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    Megalopolis
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    362 critiques spectateurs

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    eldarkstone
    eldarkstone

    219 abonnés 2 074 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 octobre 2024
    Comme je l'avais imaginé, MEGALOPOLIS est un énorme trip halluciné, tant scenaristiquement que visuellement. Même si on se perd parfois dans de longs dialogues, dans des plans visuels psychedeliques, ou dans trop de personnages secondaires, c'est beau, c'est fou, c'est osé ! Au risque de me faire quelques détracteurs, j'ai assez aimé !
    kingbee49
    kingbee49

    38 abonnés 606 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 octobre 2024
    A mes yeux, "Megalopolis" est à davantage a considéré comme un ESSAI CINEMATOGRAPHIQUE que comme un film narratif lambda. Cette qualification est essentielle pour apprécier l'ouvrage, à la fois déroutant et fascinant. Clairement, le film de coppola est un objet baroque doublé d'une proposition de science fiction philosophique ou chaque personnage théorise sur sa vision de l'avenir, de la société, de la civilisation tout en étant les rouages bariolés d'un projet en mutation permanente. Ce tour de force, qui a mon sens balaye les accusations de sénilité à l'encontre du metteur en scène, prend la forme d'un singulier blockbuster d'auteur comme jamais Hollywood n'en a vu. Osant mêlé mauvais goût et pureté visuelle, trompe l'oeil et chaos frontal, scénographie complexe et séquence contemplative, Coppola, en ultime alchimiste, rappelle avant tout que la BEAUTE du geste cinématographique tient dans son mystère, sa magie, mais aussi dans son obscurité, ses champs utopiques jamais finis... Alors, oui, il y a des moments abscons, des ventres mous, des choses désincarnées dans cette vision de Rome transposée dans un New York City baignant dans l'or fin et les orgies en streaming. Et pourtant, cette vision de la décadence reste d'une modernité absolue. Dans cette vision, les acteurs y incarnent chacun des personnages-symboles : la création, le pouvoir, la trahison, le pêché, le crime, la sagesse... Dans ce contexte, j'ai trouvé qu'Adam Driver faisait le job, même s'il manque quelque chose de plus fort, de plus émouvant à son Catilina César. Mais Shia Labeaouf, dans un registre inattendu, Gian Carlo Esposito ou Jon Voight (la drôlissime scène des flêches!) surprennent ou même Aubrey Plaza, qui joue avec jubilation une femme vénale sortie d'un film noir; Sinon, les effets spéciaux, la palette graphique, le split screen, les néo-décors, tout l'arsenal formel est judicieusement bien pensé et soigné, comme si le film se voulait être, à un siècle de distance, la prolongation cinégénique du "Métropolis" de Fritz Lang, comme un rêve éveillé que se détache de l'écran pour mieux y retourner. D'autant qu'il y a cette réflexion sur le temps, à fois intimiste et démesurée, qui fait sens et qui nous échappe, oui, forcément. Et c'est le geste artistique de Coppola, qu'il soit incompris ou encensé, c'est ce geste qu'il faut prendre en compte, avec toute sa poésie et sa liberté.
    Cathpout14
    Cathpout14

    30 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2024
    Francis Ford Coppola est-il lui-même mégalomane ? je dirais que oui, car ce film majeur lui ressemble nécessairement : il y aime les femmes et le genre humain à sa manière que je ne partage pas sur bcp de plan, à part cela, son imagination, le choix de ses excellents acteurs, les décors incroyables, etc. méritent que l'on voit ce film magistral.
    Théo
    Théo

    5 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 septembre 2024
    Pour moi ce film est beaucoup trop niche, trop expérimental. Ce sera une purge pour beaucoup de personnes ! Je voulais mettre 2,5 pour lacting et la light mais en fait les fonds vert degeu ça remet la note a 2
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    175 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2024
    Dans une ville moderne mêlant la grandeur de Rome à la décadence de Babylone conflit entre un architecte progressiste et un maire conservateur. Avec au milieu une famille de notables un brin dégénérés.
    Mégalopolis est un fatras pompeux et new-age empilant une direction d’acteur problématique, des effets spéciaux souvent ridicules et une philosophie de comptoir digne de Paulo Coelho. Une addition d’idées ringardes ayant la prétention d’être visionnaires pour un film malaisant à regarder, d’ailleurs quelques rires gênés fusaient dans la salle. Même si on peut sauver quelques plans splendides.
    Le grand maître aurait dû continuer à vinifier plutôt que vendre ses vignes pour financer Mégalopolis, on comprend d’ailleurs que les studios se soient abstenus. C’est dur à dire mais faut être réaliste, le dernier grand film de Coppola ça remonte à quand ?
    Sans doute 1992 pour Dracula.
    Damien Vabre
    Damien Vabre

