Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
38 critiques presse
Critikat.com
par Josué Morel
Le film le plus libre et le plus fou de Coppola. Megalopolis n'a pas fini de nous hanter.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Frédérique Lambert
"Megalopolis" laisse le souvenir d’une rêverie hallucinée, d’un éblouissement. "Sunset" devenant "Sunrise Boulevard" par la magie d’une esthétique du morphing. C'est un film alien, où la science-fiction surannée se fait structure expérimentale, dé-programmatique sous des dehors de continuité culturelle.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une fresque visionnaire, dans laquelle Coppola, cinéaste hors norme, tente une dernière fois de réinventer le monde à travers l’écran, avec l’ambition, quasi divine, de réordonner l’univers.
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Un testament cinématographique et philosophique mais optimiste. Magistral.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un film grandiose, chaotique, d’une stupéfiante modernité.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Expérimental, déceptif et sublime tout en même temps, "Megalopolis" entre dans la légende : non pas par la porte du chef-d’œuvre, mais par celle du manifeste. Le film laisse pantois et perplexe. Le geste, lui, est enthousiasmant de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Plutôt que de sombrer dans un discours passéiste et réactionnaire, "Megalopolis" appelle au contraire à redonner son importance au geste créatif novateur, en particulier lorsque celui-ci soutient une vision utopique du monde.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Totalement mégalomaniaque, gigantesque et profondément visionnaire, le nouveau délire quantique de Francis Ford Coppola est une réussite absolue.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Peut-être n’engendre-t-il [Megalopolis] qu’un gigantesque cahier d’esquisses, parfois feuilleté trop vite et qui contient sa part de croûtes, mais ce qu’il nous en reste est souvent immense et inédit.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Par son originalité même, le film ne permet pas les avis tièdes ou prémâchés, et c'est bien le signe d'une œuvre généreuse.
GQ
par Adam Sanchez
"Megalopolis" est peut-être l’œuvre d’un homme trop seul, à qui il manque un ou une partenaire de travail pour lui signaler les imperfections profondes de sa production, mais son énergie renversante offre l'impression tenace qu'il n'y a pas deux films qui lui ressemblent. Pour le meilleur et pour le pire, mais souvent pour le meilleur.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Figaro
par É.S.
Conteur baroque d'un récit impur, marionnettiste ivre de sa puissance fictionnelle, Coppola s'emmêle parfois les fils. La marque d'un jeune réalisateur de 85 ans qui considère le cinématographe comme un vertige et non un vestige.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par J. Ma.
Le résultat est une fantasmagorie politique dont les références (de Suétone à Harold Lloyd, en passant par Shakespeare et Fellini) et les registres (uchronie-tragédie-comédie) fusent en un pétaradant feu d’artifice.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Spectaculaire, enchanteur, musical, intimiste, drôle, émouvant, grandiloquent, visuellement toujours surprenant… Megalopolis est un geste de cinéma d'une audace dingue, en roue libre mais le plus souvent sur le bon chemin, celui d'une philanthropie réjouissante en ces temps démagogiques où les oiseaux de malheur tiennent le haut du pavé politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
C’est l’œuvre-monde de son créateur, un péplum rétrofuturiste pétri de citations cinéphiles, en gestation depuis quarante ans. Une chimère à la mesure de la liberté folle que le réalisateur s’est octroyée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
"Megalopolis", que tout annonçait comme pompeux, lévite insolemment, malgré la quantité de ses intrigues et de ses personnages, en dépit du poids écrasant de chacune de ses séquences, de chacun de ses plans, au-dessus du désastre qu’il aurait pu être, constamment bizarre, outré, trivial, étonnant, un peu Matrix, un peu King Vidor, foisonnant effectivement d’un siècle d’images et de langage de cinéma mondial, donnant effectivement à voir une masse critique d’images ahurissantes, à un débit qui dépasse l’entendement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Séverine Danflous
Coppola croit au cinéma, sa magie, sa puissance et nous demande de croire avec lui. Et cette foi-là n'a pas de prix.
