Derniers Avis sur Thirst

Il manque beaucoup de choses pour y voir clair dans ce film, on ne sait pas trop où on va. L'actrice principale n'est pas non plus très convaincante, les seconds rôles sont meilleurs. Le poids des ans n'aide pas non plus ce film.

Réalisé par Rod Hardy, ce petit film de la Ozploitation, sorti en 1979, n'est vraiment pas terrible. Je n'en attendais en même temps pas tellement plus tant j'ai du mal avec la Ozploitation qui peut nous sortir de temps en temps quelques perles mais qui reste, pour moi en tout cas, un univers bien trop perché. C'est par exemple ici l'histoire de Kate, qui se fait enlever par une étrange secte tenant une ferme d'humains, qui apprennent à cette dernière qu'elle est la descendante d'Élisabeth Báthory. Alors pourquoi pas, surtout que la comtesse a déjà alimentés des films assez perchés (notamment l'excellent "Les Lèvres rouges"), mais là on rentre tout de même dans un délire un peu particulier qui ne tient surtout pas la longueur ! J'ai en effet trouvé le rythme plutôt lent ; c'est fun au début de voir tous ces gens un peu shootés lambiner autour de la piscine mais ensuite, lorsque la comtesse rentre dans ses rêves et délires, on perd énormément en rythme ! Même si c'est visuellement intéressant, c'est tout de même très lent on ne comprend pas vraiment où le film veut en venir, même si les intentions des personnages sont plutôt claires. Enfin, d'ailleurs, il est plutôt difficile de rentrer dans l'histoire tant l'introduction, mais également les personnages, sont lunaires. On met un certain temps à comprendre le rôle de chacun et puis surtout, ce kidnapping ne m'a paru à aucun moment crédible, ni les réactions de Kate d'ailleurs qui reste plutôt chill face à ce qu'on lui raconte. Concernant les acteurs, on retrouvera entre autres Chantal Contouri et Shirley Cameron qui en font quelques fois un peu trop même si ça passe mais également David Hemmings dont on se demande sérieusement ce qu'il fout là (même si les films marquants de carrière ne restent finalement que "Blow Up" et "Les Frissons de l'angoisse", sans oublier "Barbarella" évidemment). Sans être mauvais, "Soif de sang" est donc, en ce qui me concerne, un film oubliable de plus de la Ozploitation.

Une femme diffèrente des autres, constamment sur la dèfensive...et baronne de par ses ancêtres! La femme idèale pour cette histoire de secte et de buveurs de sang! En 1979 sortait "Mad Max", l'un des films les plus cèlèbres du cinèma australien, tandis que Rod Hardy rèalisait au même moment, "Thirst", qui s'influençait très largement de "Soylent Green", avec Charlton Heston! Rèsultat : un film mèconnu qui fait froid dans le dos! On sent une inspiration (la jeunesse, le pouvoir...), un rèel talent dans la mise en scène, un ton nouveau dans le cinèma australien, et c'est bien jouèe par Chantal Contouri, triste hèroïne totalement conditionnèe qui doit vivre avec ses instincts et s'en rèjouir! Telle sera sa destinèe! Bonne idèe d'avoir chois Henry Silva et David Hemmings qui ont suivi le rèalisateur dans ce projet un peu fou : ils sont donc très bien aussi! Bienvenue dans la confrèrie...

(Soif de sang puisque c'est le titre français !) Pourquoi ce petit bijou du cinéma fantastique australien n'est-il pas davantage connu. Le scénario est vraiment très original. La tension, le suspense et l'angoisse nous prennent aux tripes dès les premières minutes du film, et ne nous lâcheront pas avant la fin. L'interprétation de la très peu connu Chantal Contouri est saisissante. Ambiance flippante. Un chef d'œuvre du film d'angoisse fantastique à redécouvrir et à réévaluer d'urgence !

Les amis sont les ennemis dans ce thriller inédit, dans lequel Kate (l’héroine) évolue dans un camp de vacances se révélant être une ferme industrielle ou par ailleurs les membres, en couple ou non, sont bercés par une douce propagande aidant à vendre le sang humain en pack et les vampires aux arguments subversifs. Toutefois l’ensemble ne bénéficie pas de l'extra ball nécessaire aux chefs d’œuvre.

Les amis sont les ennemis dans ce thriller inédit, dans lequel Kate (l’héroine) évolue dans un camp de vacances se révélant être une ferme industrielle ou par ailleurs les membres, en couple ou non, sont bercés par une douce propagande aidant à vendre le sang humain en pack et les vampires aux arguments subversifs. Toutefois l’ensemble ne bénéficie pas de l'extra ball nécessaire aux chefs d’œuvre.

Soif de sang aborde d'une manière assez guère originale le thème des vampires, ici rassemblés au sein d'une secte minutieusement organisée dans leur quête de sang frais. La lente descente aux enfers d'une femme désignée comme descendante de la comtesse Bathory, et la singularité de cette organisation qui en fait sa captive, constitue l'intérêt principal du film. Nous voici très loin des classiques vampires romantiques, solitaires et damnés : les buveurs de sang s'apparentent ici d'avantage à des scientifiques froids et méticuleux ! Malheureusement, le rythme du film se révèle être assez mou, ce qui est certes sans doute voulu, mais on se lasse assez rapidement du déroulement du scénario, avec une héroïne qui passe son temps à refuser et accepter son statut d'héritière vampirique. Assez bien interprété, Soif de Sang manque de ce petit plus qui aurait pu en faire un bon film, et le dernier quart d'heure, qui manque singulièrement de peps et d'intensité dramatique, ne laisse pas, au final, une impression inoubliable. Dommage, mais les amateurs de nos amis les vampires gagneront à jeter un oeil à cette grosse curiosité.

Soif de sang part d'une bonne idée, une descendante de la comtesse Bathory est kidnappé par une secte malheureusement si cela a l'air alléchant dans son genre ce film d'épouvante souffre d'un scénario mal ficelé, d'une mise en scène style téléfilm et puis l'héroïne est moche (oui je sais c'est méchant mais bon c'est vrai). Sinon pour ceux qui se moquent des vampires de Rollin vous verrez ici une suceuse de sang du 3ème âge à la permanente violacée.

Un bon gros nanar des années 80 ou le jeu des comediens est a peine digne d'une serie tv et dont seul le jolie minoi de l'actrice principale retient un tant soit peu l'attention.Pour le reste ,entre les decors ,les costumes et autres effets speciaux pourries c'est du 100% kitch sans oublier le scénario ultra bidon.

Les amis sont les ennemis dans ce thriller inédit, dans lequel Kate (l’héroine) évolue dans un camp de vacances se révélant être une ferme industrielle ou par ailleurs les membres, en couple ou non, sont bercés par une douce propagande aidant à vendre le sang humain en pack et les vampires aux arguments subversifs. Toutefois l’ensemble ne bénéficie pas de l'extra ball nécessaire aux chefs d’œuvre.