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    Une exécution ordinaire
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    Arlette et les mécanos
    Arlette et les mécanos

    72 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 août 2013
    Tout comme l'occupation en France, la période Stalinienne est hyper ciné histoire aurait pu faire un très bon film. C'est loin d 'être le cas ici et c'est peu de le dire. Il manque une dimension. On ne ressent aucune émotion. Il ne suffit pas de grimer Dussolier pour espérer faire revivre Staline. La psychologie des personnages n'est pas assez travaillée, le contexte politique même pas évoqué, l'atmosphère qui régnait n'est pas retranscrite...Tout est survolé et donne un film superficiel qui laisse une impression de frustration.
    LucienLaurent
    LucienLaurent

    5 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 avril 2013
    A voir surtout pour la prestation bluffante d'André Dussolier, ce film retranscrit bien ce que devait être l'ambiance se suspicion permanente qui régnait autour de Staline. Du cinéma tout en finesse.
    Christophe L
    Christophe L

    8 abonnés 379 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2013
    Très beau film sur un Staline souffrant à la fin de son règne, interpré par André Dussolier, méconnaissable et impressionnant, comme le sont l'ensemble des autres acteurs. Le réalisateur a fait un excellent travail du début à la fin, mêlant l'intérêt historique à l'artistique. Film dans la même lignée que "La vie des autres", traitant lui, de la Stasi... Les deux, à ne pas manquer...
    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    331 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2013
    "Une exécution ordinaire" vaut surtout pour l’interprétation de Dussolier en un Joseph Staline cruel et froid, mais aussi profondément humain. Le casting est impeccable et la réalisation un peu poussiéreuse. Le film est au final plutôt réussi malgré un sujet casse-gueule.
    BURIDAN
    BURIDAN

    21 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mars 2013
    Monstre de prétention cynique se masquant derrière de belles paroles faisant référence au peuple - qu’il massacre - Staline/Dussolier est époustouflant de vérité !

    Dans un système établi sur la délation, la menace est omniprésente : le concierge antisémite, le voisin râleur, le collègue sexiste et harcelleur.
    Au sein du système enclos par le dogmatisme, la hiérarchie rigide et obséquieuse fait le jeu de l’arbitraire et du despotisme…

    Alors s’expriment les pires tendances de la bête humaine : veulerie, jalousie, méchanceté, machisme.

    La vie même devient un piège. Aimer c’est, dans un système forclos et dictatorial, se mettre en danger.

    Staline a mis en place, en le poussant à son paroxysme, une sorte de « principe de précaution» : tout individu doit servir sans rechigner le pouvoir, être à sa botte, se soumettre comme un esclave docile…
    L'être devient l'individu... Unité de fonctionnement d'une machine à broyer!
    C’est brutal, froid, kafkaïen…
    Les beaux mots de peuple, liberté, égalité, fraternité sont détournés pour servir une tyrannie nationaliste, raciste et complètement fermée à toute réflexion sur l’Humain.

    Pour survivre, le dictateur doit créer un climat où chacun devient son double.
    Ou chacun est pris au piège.
    Ou l'enfer c'est les autres!
    Multitude de salauds anonymes, ordinaires et trouillards, qui espèrent éviter, vainement, d’être écrasés.

    Marc Dugain nous livre le portrait d’un tyran raisonneur qui tient presque des conversations de salon mondain…
    Et c’est d’ailleurs, là, la faille du film.
    Tout le contraire du véritable Staline qui était plus proche du plouc décérébré, colérique, violent et incapable de comprendre quoique ce soit dans le domaine artistique et/ou scientifique… Témoin Chostakovitch écarté parce que trop moderne (« le peuple ne peut même pas fredonner un air de sa musique »).

    On reproche à Dugain le rythme lent de son film, sa monotonie, ses couleurs bistres, ocres et siennes…
    Pour moi ces « défauts » servent le propos de l’auteur : la laideur d’un système, d’une société en décrépitude…
    Ces carrelages sales, ces murs décrépis, ces appartements délabrés, ces blouses non repassées et suspectes, tout cela pourrait desservir le récit par une apparente exagération…
    Mais il ne faut pas perdre de vue que ces éléments soutiennent le film en créant un climat glauque, nauséeux.
    A nouveau, comme dans « Le couperet » de Gavras, par exemple, les choix esthétiques de l’auteur servent à narrer une histoire symbolique, un conte historique.