Bande à part
par Olivier Bombarda
POUR : La maestria de Coppola se déploie ici magnifiquement à figurer une humanité de résistants à conjurer leurs démons face au gouffre de la décadence prête à les avaler tout crus.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Francis Ford Coppola s'amuse, mais perd son public, tant le projet s'avère personnel (mégalomane), tout en traitant de sujets universels, idéologiques, politiques, sociaux et sociétaux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
Megalopolis répond donc à une attente avide de merveilleux (sa grande forme, son genre péplum et futuriste), mais, et c’est là sa beauté, élève en même temps à une esthétique, à un « modèle de vie » : préférer l’utopie au pouvoir, inventer un monde où vivre, ressentir et aimer ensemble. Rien n’existe finalement en dehors des frontières de l’imagination d’une culture, et la force du film est d’embrasser ce qui la nourrit.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un récit boursouflé et confus mais étonnamment optimiste et parsemé de réelles fulgurances visuelles.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Attendu depuis des années, le nouveau Francis Ford Coppola est un monument incernable, désarçonnant, à la fois difforme et unique en son genre. A voir… pour pouvoir en parler.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Coppola signe un film ovni, unique, foutraque, qui se fiche de plaire.
Positif
par Hubert Niogret
Malgré les faiblesses de "Megalopolis", Francis Ford Coppola, au crépuscule de sa carrière, demeure un cinéaste expérimenté et parfaitement présent dans la facture du film.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Tout un programme, entre le péplum futuriste et le soap, avec son clan d'héritiers dignes de la série "Succession", qui a de quoi désarçonner par son récit lacunaire et son trop-plein d'idées, d'images, de philosophie pompeuse, de démesure.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Opéra bouffi, néopéplum pseudo-philosophique, farce pontifiante : on pourrait résumer le ratage en formules lapidaires. On préférera se souvenir de ses quelques visions inspirées, du désir intact de l’immense metteur en scène d’« Apocalypse Now » d’expérimenter. De son indéfectible croyance en un art qu’il ne maîtrise plus tout à fait.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Avec cette fable en forme de péplum sur la fin de l’empire américain et la possibilité d’une nouvelle utopie, le réalisateur du Parrain signe une œuvre démesurée et déconcertante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré un scénario tentaculaire et confus, on contemple le geste artistique d'un plasticien aux fulgurances visuelles inouïes.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Très attendu, le nouveau film du maître Francis Ford Coppola, qui nous a tant habitués à des œuvres relevant du génie, tient davantage du gros gâteau de mauvais goût et lourd à digérer.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Sud Ouest
par Julien Rousset
Une fresque hallucinante et confuse.
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Le film, hermétique, semble autocentré sur le clan Coppola, assimilé à une grande famille autocratique.
Télérama
par Marie Sauvion
De son projet plein de panache, le réalisateur tire une fable rétrofuturiste outrancière et étouffante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Pierre Charpilloz
CONTRE : En dépit de ses promesses, "Megalopolis" ne raconte rien sur l’architecture, la ville ou l’urbanisme. Rien que de vagues histoires d’amour qui ne semblent pas avoir eu le mémo de la représentation des personnages féminins post-#MeToo.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Une entreprise totalement recluse sur elle-même et sans garde-fou.
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Francis Ford Coppola accouche d'une œuvre inoubliable dans le pire sens du terme tant on se demandera encore longtemps comme ce film a pu exister. La chute de l'empereur.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Marianne
par Olivier De Bruyn
Démesure, histoire emberlificotée, dépourvu de sens, esthétique kitsch et pompière… Une résurrection très attendue et prometteuse sur le papier, mais décevante.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Philippe Lemoine
La charge contre l'époque s'égare dans un univers où le baroque côtoie le bouffon, où la tragédie grecque s'enlise parfois dans une démonstration outrancière.
Première
par François Léger
Le démiurge s’est donné pour mission de repousser les limites de la forme au cinéma, mais ses expérimentations visuelles et narratives ne parviennent jamais à masquer un propos d’une naïveté confondante, opposant l’imagination des artistes à la tiédeur d’hommes incapables de rêver assez grand pour sauver l’humanité. Un discours manichéen rabâché ad nauseam, qui entraîne le film vers sa propre chute.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
Le film le plus libre et le plus fou de Coppola. Megalopolis n'a pas fini de nous hanter.
