AlloCiné
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Votre avis sur Megalopolis ?
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Si vous allez voir un film vous serez très déçu. Par contre si vous vouliez aller au musée et avez changé d'avis, là c'est autre chose.
Voici l'idée qui m'est venue quand j'ai regardé ce film. Au niveau de l'atmosphère on dirait un rejeton de "Dracula" de Coppola et de "il était une fois Hollywood". Pour le reste on ne sait pas si c'est une ssatyre du monde moderne façon "folle histoire du monde", un conte à la "labyrinthe de Pan" ou juste un trip sous acide.
La seule chose que je peux vous dire c'est que, bien qu'il y ait de très bons acteurs, ce film ne vaut aucun de ceux que j'ai déjà nommés et que vous allez vous demander en permanence ce que vous regardez.
Du coup je vous conseille de regarder ce film autant que je vous conseillerai de manger du riz gluant. C'est une expérience certes mais...
Voici l'idée qui m'est venue quand j'ai regardé ce film. Au niveau de l'atmosphère on dirait un rejeton de "Dracula" de Coppola et de "il était une fois Hollywood". Pour le reste on ne sait pas si c'est une ssatyre du monde moderne façon "folle histoire du monde", un conte à la "labyrinthe de Pan" ou juste un trip sous acide.
La seule chose que je peux vous dire c'est que, bien qu'il y ait de très bons acteurs, ce film ne vaut aucun de ceux que j'ai déjà nommés et que vous allez vous demander en permanence ce que vous regardez.
Du coup je vous conseille de regarder ce film autant que je vous conseillerai de manger du riz gluant. C'est une expérience certes mais...
Megalopolis est un film avec un concept sorti de la tête du très grand Francis Ford Coppola. Mais il y a parfois des concepts qui devraient rester au stade de concept. Utopie, corruption des médias, des politiques, luxure, révolution propagande, servis dans un emballage d'une Rome moderne. Voici ce que nous raconte Megalopolis... Avec peut être un peu trop de prétention. On ne sait plus ce que le film essaie de nous raconter. De plus le pouvoir d'arrêter le temps ne sert à rien.
Dans sa forme, la mise en scène de Coppola est superbe et le tout regorge de sublimes décors. Techniquement c'est une réussite à tous les niveaux.
Le film peut se vanter d'avoir un casting d'un très grand prestige (Adam Driver, Shia Leboeuf etc) mais le jeu des acteurs est parfois un peu trop théâtrale mais je pense que c'est voulu et ça ne gêne pas le visionnage.
En résulte, un film plein de symboliques, jusqu'à l'overdose et qui n'arrive pas à avoir une ligne directrice claire. Si dans sa forme, le film est grandiose, dans le fond il se perd très vite en chemin. Un flop qui était déjà annoncé. Megalopolis est le preuve que parfois il faut faire attention à ce qu'un réalisateur veut faire, tout talentueux qu'il est. Reste que c'est un film très ambitieux.
Dans sa forme, la mise en scène de Coppola est superbe et le tout regorge de sublimes décors. Techniquement c'est une réussite à tous les niveaux.
Le film peut se vanter d'avoir un casting d'un très grand prestige (Adam Driver, Shia Leboeuf etc) mais le jeu des acteurs est parfois un peu trop théâtrale mais je pense que c'est voulu et ça ne gêne pas le visionnage.
En résulte, un film plein de symboliques, jusqu'à l'overdose et qui n'arrive pas à avoir une ligne directrice claire. Si dans sa forme, le film est grandiose, dans le fond il se perd très vite en chemin. Un flop qui était déjà annoncé. Megalopolis est le preuve que parfois il faut faire attention à ce qu'un réalisateur veut faire, tout talentueux qu'il est. Reste que c'est un film très ambitieux.
Je me suis demandé si j’étais trop bête pour comprendre l’essence de ce film et apparemment je ne suis pas le seul idiot à sortir perplexe de cette séance tant le film aborde 50 sujets sur la forme sans jamais n’en traiter un seul sur le fond. A fuir…
J a adoré un partage visuel iconoclaste avec une bande son et une qualité d image exceptionnel des comédiens de très grande qualité le film est deçousu on en pris dans un tourbillon visuel qui peut être déconcertant pour les spectateurs le début un peu poussif mais tout s accélère en crescendo une allégorie à une vie utopique
c'est du grand cinéma ambitieux, imaginatif qui puise dans l histoire antique ses références remises en images sur lesquelle l univers repose. on dirait que coppola à tout mis dans cette grandiose fresque. sur la forme, tout ce qu'une caméra peut offrir depuis les trucages les plus simples jusqu'à la dernière sophistication. sur le fond il n'y a pas un concept qui ne soit pas exploité. adam Driver est le parfait alter ego d'un cinéaste qui face à la fuite du temps réussit à faire des arrêts sur image. On sent la fin d'une époque. Le film a le défaut de ses qualités : je dirais que "Trop, c'est trop" on sent la volonté de tout inventorier de tout mettre; 0 ce qui affecte quelque peu la lisibilité. mais je ne serai pas étonnée que dans quelques année ce film soit considéré comme un chef d'œuvre même si il a dérouté beaucoup de spectateurs à sa sortie.
