accomplir »

    Ce film est un hymne à la création, à la liberté ; à y percevoir un encouragement à la « sédition créative », afin que la création redevienne un espace sans limite, émancipée des règles et des dogmes qui l’enferment et la formatent. Dépasser, transcender les mondes, s’émanciper du connu et de tout ce qui rassure… Peut-être la voie vers un avenir meilleur ?

    Coppola dira lors d’une interview qu’« Hollywood est devenu une chaîne de fast-food (…) L’art est tout l’inverse. »

    C’est dans cette quête créative que le cinéaste entraîne son personnage, César Catilina. L’homme aux multiples visages, porté par ses addictions, hanté par ses fantômes et son désir de transformer le monde contre vents et marées.

    Magnifique moment cinématographique que celui où César traverse cette « frontière » qui sépare les morts des vivants pour rejoindre sa femme défunte et tresse ses cheveux dans le vide, après lui avoir offert de « vraies » fleurs. Sur le chemin qui le conduit à ces retrouvailles particulières, un fleuriste est magiquement apparu comme un rêve dans le rêve.

    S’échapper du réel en faisant de son esprit la scène onirique d’un temps révolu et de la création une passerelle vers l’immortalité… Un écho à cette terrible réalité qui a bouleversé la vie du cinéaste. Le film est dédié à sa femme, récemment décédée.

    La magie du cinéma comme une catharsis où les fantômes du réel deviennent des corps pelliculaires.

    « Megapolis » est aussi une ode à l’amour. Quand l’égotique nature humaine se noie dans la luxure, les jeux, l’illusion du pouvoir et de l’argent, l’authenticité d’un cœur peut tout changer et redonner son centre de gravité à l’humain.

    La scène où Julia Cicero, un bouquet à la main, rejoint César Catilina sur les poutres métalliques d’un immeuble, suspendues dans le vide, est d’une incroyable beauté. Elle donne une troublante impression d’être le contrechamp « à retardement » de la scène de la défunte épouse ; faisant basculer le film dans un autre temps.

    Mais rien n’est simple pour que les temps soient « raccordés ». Julia Cicero, interprétée par Nathalie Emmanuel, est très attachée à son père, le maire conservateur, ennemi de César, interprété par Giancarlo Esposito ; tout en étant amoureuse de l’insaisissable artiste qui veut transformer la ville de son père.

    « Megalopolis » nous conduit dans le labyrinthe de l’âme humaine où l’on perd la trace du réel et de l’illusion. Ces mondes confondus sont-ils des réalités ? Des élucubrations de l’imaginaire ? Et le temps ? Une invention de l’esprit humain, comme ces dieux dont il a besoin ? « Dieu a-t-il créé les humains ou ceux-ci l’ont-ils créé dans leur esprit » s’interroge à plusieurs reprises César Catilina.

    À Megalopolis le temps s’est effectivement arrêté. L’histoire se regarde du haut de ce promontoire où l’imaginaire s’empare du réel, jusqu’à ce point de non-retour où il franchit le seuil de l’inconnu. Vers un avenir meilleur ?

    Ce film, qui parle du temps, le fige en nos mémoires de façon parcellaire, à nous donner l’envie de le rembobiner et de revoir la subtile partition de ce montage dont le rythme prestissimo nous entraine dans le tourbillon de l’infinie profondeur de l’être.