Culturopoing.com
"Megalopolis" laisse le souvenir d’une rêverie hallucinée, d’un éblouissement. "Sunset" devenant "Sunrise Boulevard" par la magie d’une esthétique du morphing. C'est un film alien, où la science-fiction surannée se fait structure expérimentale, dé-programmatique sous des dehors de continuité culturelle.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une fresque visionnaire, dans laquelle Coppola, cinéaste hors norme, tente une dernière fois de réinventer le monde à travers l’écran, avec l’ambition, quasi divine, de réordonner l’univers.
L'Humanité
Un testament cinématographique et philosophique mais optimiste. Magistral.
Le Dauphiné Libéré
Un film grandiose, chaotique, d’une stupéfiante modernité.
Les Fiches du Cinéma
Expérimental, déceptif et sublime tout en même temps, "Megalopolis" entre dans la légende : non pas par la porte du chef-d’œuvre, mais par celle du manifeste. Le film laisse pantois et perplexe. Le geste, lui, est enthousiasmant de bout en bout.
Mad Movies
Plutôt que de sombrer dans un discours passéiste et réactionnaire, "Megalopolis" appelle au contraire à redonner son importance au geste créatif novateur, en particulier lorsque celui-ci soutient une vision utopique du monde.
aVoir-aLire.com
Totalement mégalomaniaque, gigantesque et profondément visionnaire, le nouveau délire quantique de Francis Ford Coppola est une réussite absolue.
Cahiers du Cinéma
Peut-être n’engendre-t-il [Megalopolis] qu’un gigantesque cahier d’esquisses, parfois feuilleté trop vite et qui contient sa part de croûtes, mais ce qu’il nous en reste est souvent immense et inédit.
Femme Actuelle
Par son originalité même, le film ne permet pas les avis tièdes ou prémâchés, et c'est bien le signe d'une œuvre généreuse.
GQ
"Megalopolis" est peut-être l’œuvre d’un homme trop seul, à qui il manque un ou une partenaire de travail pour lui signaler les imperfections profondes de sa production, mais son énergie renversante offre l'impression tenace qu'il n'y a pas deux films qui lui ressemblent. Pour le meilleur et pour le pire, mais souvent pour le meilleur.
Le Figaro
Conteur baroque d'un récit impur, marionnettiste ivre de sa puissance fictionnelle, Coppola s'emmêle parfois les fils. La marque d'un jeune réalisateur de 85 ans qui considère le cinématographe comme un vertige et non un vestige.
Le Monde
Le résultat est une fantasmagorie politique dont les références (de Suétone à Harold Lloyd, en passant par Shakespeare et Fellini) et les registres (uchronie-tragédie-comédie) fusent en un pétaradant feu d’artifice.
Le Point
Spectaculaire, enchanteur, musical, intimiste, drôle, émouvant, grandiloquent, visuellement toujours surprenant… Megalopolis est un geste de cinéma d'une audace dingue, en roue libre mais le plus souvent sur le bon chemin, celui d'une philanthropie réjouissante en ces temps démagogiques où les oiseaux de malheur tiennent le haut du pavé politique.
Les Inrockuptibles
C’est l’œuvre-monde de son créateur, un péplum rétrofuturiste pétri de citations cinéphiles, en gestation depuis quarante ans. Une chimère à la mesure de la liberté folle que le réalisateur s’est octroyée.
Libération
"Megalopolis", que tout annonçait comme pompeux, lévite insolemment, malgré la quantité de ses intrigues et de ses personnages, en dépit du poids écrasant de chacune de ses séquences, de chacun de ses plans, au-dessus du désastre qu’il aurait pu être, constamment bizarre, outré, trivial, étonnant, un peu Matrix, un peu King Vidor, foisonnant effectivement d’un siècle d’images et de langage de cinéma mondial, donnant effectivement à voir une masse critique d’images ahurissantes, à un débit qui dépasse l’entendement.
Transfuge
Coppola croit au cinéma, sa magie, sa puissance et nous demande de croire avec lui. Et cette foi-là n'a pas de prix.
Bande à part
POUR : La maestria de Coppola se déploie ici magnifiquement à figurer une humanité de résistants à conjurer leurs démons face au gouffre de la décadence prête à les avaler tout crus.