    Et ce propos est servi par des acteurs au top niveau : Marina Hand et André Dussolier bien évidemment… Mais aussi Edouard Baer et D. Podalydès. Une réserve cependant concernant Tom Novembre bien meilleur chanteur, ou graphiste, qu’acteur…

    Pour terminer je ferai remarquer que notre bienveillant néo-libéralisme qui est, selon les critères assénés par les mass-médias, le garant contre le surgissement inopiné d’une nouvelle dictature est tout aussi liberticide.
    Quand ils parlent de « liberté » c’est de la liberté de sous payer et d’avoir des esclaves qu’ils entendent.
    Quand ils parlent de droit et d’égalité, c’est une égale soumission au pouvoir de l’argent qu’ils revendiquent pour tous.
    Quand ils parlent de fraternité c’est de l’entr’aide entre personnes d’un même réseau, d’une même famille qu’ils évoquent.
    C’est le détournement et la rigidification des concepts qui forgent les dictatures !

    UN FILM A VOIR ET A PENSER.
    Hastur64
    Hastur64

    229 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 février 2013
    Longtemps j’ai hésité à regarder « Une exécution ordinaire » pour la raison principale que le régime communiste et plus particulièrement la période stalinienne est pour moi assez déprimante ; de plus les acteurs à l’affiche, dont je suis conscient de l’immense talent, me laisser augurer d’un film un peu trop sérieux et pour dire les choses franchement trop intello, dans le mauvais sens du terme, pour être intéressant. Néanmoins également conscient de faire preuve de préjugés un peu exagérés, je me suis mis décidé à sauter le pas. Je dois dire que le film à apporter le plus magnifique démenti à mes ridicules hésitations et que j’ai été époustouflé par le film et le jeu des acteurs. L’histoire de cette urologue, tiré en partie de faits réels, qui devint le médecin personnel de Staline, voyant par là même sa vie basculer dans une prison qui ne dit pas son nom et où ses proches sont arrêtés et torturés et vraiment un excellent symbole de la folie paranoïaque et criminelle du dictateur. Le jeu pervers auquel se livre ce dernier sur Anna, sans autre but que la faire souffrir puiqu’il est entendu par les deux que ce dernier a tout pouvoir sur elle, est magnifiquement mis en scène avec des dialogues et un jeu tout en retenu et en sobriété qui ne font que souligner la grande perversion de Staline. Marina Hands retranscrit sur son visage avec un jeu tout en économie les émotions, notamment la souffrance que son personnage ressent durant les moments où le dictateur se joue d’elle. L’ambiance du film retranscrit à merveille l’ambiance paranoïaque de l’époque où tout le monde surveille tout le monde et où la délation est un moyen de régler ses comptes et pour ceux qui ont un petit pouvoir une façon de faire chanter ceux sous leur autorité. On notera même la pointe d’humour avec l’allusion à l’actuel président russe Poutine lors de la discussion entre Anna et le maître d’hôtel. Un film convaincant dans son ambiance, brillant dans son intrigue et époustouflant par son jeu d’acteur. Ne soyez pas ridicule comme moi en vous privant de ce plaisir et voyez le sans attendre si ce n’est déjà fait.
    ned123
    ned123

    161 abonnés 1 702 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 octobre 2012
    J'ai vu un film... après avoir lu le roman du réalisateur, et on sent que malgré son envie de vouloir prendre en charge SON film, il y a un peu de maniérisme dans la réalisation... Chaque comédiens réalise sa prestations avec talent, et notamment André Dussolier qui incarne un Staline matois, d'une immense violence intérieure, et en même temps victime d'une grande souffrance... Il s'agit d'un exceptionnel numéro d'acteur. Edouard Baer, Marina Fois, mais également tous les seconds rôles (Denis Podalydès, Tom Novembre...) sont vraiment bien... L'ambiance soviétique triste de cette époque est vraiment bien restituée, mais malheureusement, et cela tient à peu de choses, on sent trop la réalisation "Téléfilm"... L'image, la couleur, le son ne sont pas assez travaillé, et du coup, m'ont empêché de rentrer à fond dans ce film. De plus, et encore un élément qui m'a empêché de rentrer dans le film, c'est le choix du français... Il aurait pu être encore plus fou de faire tourner ces acteurs en russe VOST... Un pari ultra-fou...
    Cluny
    Cluny

    78 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 octobre 2012
    Ce n'est pas si fréquent de voir le cinéma français grand public s'intéresser à autre chose que les émois germanopratins ou les images d'Epinal de l'Histoire de France. Je ne devrais donc pas bouder mon plaisir devant l'ambition de Marc Dugain, à la fois dans le choix du sujet, la fin du règne de Staline, et dans la forme retenue, à savoir celle d'un film en français avec un casting hexagonal. Après tout, le cinéma américain ne se gêne pas de tourner "Mémoires d'une Geisha" en anglais, et le fait que les dialogues "Lettres d'Iwo Jima" aient été joués en japonais avait été souligné comme une anomalie dans la production hollywoodienne.