    S’émanciper du connu, des codes et des règles ; c’est ce qu’a fait Francis Ford Coppola en réalisant ce chef-d’œuvre dont aucun système hollywoodien ne voulait. Un saut dans le vide. Une mise en danger financière et créative. L’audace d’un pas libre, intemporel… comme un éveil.
    Cyrillcht
    Cyrillcht

    2 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2024
    Aucune intrigue , scénario incompréhensible on s’ennuie du début à la fin. Les personnages sont vides. Je me suis fait arnaqué 15 euros au cinéma pour ce navet.
    Enis Atallah
    Enis Atallah

    5 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 septembre 2024
    Bon, je vais ajouter à mon tour ma critique du film. Je l’ai regardé avec ma copine cet après-midi et nous avons tous les 2 été d’accord pour dire que c’était désastreux pour le plus gros du film. On ne comprend pas ce qu’on voit, ce qui se passe, le visuel est certes incroyable mais l’histoire est sans queue ni tête, on se perd dans ce que Coppola cherche à nous dire, c’est parfois complètement kitsch, souvent confus. Bref je n’ai pas du tout aimé.
    Gilles Halin
    Gilles Halin

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2024
    Pas d’histoire. Une suite de plan sans queue ni tête. Des dialogues vides et incompréhensibles . Du temps perdu !
    Jm G
    Jm G

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2024
    Pas possible de mettre 0, ce serait irrespectueux envers ce film mais... que dire ???? Salle avec seulement 22 personnes... 2 personnes sorties au bout de 5 minutes..... puis une continuité jusqu'à une heure de film..... nous n'étions plus que 7 personnes dans la salle... J'ai réussi à tenir jusqu'à la fin, avec quelques moments de sieste (MDR) Finalement une fois arrivé à la fin, bah... Que dire encore ??? Que ENFIN c'est fini.... un film dont l'inutilité n'a d'égale que la beauté des images....
    Danielle Villemagne
    Danielle Villemagne

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2024
    Les critiques sur cet excellent film ne m'incitaient pas à aller le voir. Attirée par le fantastique j'ai tout de même pris un billet de cinéma pour le découvrir. Excellent filme, scénario éblouissant, réalisation et effets spéciaux très réussis. Belle histoire avec une construction originale qui vous emporte jusqu'à la fin. Je recommande ce film qui est à découvrir ou à revoir.
    Rémy M.
    Rémy M.

    1 critique Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2024
    Il est impossible de comprendre les grandes lignes du film lors du premier visionnage. Il est nécessaire de trouver la motivation de le regarder une seconde fois pour certainement mettre une note supérieure.
    ZeJL
    ZeJL

    2 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 septembre 2024
    Comment faire un film de SF quand on a juste le budget pour payer les acteurs ? Récupérer du matos d occase et avoir un niveau d effets spéciaux datant de début 90, étirer les dialogues au maximum pour limiter les scènes (le film aurait pu tenir sur 1h15), laisser les acteurs en roue libre et probablement ne pas refaire les prises (ça donnera bien un style) et monter a la va vite histoire de le sortir au plus tôt. Oui dans tout ça on trouvera quelques belles scènes par ci par là mais sûrement pas ni un bon film. Après on avait déjà perdu Coppola sur son précédent film Twix quand on pense qu il faisait ce chef d' oeuvre de Dracula il y a encore 30 ans ....
    Cerclerouge70
    Cerclerouge70

    5 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 septembre 2024
    Des spaghettis al ragu, mélangés à des linguine al la vongole le tout mixé avec du tiramitsu et vous obtiendrez à peu près les mélanges de ce film indigeste, aux idées d' un aolescent enfoncant des portes ouvertes... Mais malheureusement réalisé par ce qui fut un grand réalisateur.
    Cheucheu
    Cheucheu

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 septembre 2024
    Ai-je compris ce film ? Surement pas !
    Est-ce important ? Certainement pas !
    Ce film est beau, il m’a transporté pendant 2h18 mn que je n’ai pas vu passées. Et n’est-ce pas cela la réelle magie du cinéma ?
    Philippe Nuham
    Philippe Nuham

    3 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2024
    Roméo et Juliette revisite par un cinéaste de grand talent. Le film nous offre au travers de décors somptueux un panorama des sentiments humains mêlé de visions des manipulations subies par la société. Parfois complexe mais souvent enfantin et toujours convainquant. Se laisser porter par la vision futuriste de l’auteur.
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