N'avez-vous jamais éprouvé de l'ennui lorsqu'une personne vous raconte un rêve qu'elle a fait au cours de la nuit. C'est inconsistant et ennuyeux. Eh bien, le réalisateur ici nous raconte son rêve. Même émaillé de citations sans profondeur, d'un semblant de narration qui aboutit à l'espoir derrière l'image d'un enfant qui est né (quelle banalité !), il s'agit du rêve d'un grand réalisateur de cinéma qui a peur de la mort et qui voudrait arrêter le temps.
Megalopolis...Original, unique. Film qui résonne comme un echo centenaire à Metropolis d’où la référence manifeste à l’expressionisme allemand dans cette absurdité violente des foules, dans la faiblesse cupide et névrotique des êtres, dans la crudité des corps. Il y a un côté absurde à la Brazil, dans ces confrontations, ces interactions entre les protagonistes si manifestement artificielles, mais Megalopolis est une utopie, et c’est si rare… Ce film prévient contre ceux qui font enrager la foule et la manipule. Il nous parle de cette civilisation qui nous perd mais ne prévient-il aussi des risques de voir cette Rome moderne se perdre et chuter ?
Coppola n’atteint pas l’extrémité absurde d’un Greenaway dans son incarnation de « la tempête » ou la violence de Taymor lorsqu’elle monte un « Titus » si baroque et atroce mais il frise l’esthétisme d’un Terrence Malick dans ses fulgurances visuelles. Il plonge même un instant dans le primitivisme d’un Méliès, il recourt en les détournant complétement à ces photographies d’ouvriers accrochés au bord du vide. Il ravive nos mémoires tout en reformatant nos références.
Et à l’image d’un Kubrick, il s’efforce de laisser derrière lui des monuments, le dernier de Kubrick fut très discutable. Celui-ci a le mérite de parler de l’essentiel, d’énoncer des vérités fortes sur le sens de la vie et où doit porter notre âme même si le message est trop noyé dans des décors oniriques et des scènes confuses ou absurdes, même si la peur et la vision de la chute est instillée par le vide immense de ces tours mégalomaniaques. Tout est faux mais c’est pour nous dire autrement le vrai. Et c’est bien là le cœur du cinéma.
Coppola n’atteint pas l’extrémité absurde d’un Greenaway dans son incarnation de « la tempête » ou la violence de Taymor lorsqu’elle monte un « Titus » si baroque et atroce mais il frise l’esthétisme d’un Terrence Malick dans ses fulgurances visuelles. Il plonge même un instant dans le primitivisme d’un Méliès, il recourt en les détournant complétement à ces photographies d’ouvriers accrochés au bord du vide. Il ravive nos mémoires tout en reformatant nos références.
Et à l’image d’un Kubrick, il s’efforce de laisser derrière lui des monuments, le dernier de Kubrick fut très discutable. Celui-ci a le mérite de parler de l’essentiel, d’énoncer des vérités fortes sur le sens de la vie et où doit porter notre âme même si le message est trop noyé dans des décors oniriques et des scènes confuses ou absurdes, même si la peur et la vision de la chute est instillée par le vide immense de ces tours mégalomaniaques. Tout est faux mais c’est pour nous dire autrement le vrai. Et c’est bien là le cœur du cinéma.
Dans une ville moderne mêlant la grandeur de Rome à la décadence de Babylone conflit entre un architecte progressiste et un maire conservateur. Avec au milieu une famille de notables un brin dégénérés.
Mégalopolis est un fatras pompeux et new-age empilant une direction d’acteur problématique, des effets spéciaux souvent ridicules et une philosophie de comptoir digne de Paulo Coelho. Une addition d’idées ringardes ayant la prétention d’être visionnaires pour un film malaisant à regarder, d’ailleurs quelques rires gênés fusaient dans la salle. Même si on peut sauver quelques plans splendides.
Le grand maître aurait dû continuer à vinifier plutôt que vendre ses vignes pour financer Mégalopolis, on comprend d’ailleurs que les studios se soient abstenus. C’est dur à dire mais faut être réaliste, le dernier grand film de Coppola ça remonte à quand ?
Sans doute 1992 pour Dracula.
Mégalopolis est un fatras pompeux et new-age empilant une direction d’acteur problématique, des effets spéciaux souvent ridicules et une philosophie de comptoir digne de Paulo Coelho. Une addition d’idées ringardes ayant la prétention d’être visionnaires pour un film malaisant à regarder, d’ailleurs quelques rires gênés fusaient dans la salle. Même si on peut sauver quelques plans splendides.
