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🎬 RENGER 📼
7 196 abonnés
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1,0
Publiée le 30 août 2009
On la voyait venir cette comédie, et de loin. L’intrigue s’avère peu originale et passionnante. Ajouté au manque cruel d’idée dont ont fait preuve les scénaristes. Si bien que le manque d’inspiration se ressent sur les gags et les répliques (salaces et scatos !). Pas mal de répétitions pour une mise en scène bien trop calme, au final, on ne rit que très peu de fois tout au long du film.
Je n ai pas vraiment été captivé par ce film, meme si ce n est pas l ennui total il ne se passe rien d exceptionnel. Les dialogues sont un peu simplistes et mal amenés. On est dans la même ambiance que dans Tonnerre sous les tropiques ou le décalé reste sans echo. Heureusement que Jack Black et Micheal Cera sont omniprésent, le seul lien qui nous garde au fond du siège.
Un début pathétique et 20 minutes après ce calvaire, le film devient vraiment drôle, parfois hilarant pour tomber juste après dans l'ennui puis fini dans la pure comédie... D'excellents gags à un mauvais rythme...
Plus drôle que l'horrible affiche ne le laissait présager, "L'an 1" fait encore partie de cette nouvelle vague de la comédie américaine au style Appatow. Mêmes têtes au casting, même potacherie malgré le décalage temporel, le film s'amuse dans un premier temps à jouer à fond la carte de l'anachronisme (de l'anglais pendant la Préhistoire?), considérant que l'animalité des premiers hommes se rapproche de la goujaterie non-dissimulée de ceux d'aujourd'hui face aux femmes et à la question sexuelle... Forcément, la sensation dominante qui ressort de cette approche rigolote (grâce aux dialogues, aux comportements) est d'être en face d'adolescents américains tout droit sortis du lycée alors qu'il s'agit en fait d'une page de l'Histoire, celle-ci étant complètement anecdotique puisque le film n'a pour seul but de faire rire. A ce jeu-là, entre blagues (un peu trop) grasses et dialogues sauvages, il y a de quoi savourer. Mais malgré l'énergie comique de ses deux acteurs, "L'an 1" se ridiculise dans une deuxième partie à l'arrivée de Sodome, qui confond les réalités historiques au désir de blagues de cul des scénaristes et dialoguistes. Le décalage s'évapore et l'alliance ne fonctionne plus ; on ne rit plus de l'absurdité qui porte le comique mais de blagues abandonnées à leur triste sort, celui de produire un rire gras qui finit par lasser. L'humour ne soutient plus vraiment le film, et comme l'absence de scénario et de mise en scène se fait de plus en plus ressentir à travers les décors de carton-pâte, "L'an 1" se vautre dans un ridicule peu recommandable, avec happy-end de rigueur et actes de bravoure qui renvoient encore une fois à l'Amérique bien-pensante. Dommage.
L’an 1 de quoi, on se le demande. Deux zigotos d’un village préhistorique quittent leur lieu natal parce qu’ils n’ont aucun succès auprès des filles, et cherchent aventure ailleurs. En chemin, ils tombent sur Caïn en train d’assassiner Abel. Plus tard, ils sont reçus dans la famille d’Abraham, qui vient de renoncer à zigouiller son fils Isaac, lequel passe ses nuits à se dévergonder à Sodome en cachette de son père, qui vient d’inventer la circoncision. Puis ils affrontent les Romains, etc.
Compris : le film, pour tenter de faire rire, joue sur les anachronismes. Et comme c’est Judd Apatow qui a produit cette chose, et que le pape du film de potes débile a le vent en poupe en ce moment, on sent qu’il ne va pas manquer d’excellents critiques pour conseiller de voir le film, très symptomatique du niveau abyssal auquel, depuis trois décennies, est tombé le cinéma d’Outre-Atlantique. Michael Cera, qui joue les vierges mâles de service, mérite mieux.
Un film pavec Jack Black, par le rélaisateur de 'Un jour sans fin'et "Mes doubles ma femme et moi", j'arrive !! Malheureusement, ceux qui ont mis plus de 0 étoile à cette grosse bouse, ne sont pas gentil avec le réalisateur, mais les pires enfoirés vis-à-vis des spectateurs potentiels. Ils ne veulent pas être les seuls à s'emmerder à voir Jack Black bouffer de la merde ou à ne pas se pisser dessus de rire lorsque Cera s'autopisse à la raie.
On n'avait pas assisté à une telle déception, depuis 'Hotel Paradiso' que personne à part Maryline et moi...
Heureusement, le film doit déjà, après une semaine d'exploitation (le mot est juste), avoir quasi disparu du cinématographique français.
On gardera son bel argent pour aller voir ou revoir "very bad trip" qui entame une dixième semaine plus que méritée !!
Ce film est médiocre. Ni bon, ni mauvais. Ni drôle, ni ennuyeux. Ni respectueux de l’histoire, ni profondément irrévérencieux. Je pourrais continuer la liste pendant quelques caractères mais cela serait fastidieux à lire. Je pense que l’essentiel est là. Ce film se situe dans un entredeux un peu désagréable et Jack Black, qui est un acteur que j’aime particulièrement, n’est pas franchement à son meilleur niveau. Du coup, ben, on s’ennuie un peu. Le moteur diesel bien lancé au début du film cale encore et encore. Constatez comme je suis encore très fort en métaphore. A voir si vous avez le temps au cinéma, sinon, et bien, ça sera une soirée pizza-film bien sympathique en prévision à la maison.
Avec un duo Michael Cera/Jack black et une intrigue aussi surprenante, on ne pouvais qe s'attendre qu'a une grosse surprise et c'est le cas ! Film complètement déjantée avec pour seul mot d' ordre: délire ! On se s'ennuit pas une seconde ! Un numéro deux ne ser jamais de trop .
Après un peu de recul, je trouve qu'il se dégage un parfum culte de ce film. Pour moi, c'est une œuvre totalement inhabituelle dans le paysage américain. On sait que Harold Ramis peut être particulièrement inspiré (Un jour sans fin)et je trouve qu'il se retrouve un peu dans la deuxième partie du film. Pour peu que l'on connaisse la bible ou l'ancien testament, c'est un festival ! Non franchement, à voir et à revoir. La caricature de la Genèse... Je pense que beaucoup de critiques s'attendaient à voir du Monty Python au travers de ce film. Évidemment c'est moins réussi mais franchement gonflé dans le paysage actuel...
Hihi très bon. Ça ma un peu fait penser à " la vie de brian ", un film totalement burlesque. Ce film doit aussi beaucoup au jeu d'acteur comique de la plupart du casting, excepté la fille de dr house.