Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Dead-for-Someone
45 abonnés
694 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 9 février 2019
Pas forcément nécessaire, le scénario de base était suffisamment clair mais au moins, on a le meilleur film de la saga. Il y a des centaines d'années, les vampires avaient leurs propres races d'immortels pour les servir, les Lycans. Lucian était un esclave loyal, mais qui aime en secret Sonya, fille des chefs des vampires, Victor. Les deux amants secrets vont alors déclencher sans le savoir un des guerres les plus sanglantes... La réalisation est assez réussie: le cadrage est bon, certains plans sont vraiment beaux, la mise en scène assez efficace, les mouvements fluides et la profondeur de champ agréable. Le scénario est ce qui se rapproche le plus de Roméo et Juliette que le premier film: on sent vraiment que les deux amoureux n'ont aucun espoir d'être heureux. Le rythme est bien travaillé, il presque pas de temps morts, peu de scènes sont inutiles. Il y a des incohérences et d'assez gros clichés qui gênent parfois la narration mais l’histoire en elle même est réussie, arrivant à faire de bonnes transitions entre scènes dramatiques et scènes d'action. Les acteurs jouent tous très bien, mais c'est Bill Nighy dans le rôle de Victor qui mérite tous les éloges, incarnant un chef des vampires avec une crédibilité troublante. Les personnages sont assez stéréotypés dans leurs ensemble mais restent attachants. Les dialogues fonctionnent plutôt bien. La photographie de Ross Emery (Wolverine: le combat de l’immortel) est réussie, la lumière est très soignée mais les couleurs ne marchent pas toujours très bien. Le montage est parfois trop brutal dans les scènes d'action mais reste de qualité. Les décors sont très réussis, les costumes également, les effets spéciaux commencent un peu à vieillir mais fonctionnent encore et la musique agréable. "Underworld 3 : le soulèvement des Lycans" est un bon prequel est le meilleur de la saga.
Ce troisième opus de la franchise "Underworld", cette fois réalisé par Patrick Tatopoulos et sorti en 2009 est clairement mauvais. Si le deuxième film était en dessous du premier mais restait pas mal, celui-ci est vraiment en-dessous de tous les autres, je n'ai pour l'instant pas vu les suites, mais c'est, pour moi, jusqu'à maintenant le plus mauvais de la saga. Dans ce préquel, nous assistons, comme son titre l'indique, à la révolte des Lycans mais plus précisément sur les origines du combat entre Lucian et Viktor. On l'a bien compris, ce n'est pas par son originalité que le film va nous surprendre, on a plus l'impression d'être devant un pur produit commercial qui n'a pas d'âme et c'est malheureusement bel et bien le cas. D'ailleurs, l'histoire est en quelque sorte basée sur une anecdote, une vision apparue dans le premier film, celle où Lucian regarde, sans pouvoir réagir, périr Sonja, la fille de Viktor. En dehors de cette espèce d'arc narratif bidon, nous avons certes de bonnes scènes de combat mais ce n'est pas suffisant pour en faire un bon film. Le scénario est vide tout simplement, le film est creux et on s'ennuie beaucoup trop alors que le film ne dure qu'une heure vingt ! L'univers est également bien respecté, nous nous éloignons du style "Matrix" pour arriver dans un Moyen-Âge sombre et gothique, le code couleur est d'ailleurs, lui aussi, toujours aussi bien respecté (toujours sombre avec des nuances de bleu). Les effets spéciaux se bonifient de film en film, il n'y a rien à dire là-dessus. C'est donc très dommage qu'avec toutes ces bonnes choses, le film soit raté et pourtant, sans un scénario solide, le film ne tient malheureusement plus la route. La fin est quant à elle clichée et tout est prévisible, plus rien ne nous surprend. Les personnages ne sont pas non plus vraiment travaillés, enfin je veux dire par là qu'on en apprend pas plus sur Lucian et Viktor et Sonja (personnage, jusqu'à maintenant seulement évoqué) est vide et plat, comme le scénario. Du côté des acteurs, nous retrouvons Michale Sheen et Bill Nighy qui jouent toujours aussi bien, Rhona Mitra étant, comme son personnage, oubliable. "Underworld 3 : Le Soulèvement des Lycans" est donc une suite ratée et oubliable.
L'univers d'Underworld semble avoir trouvé un équilibre en installant son histoire à l'époque médiévale à l'occasion de ce Soulèvement des Lycans, prélude aux premiers films qui se déroulaient à l'époque contemporaine, noyés dans un mauvais goût kitch maladroitement assumé et aux enjeux scénaristiques aussi multiples que confus. La plupart des endives qui servaient d'acteurs ont été remplacés par des comédiens avec un peu plus de charisme, et l'ensemble donne l'impression d'avoir été emballé avec plus de sérieux et de passion, malgré des effets visuels déjà difficilement acceptables l'année de sa sortie. Sans pour autant avoir de réelles surprises à se mettre sous la dent, le film reste sympathique, un peu plus violent et moins bling-bling que ses prédécesseurs, et dont la principale qualité réside dans une l'intrigue épurée qui lui permet d'aller droit au but. Pour une saga qui érigeait la mièvrerie en étendard de coolittude beauf, avoir un film qui se contente de faire le job, c'est déjà pas si mal.