Le grand maître aurait dû continuer à vinifier plutôt que vendre ses vignes pour financer Mégalopolis, on comprend d’ailleurs que les studios se soient abstenus. C’est dur à dire mais faut être réaliste, le dernier grand film de Coppola ça remonte à quand ?
Sans doute 1992 pour Dracula.
Que dire... Le nom du réalisateur était plein de promesses et au final quelle déception ! C'est indéniablement le film le plus ennuyeux, décousu et sans intérêt que j'ai vu ces 30 dernières années. Tout est absolument à jeter: absence totale d'intrigue et même de fil conducteur, dialogues qui partent dans tous les sens avec de pseudos envolées lyriques de certains personnages dont on ne voit ni l'intérêt ni le rapport avec le thème du film (quel est-il d'ailleurs au final? est-il censé y avoir un prétendu "message"? j'en doute..), images vieillottes, longueurs interminables... Ce film est un véritable supplice et seul le tarif élevé de la place peut expliquer que comme moi les spectateurs aient eu le courage de le visionner jusqu'à la fin!
J'adore voir tous les pseudo critiques d'allociné mettre 5 étoiles à ce film car ils n'ont rien compris et que c'est uniquement car il est trop intelligent et en avance sur son temps.
Non Messieurs, ce fil n'est pas bien, il débarque de nulle part pour aller nulle part, il est long, il est soporifique et n'a ni queue ni tête. une dizaine de personne sont sorti de la salle durant la séance, je me suis retenu pensant que tous allait se révéler sur la fin de l'histoire... et non !
Arrivé à un certains age même les réalisateurs devraient prendre leur retraite
Non Messieurs, ce fil n'est pas bien, il débarque de nulle part pour aller nulle part, il est long, il est soporifique et n'a ni queue ni tête. une dizaine de personne sont sorti de la salle durant la séance, je me suis retenu pensant que tous allait se révéler sur la fin de l'histoire... et non !
Arrivé à un certains age même les réalisateurs devraient prendre leur retraite
Je suis rentrée dans la salle sans m'être renseignée, ni sur les acteurs, ni le scénario ni rien du tout, pure surprise. Au début, j'ai vraiment pris peur car tout semblait à la fois décousu et complètement sorti d'un rêve qui aurait été traité tel quel, sans transition, structure ou autre. C'est ce que je me suis sérieusement dit en voyant l'absence de lien entre chaque décors, chaque scène semblait être un assemblage chaotique d'idée qui semblaient pertinentes mais bâclées, afin de pouvoir toutes les mettre. Une citation/une image représentant chacune une philosophie assez intéressante pour être élaborée dans un seul et même film mais non. Coppola en a plutôt fait un concentré de citation parfois kitsch, parfois sonnant complètement faux et sans réel fond, juste pour ajouter du drama. Et c'est devenu lourd. Certaines scènes auraient réellement pu fonctionner si l'intrigue avait eu un fil conducteur moins émietté. Comme d'autres spectateurs, je n'ai ni aimé, ni détesté. Visuellement, ça valait le détour, mais l'artifice urbain et luxueux n'avaient pas non plus tant de charme. Bref... je vous conseille de vous faire vos propres avis en allant le voir si vous voulez investir du temps, de l'argent et de la curiosité, mais dans tous les cas, ce film laisse le débat ouvert.
Comme beaucoup, j'ai été trés déçu par ce film, sans doute ambitieux, mais qui se révèle bien trop foutraque. Certaines scènes de dialogues (par exemple, séquence de "débat publique" avec les différents protagonistes) semblent avoir été à peine préparées. On a l'impression d'un théâtre d'impro. Rien n'est clair, ça part dans tous les sens. Les décors urbains sont beaux. Comme souvent, je ne blâmerais pas les comédiens et comédiennes par contre, qui font trés bien leurs jobs. Mais on se dit qu'on leur a filé une sacré galère.
et bien moi j'ai tenté car je préfère de très très loin les films américains que les français. je me suis dit j'ai compris le psynosis donc en principe je vais comprendre au moins 50 % de l'histoire mais en fin de compte rien je ne pourrai même pas résumer un dixième du film. bavard excentrique ridicule gênant vulgaire pour aucune raison. ah si se reposer s'assoupir faire une bonne sieste
Un véritable chef d'œuvre ! Un film visionnaire ou les messages et la philosophie de cette oeuvre cinématographique font qu'ils ne seront compris que dans quelques décennies ! En tout cas 3 citations de Marc Aurèle dans un film américain je crois que cela n'est jamais arrivé dans l'histoire du Cinéma !
Je suis en direct du cinéma et vraiment j’ai passé la pire séance du 21e siècle. Ce film n’a aucun sens, doublage nul, histoire nulle. J’ai hésité plusieurs fois à sortir mais bien heureusement les sièges sont confortable et le
Coca est frais. J’espère que Coppola ne refera plus de films.
Coca est frais. J’espère que Coppola ne refera plus de films.
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