    Marc Dugain fait partie de cette cohorte croissante, celle des écrivains qui deviennent réalisateurs. Si certains s'en sortent honorablement (Emmanuel Carrère avec "La Moustache", par exemple), ils sont plus nombreux à illustrer le fait qu'écrivain et réalisateur, ce sont deux métiers différents (Alexandre Jardin, Michel Houellebecq et Eric-Emmanuel Schmitt, pour ne citer qu'eux). Dans une interview à Allociné, Marc Dugain montre au moins une certaine rélexion cinématographique, justifiant par exemple le choix de filmer à l'épaule pour illustrer la peur tout en s'opposant à la mode parkinsonienne que je dénonce à longueur de critiques.

    Le choix de faire comprendre l'oppression quotidienne du peuple soviétique sous la tutelle satlinienne en s'attachant à des personnages quelconques comme Anna et Vassili n'est pas à remettre en cause, et la description de la surveillance mutuelle et le chantage permanent à la dénonciation ("Personne ne peut protéger personne, mais tout le monde peut dénoncer tout le monde") fonctionne plutôt bien, symbolisés par les deux excellents sociétaires de la Comédie Française, Denis Podalydès en concierge antisémite et Grégory Gadebois en chef de service libidineux.

    De même, l'incarnation de Staline par l'acteur primesautier de Pascal Thomas et d'Alain Resnais s'avère être finalement plutôt une bonne idée ; André Dussolier campe le dictateur avec un calme et une retenue qui rendent cette bonhommie encore plus menaçante, et même s'il est parfois un peu engoncé dans son maquillage, sa vareuse et sa bouffarde, il réussit plusieurs fois à donner vie à sa statue du Musée Grévin.

    Non, ce qui ne permet pas au film de se hisser au niveau des ambitions annoncées, c'est à la fois une réalisation molle du genou et des dialogues trop littéraires du type : "Tu es tellement habituée au malheur que quand il n'y en a pas, tu es malheureuse", "Je n'ai pas le pouvoir de t'attribuer un logement, je ne suis que Staline", ou "N'oublie pas tes mains, je viendrai avec mes douleurs". L'absence de rythme rend encore plus criant le manque d'épaisseur du scénario, et certains choix revendiqués se retournent contre l'intension affichée, comme la photographie maronnasse et l'abus de courtes focales qui finissent par fatiguer l'oeil.

    Et puis, il manque la dimension russe à ce film essentiellement tourné en studio à Bry-sur-Marne (ce qui explique le réveil Japy dans la chambre d'Ana ?). Il faut dire que je viens de voir "Tsar" (critique à venir), et la comparaison est cruelle pour le film Marc Dugain, qui apparaît aussi slave que le regard d'un entomologiste sur une mante religieuse. Ce n'est pas le fait que les dialogues soient dits en français qui pose problème, c'est plutôt le fait que ça souligne de façon criante que cette histoire aurait pu se passer dans n'importe quelle dictature. J'ai assez sévèrement critiqué "Le Concert", mais j'avais apprécié la folie moscovite de la première partie. C'est cette absence de russitude, plus encore que le manque de rythme et d'épaisseur de l'intrigue qui font d'"Une exécution ordinaire" un film lui aussi bien ordinaire.
    http://www.critiquesclunysiennes.com
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 septembre 2012
    A travers ce court moment de la vie de Staline au soir de son règne, Marc Dugain qui a mis en scène lui-même son propre livre nous résume brillamment tous les excès d'une dictature fut-elle réputée de gauche Le petit père des peuples qui a régné par la terreur est devenu prisonnier de sa paranoïa; plus personne n'osant l'approcher de peur de se retrouver sur ses fameuses listes noires qui signifiaient un aller sans retour vers le goulag ou autre réjouissance. Le cas de ce médecin magnétiseur est emblématique de toute l'absurdité du pouvoir autocratique. Alors que ses mains magiques sont son ultime réconfort , Staline est inapte à nouer une relation de confiance avec sa bienfaitrice à qui il offre comme seul récompense le divorce et la torture de son mari. La contradiction du régime est telle que le seul pouvoir entre les mains de Staline semble celui de la répression, incapable qu'il est de lui fournir un appartement au nom du dogme socialiste qui interdit les passe-droits. Ce que l'on retient en premier lieu du film de Dugain c'est la prestation époustouflante de Dussolier qui campe un Staline plus vrai que nature; un rôle en or qu'il ne pouvait pas laisser passer. Edouard Baer aussi est convaincant dans le rôle de l'époux emporté dans la tourmente de l'horrible aventure vécue par sa femme.
    Guillaume836076
    Guillaume836076