    162 abonnés 444 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 octobre 2024
    Dans un univers baroque à la beauté irréelle, Coppola filme la décadence de l'occident avec une certaine tendresse finalement. Hélas le scénario manque de liant pour maintenir la tension dramatique surtout dans un ventre mou. Mais j'ai déjà envie de le revoir.
    Pascal
    Pascal

    159 abonnés 1 651 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 octobre 2024
    Je n' ai jamais été un grand fan de FF Coppola. Il est ( de mon point de vue ) à la tête de quelques chefs d'oeuvre (" trilogie du parrain" et "Apocalypse now") de très bons films ( "conversation secrète" et " jardin de pierre"), mais le reste de sa filmographie ne me paraît pas d'un niveau comparable.

    " Megalopolis" présenté en CO ( cannes 2024) et reparti la corbeille vide, a désarçonné la critique au moment du festival. Son avis semble moins défavorable maintenant qu'il est sorti en salles.

    Si au plan de la création, de la production artistique et de son casting féminin " megalopolis" n' est pas dénué de qualité, la vacuité de son scénario ( bataille d'egos, mal contée, entre plusieurs hommes de pouvoir ), l'ennui qu'il distille presque de bout en bout ( la dernière demi-heure m'a semblé toutefois un peu moins désespérante ) en font un véritable ratage.

    Réflexion pertinente sur l'état du monde actuel ( sommes nous à la fin de notre civilisation, à l'instar de ce qu'a connu l'empire romain ? Ou le futur est il porteur de promesses ?), le résultat à l'écran se révèle calamiteux.

    De mon point de vue, on a ici affaire à un des titres les plus faibles de la filmographie du cinéaste.

    Je n'imaginais pas que ce metteur en scène, qui fut une des têtes de pont du nouvel Hollywood et un des cinéastes majeurs des années 1970, puisse au plan artistique, se perdre à ce point.
    Ojayez
    Ojayez

    1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 septembre 2024
    Mise en scène prétentieuse, dialogues pompeux et interprétation hasardeuse, tout est raté dans ce film.
    ed_loisel
    ed_loisel

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 septembre 2024
    Un film pompeux parfois même un peu mégalo qui veut beaucoup en faire dans sa mise en scène. Le casting aussi prestigieux soit-il fait ce qu'il peut dans cet océan d'effets scénaristes et visuels. On s'y perd...
    Seb Rillette
    Seb Rillette