Franceinfo Culture
Francis Ford Coppola s'amuse, mais perd son public, tant le projet s'avère personnel (mégalomane), tout en traitant de sujets universels, idéologiques, politiques, sociaux et sociétaux.
La Septième Obsession
Megalopolis répond donc à une attente avide de merveilleux (sa grande forme, son genre péplum et futuriste), mais, et c’est là sa beauté, élève en même temps à une esthétique, à un « modèle de vie » : préférer l’utopie au pouvoir, inventer un monde où vivre, ressentir et aimer ensemble. Rien n’existe finalement en dehors des frontières de l’imagination d’une culture, et la force du film est d’embrasser ce qui la nourrit.
La Voix du Nord
Un récit boursouflé et confus mais étonnamment optimiste et parsemé de réelles fulgurances visuelles.
Les Echos
Attendu depuis des années, le nouveau Francis Ford Coppola est un monument incernable, désarçonnant, à la fois difforme et unique en son genre. A voir… pour pouvoir en parler.
Paris Match
Coppola signe un film ovni, unique, foutraque, qui se fiche de plaire.
Positif
Malgré les faiblesses de "Megalopolis", Francis Ford Coppola, au crépuscule de sa carrière, demeure un cinéaste expérimenté et parfaitement présent dans la facture du film.
Télé 7 Jours
Tout un programme, entre le péplum futuriste et le soap, avec son clan d'héritiers dignes de la série "Succession", qui a de quoi désarçonner par son récit lacunaire et son trop-plein d'idées, d'images, de philosophie pompeuse, de démesure.
L'Obs
Opéra bouffi, néopéplum pseudo-philosophique, farce pontifiante : on pourrait résumer le ratage en formules lapidaires. On préférera se souvenir de ses quelques visions inspirées, du désir intact de l’immense metteur en scène d’« Apocalypse Now » d’expérimenter. De son indéfectible croyance en un art qu’il ne maîtrise plus tout à fait.
La Croix
Avec cette fable en forme de péplum sur la fin de l’empire américain et la possibilité d’une nouvelle utopie, le réalisateur du Parrain signe une œuvre démesurée et déconcertante.
Le Journal du Dimanche
Malgré un scénario tentaculaire et confus, on contemple le geste artistique d'un plasticien aux fulgurances visuelles inouïes.
Le Parisien
Très attendu, le nouveau film du maître Francis Ford Coppola, qui nous a tant habitués à des œuvres relevant du génie, tient davantage du gros gâteau de mauvais goût et lourd à digérer.
Sud Ouest
Une fresque hallucinante et confuse.
Télé Loisirs
Le film, hermétique, semble autocentré sur le clan Coppola, assimilé à une grande famille autocratique.
Télérama
De son projet plein de panache, le réalisateur tire une fable rétrofuturiste outrancière et étouffante.
Bande à part
CONTRE : En dépit de ses promesses, "Megalopolis" ne raconte rien sur l’architecture, la ville ou l’urbanisme. Rien que de vagues histoires d’amour qui ne semblent pas avoir eu le mémo de la représentation des personnages féminins post-#MeToo.
CinemaTeaser
Une entreprise totalement recluse sur elle-même et sans garde-fou.
Le Journal du Geek
Francis Ford Coppola accouche d'une œuvre inoubliable dans le pire sens du terme tant on se demandera encore longtemps comme ce film a pu exister. La chute de l'empereur.
Marianne
Démesure, histoire emberlificotée, dépourvu de sens, esthétique kitsch et pompière… Une résurrection très attendue et prometteuse sur le papier, mais décevante.
Ouest France
La charge contre l'époque s'égare dans un univers où le baroque côtoie le bouffon, où la tragédie grecque s'enlise parfois dans une démonstration outrancière.
Première
Le démiurge s’est donné pour mission de repousser les limites de la forme au cinéma, mais ses expérimentations visuelles et narratives ne parviennent jamais à masquer un propos d’une naïveté confondante, opposant l’imagination des artistes à la tiédeur d’hommes incapables de rêver assez grand pour sauver l’humanité. Un discours manichéen rabâché ad nauseam, qui entraîne le film vers sa propre chute.