    85 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 avril 2013
    A voir surtout pour la composition bluffante d'André Dussollier en Staline, peu incarné au cinéma jusqu'alors, pour ce qui restera l'une de ses plus grandes prestations au cinéma; En choisissant Dussollier, Marc Dugain a certainement voulu choisir un acteur qui transpire naturellement la bonhomie et le calme pour mieux nous faire ressortir la perversité et la paranoïa du personnage, jouant ainsi avec nos nerfs dans le sens où l'on se demande si Staline pouvait manifester de l'empathie pour autrui et son interlocutrice Anna...
    La réussite de ce film c'est donc les confrontations entre Staline et Anna, jeune talentueuse urologue, dotée de dons de magnétiseuse, qui se retrouve contrainte, dénoncée par des collègues jaloux, de "soulager" le tyran dont l'état se dégrade peu à peu. Face à Dussollier, Marina Hands est surprenante d'émotions et de force, ce que demandait la composition de son personnage. Si Anna tient la "dragée haute" face à Staline malgré la terreur que se dernier instaure, Marina Hands tient la barre face à la prestation d'André Dussollier.
    Cependant, il est regrettable que ce qui retient surtout notre attention dans ce film soit ces quelques scènes, véritables colonne vertébrales du film. Finalement, ce qui tourne autour, ne nous procure pas vraiment d'émotions comme l'histoire entre Anna et son époux Vassili (Edouard Baer, sobre), qui semble accessoire ou prétexte pour nous introduire auprès de Staline.
    Sinon, intéressante retranscription de l'atmosphère de suspicion et de délation de la société soviétique où tout le monde surveille tout le monde. A cet égard les scènes de l'hopital, lieu de travail d'Anna, sont réussies via la description réussie de psychologie de ses collègues, qu'il soit de son côté (le directeur joué par un Tom Novembre touchant) ou alors qui sont prêt à tout pour l'écraser (son chef de service libidineux joué par un remarquable Grégory Gadebois).
    Dans l'ensemble, la mise en scène de Marc Dugain s'avère ultra-classique. Il prend peu de risques et, par moments, on a l'impression d'asphyxier, tant on a une sensation de lenteur et de lourdeur; procuré également par les choix techniques et esthétiques (photo et image à la tonalité marron-grise, décors ternes...). Au final, peut-être que ce choix de mise en scène et en image est voulu par Dugain pour mieux faire ressortir le sentiment d'oppression, de blocage et de malaise et d'angoisse généralisé de la société russe sous Staline en fin de règne. Peut-être aurait-il pu, alors, développer une vision plus critique de la politique du régime stalinien, adopter un style qui fait moins huis-clos et moins littéraire dans ses dialogues (adaptation d'un de ses romans à succès) en accélèrant le rythme et en s'autorisant plus d'audace dans les cadrages.
    Malgré les défauts inhérents à toutes première oeuvres, film à découvrir, si ce n'est pas fait !
    Merytamon
    Merytamon

    23 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juillet 2012
    Bon film ! Quelques longueurs cependant ! André Dussolier est magistral dans le rôle de Staline, et Marina Hands joue tout aussi bien le rôle de ce docteur qui doit renoncer à sa vie conjugale pour devenir le médecin personnel de ce dernier ! Edouard Baer se débrouille pas mal non plus, cependant on a tellement l'habitude de le voir dans des rôles comiques qu'il faut un certain temps d'adaptation. On notera également la présence de Denis Polydadés en concierge un peu collant !
    A voir une fois !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 juillet 2012
    Toujours ou bien dans l'excès ou bien dans le manque, ce film est trop académique pour être authentique. On ne gardera que les faces à faces entre Marina Hands et le magnifique André Dussolier, qui nous montre qu'il sait absolument tout jouer.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 mars 2013
    Un scénario bien trop léger mais une grande performance d’acteurs. Finalement, un film bien ordinaire.
    vanou97
    vanou97

    46 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 février 2012
    Ce film historique au scénario qui aurait pu inspirer les plus grands est complètement bâclé dans cette exécution.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 février 2012
    un très bon film qui nous fait bien comprendre la vie en URSS. Il nous apporte aussi une vision intéressante du personnage qu'était Staline.Un film dur mais bien.
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