    8 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 octobre 2024
    Bienvenue à la nouvelle rome. On y retrouve ciceron et son ennemi catilina, Julia, cesar, crassus. Il ne manque plus qu auguste. Nous sommes chez les patriciens mais en 2024.
    Les images sont incroyables tout comme les plans de caméra. Les acteurs sont tous charismatiques.
    L histoire se présente comme une fable avec ses moments grotesques, drôle et inquiétant.
    Concernant les personnages, adam driver est Catilina, chronos maitre du temps. Il est immortel avec son ambroisie atomique"
    On retrouve l athmosphere des péplum et de nos idées préconçues sur les romains et les romaines. La première scène est époustouflante avec catilina qui monte sur le gratte ciel
    L idée principale de ce film est la ressemblance entre notre époque et la rome fin de la république avec des meurtres, ses orgies, ses orateurs, la déliquescence de la démocratie et de la république.
    En point négatif, le film est trop long selon moi et trop philosophique. On se perd parfois à écouter des monologues tirés de Shakespeare et de
    marc aurele l empereur philosophe
    C est donc un film brillant qui vaut le coût d etre vu.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 octobre 2024
    Sur le papier, ce projet de SF à l’ambition dite « monumentale », tant sur le fond que sur la forme, mené de longue date par Francis Ford Coppola et concrétisé au soir de son immense carrière, sur ses fonds propres, était plus qu’alléchant. La déception est à la mesure de l’excitation suscitée. Megalopolis est un mégalofilm, fable pompeuse et pompière où l’auteur met en parallèle lourdement la décadence de l’Empire romain avec la décadence états-unienne. Où il est question d’urbanisme, de création, de civilisation, d’utopie… Sur fond de rivalité politique et d’histoire amoureuse. Le scénario est boursoufflé d’idées, de réflexions et de pistes dramatiques dont la confusion et le manque d’aboutissement laissent assez consterné (quid du pouvoir d’arrêter le temps ? quid de la menace du satellite russe ?). Coppola a voulu trop embrasser et a bien mal étreint. Côté style, c’est une autre boursoufflure, tendance rétrofuturiste, baroque et souvent kitsch. Quant aux acteurs, Adam Driver en tête, ils essaient de se faire une place dans ce gloubi-boulga pétri de références littéraires et cinématographiques, mais restent étouffés par la grandiloquence de l’ensemble. Au final, se dégage de cette « œuvre monde » une simple impression de vanité, dans tous les sens du terme.
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    37 abonnés 1 441 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 septembre 2024
    Après des années d'écritures, de productions et de réalisations, "Megalopolis" débarque enfin ! Le film ultime de Francis Ford Coppola, celui qu'il semble avoir proposé comme l'œuvre de sa vie, sort donc enfin dans nos salles françaises. Mais alors que l'attente que j'avais pour ce projet était démesurée, je suis finalement descendu de mon petit nuage à la sortie de la projection. À défaut d'être un navet total, car il y a quelques points à sauver, ce film a été l'une des plus grosses déceptions que j'ai récemment eues au cinéma. Rapidement, j'ai vu où voulait aller ce cher Coppola, et quelles avaient été ses ambitions, que ce soit dans son approche visuelle ou dans les thématiques qu'il tente d'aborder. Dans l'inspiration, le film surfe sur beaucoup de projets qui ont dû bercer ce réalisateur. Il est notamment impossible de ne pas penser à "Metropolis" au vu de certaines séquences. Le but était donc de regrouper ces inspirations, tout en imposant un style très particulier, et en surfant sur plusieurs grosses thématiques. Sauf que là où cela peut un peu marcher pour certains points, c'est très compliqué d'être parfaitement conquis par d'autres. Durant tout le film, il surfe sur une ligne rouge très fine, celle qui va être entre le mauvais goût venant d'un ego démesuré et prétentieux, et la réflexion profonde et novatrice. Visuellement, c'est là où je peux être le plus convaincu par sa proposition, car on sent un savoir-faire énorme dans ces visuels. Teinté d'une photographie dorée, qui peut autant symboliser la richesse que la vie, la mise en scène de Coppola offre beaucoup de sublimes plans. Quelques plans-séquences pour des dialogues entre des personnages, beaucoup de grands-angles pour intensifier la démesure de cette ville, un montage épileptique pour faire ressentir la détresse et la perte d'équilibre d'un personnage, etc... En bref, de ce point de vue-là, il n'a plus rien à prouver. Pourtant, je ne suis pas satisfait à 100 % de cette approche, notamment au niveau du montage. Je le trouve parfois très confus, avec certains plans qui ne restent même pas une seconde à l'écran. Et c'est à partir de là que la spéculation entre ce qu'a voulu faire le réalisateur et le rendu va commencer. En essayant de se projeter, on peut imaginer qu'il a voulu symboliser l'énergie et le côté très rythmé de cette vie de riche, avec un aspect très difficile à suivre. Mais cela n'empêche que le rendu reste très aléatoire, et que le récit peine à réellement se poser par moments. Et cette réflexion, elle en va de même pour les effets spéciaux, qui sont particulièrement moches à certains instants. Si les décors de qualité rattrapent cela par moments, c'est parfois très compliqué de se sentir immergé dans l'histoire avec une telle approche visuelle. On pourrait essayer de se dire qu'il a voulu renforcer l'artificialité de ce monde via cette approche, car c'est une idée qui peut se défendre, mais qui, soyons honnête, reste particulièrement compliquée à regarder. Cependant, pour l'instant, je n'ai traité que de l'identité visuelle. Mais clairement, je peux également parler de cette approche pour le récit. Très clairement, j'ai eu le sentiment de voir un film beaucoup trop plein pour une durée de ce type. Les thématiques s'enchaînent sans aucune cohérence, et c'est très compliqué de voir ce qui l'a réellement motivé ici. On commence sur la lutte des classes, puis on enchaîne sur la transposition de Rome à notre monde moderne, puis sur le temps, puis sur une relation amoureuse, etc... On a du mal à voir de la cohérence se faire entre toutes ces scènes, à tel point que certains passages semblent ne même pas appartenir à ce film. spoiler: Les 30 dernières minutes avec seulement 5 minutes de temps d'écran pour notre héros, c'est un peu le symbole de ce problème.
    Mais à la limite, pourquoi pas ? Même si c'est un chaos sans nom, s'il a envie de parler de beaucoup de choses, c'est son droit. Mais à ce niveau-là, encore faut-il bien en parler ! Durant tout le film, les personnages ne vont jamais s'arrêter de parler, que ce soit par l'intermédiaire d'une voix-off, de dialogues très explicatifs et qui décrivent clairement les actions que l'on est en train de voir, ou par une énorme quantité de citations. Mais cela en devient rapidement indigeste, au point que l'on peut même ressentir une pointe de prétention à partir autant dans ce genre de dialogues. Mais malgré cela, c'est toujours très superficiel et sans grand intérêt, le film ne révolutionne vraiment rien à ce niveau-là. spoiler: La dernière séquence et ce long monologue sur l'Homme, ainsi que tout ce qui s'en suit, m'a fait exploser de rire tant je ne pensais pas que ce réalisateur pouvait tomber dans des clichés pareils.
    Tout cela m'a clairement fait réfléchir, je me suis beaucoup questionné sur ce que je venais de voir. Si le film est réussi visuellement, et qu'il a de bonnes idées, l'écriture et le montage n'aident jamais à faire passer la pilule. Mais en soi, est-ce que c'est vraiment si différent de ce que ce réalisateur voulait faire ? Je pense qu'il est conscient de tout cela, au vu de sa grande et longue carrière. Mais je pense aussi que c'est une expérience trop extrême pour être réellement appréciable. Il voulait créer ce film ultime où l'attachement aux personnages est secondaire, via un montage dynamique qui ne cherche qu'à épuiser le spectateur. Il voulait mélanger énormément de références de toute époque, pour créer un film qui pourra être considéré comme indatable. Il voulait créer ces énormes avis contraires au sein de son public, dans l'unique but de faire réagir. Pour moi, ce film n'est donc pas raté, car il a parfaitement réussi ce qu'il devait faire, si je le prends de manière objective. Mais si j'y réfléchis simplement en matière de ressenti, je n'ai pas aimé. C'était joli et rempli d'idées, mais le visionnage fut long et pénible. Pour conclure, un projet qui reste intéressant, peu importe le jugement qu'on a de lui.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 974 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 septembre 2024
    Francis Ford Coppola ne révolutionne pas le cinéma avec ce film ovni. Il nous dépeint la ville de New-Rome, ses jeux de pouvoirs, de dominations, avec un personnage César, ayant le pouvoir d’arrêter le temps. Globalement sans grand intérêt.
    Shiba Otoko
    Shiba Otoko

    46 abonnés 291 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 septembre 2024
    Ce film est une fantaisie très personnelle, qui possède le mérite de l'originalité. Le scénario, qui existe et qui reste compréhensible, repose fondamentalement sur les rêves d'un lycéen manifestement plongé dans un sommeil profond en cours de latin à New-York à la fin des années 1950. Il y a donc probablement une part d'inspiration autobiographique du réalisateur, plutôt attachante en soi. Le spectacle proposé emporte-t-il l'adhésion pour autant? Sur la première partie du film, oui, moins sur la deuxième, avec des longueurs et des scènes moins inspirées. L'impression finale est celle d'une oeuvre baroque et inégale.
    Sir Dralink
    Sir Dralink

    25 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 septembre 2024
    Film vu en IMAX.

    Parfois, mon anticonformisme me pousse à négliger les mauvais avis et à donner toute sa chance à un film sans préjuger du navet annoncé. Je m'étonne encore de ma naïveté.

    Ce navet, qui ne se termine jamais, saura vous perdre et vous faire prendre tous les détours possibles pour un résultat navrant.

    Le doublage en version française ne m'a pas plu. Et seul le potentiel du film me restera en mémoire. Finalement le film aurait peut-être dû commencer là où il a fini. Ou peut être qu'il n'aurait jamais du commencer.
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