Alors oui, « Underworld 3 » est une bonne série B, qui ne sert qu'à mieux cerner les enjeux des films précédents et qui grâce à un style moins épileptique, nous gratifie de séquences plutôt sympathiques. Surtout qu'à l'issu du film, certains personnage deviennent plus humains dans leur combat, leurs motivations et leur haine.
Un retour aux origines… de Lucian. Comme je l’écrivais pour le premier volet : la marque de fabrique ou la griffe de « Underworld » est aller à l’essentiel. Si Viktor me paraît être le personnage le plus charismatique, les autres manquent de corps. Eh oui même Lucian ! A la limite, je le préférais dans le premier volet ! Plus ça avance plus le format se rétrécit mais au bout du compte le récit tourne en rond assez rapidement. Et plus ça avance, plus ma note descend. Si le morphing est appréciable les loups-garous me paraissent empruntés. Selon moi, cette saga trilogique aurait pu s’inscrire dans le panthéon des films de genre, elle a juste sa place au rayon des films au potentiel gâché.
Une belle et épique aventure qui n'apporte pas grand chose à la saga puisque l'histoire et quand même bien racontée dans le premier volet. Mais bon les décors sont sympa et l'action est présente.
Pas mal de gens on trouve le 3 eme pas terrible moi c est tout l'inverse je trouve Que de savoir se qui c est passe avant avec victor et sur la vie des autres comment tout a commencer en plus l'histoire et geniale se 3eme opus et tres important dans la saga 5 etoiles direct
Franchement, après la déception qu à était le 2 eme volet de cette saga, je pouvait m attendre au pire surtout venant d un retour aux sources ... Et pourtant c est une réussites complète qu est ce film !!! Un film d action fantastique tout aussi passionnant que le premier volet 😃
Souvenez-vous : "Underworld" mélangeait les films de vampires et de loups-garous, et réinventait ainsi le genre. Le succès fut au rendez-vous, ce qui a donné lieu à une suite, aussi réussie que son grand frère. Voici donc le troisième épisode, qui n’est pas une suite, mais un préquel puisque l’histoire se déroule avant les deux premiers épisodes, afin de permettre au public de mieux comprendre le pourquoi de la guerre opposant les vampires aux lycans, alors que les origines ont été par ailleurs évoquées lors de l’entame de la saga. Len Wiseman a laissé la réalisation à son ami Patrick Tatopoulos, qui signe ici son premier long métrage. Un pari risqué ! Risqué ? Noooon, car le nouveau cinéaste n’est en fait pas un nouveau venu dans la franchise, puisque c’est lui qui a créé les créatures du premier film et qui a été le directeur artistique du second volet. Il avait donc toutes les recettes en main, et le fait est que… le résultat est à la hauteur des deux premiers opus. Nous sommes remontés loin dans le temps, à une époque médiévale (entrevue lors des premières images de "Underworld 2 - Evolution"), au temps où on ne circulait encore qu’à cheval et où arbalètes et épées régnaient en maître parmi les armes. Ceci offre un nouvel environnement à ces créatures qui ne peuvent évoluer que la nuit, et quel environnement ! Il est particulièrement bien choisi, avec des passages souterrains, des geôles, des coins et des recoins qu’aucun réverbère ne vient éclairer (et pour cause, puisque les réverbères n’existaient pas en ce temps-là), seulement timidement éclairés par quelques torches ici et là. Les nouveaux décors sont donc bien en phase avec l'atmosphère sombre, glauque et cachée que la saga s'était efforcée de mettre en place. Exit donc Kate Beckinsale et sa tenue gothiquement sexy, et bienvenue à Rhona Mitra pour interpréter Sonya, la fameuse fille de Viktor, elle aussi évoquée dans les épisodes précédents. Il est vrai qu’on peut s’interroger sur l’utilité de revenir au commencement de cette guerre, mais comme le précise justement l’internaute Guillaume M., ça a le mérite de donner du sens aux deux premiers épisodes (ainsi qu’aux numéros suivants éventuels) et de les crédibiliser. Et puis surtout, revenir aux origines permet de prendre un virage à 180°, pour montrer les vampires sous leur plus mauvais jour et, du même coup, de légitimer le combat des lycans. Tout le contraire des épisodes précédents, en fait. L’histoire n’en est rendue que plus intéressante, et permet à la saga de rebondir efficacement grâce aussi, il faut le dire, à la bonne interprétation de l’ensemble des acteurs : Bill Nighy toujours aussi froid, implacable, et dénué d’état d’âme ; Michael Sheen, visiblement plus inspiré que jamais dans son rôle, Lucian, pris dans les tourments de l’amour et de la révolte. On peut cependant déplorer qu’une grande partie du suspense soit tué dans l’œuf puisqu’on sait dès le début qui va s’en tirer ou pas.
Après deux premiers films ayant réussi à conquérir le public grâce à un univers assez original et aux formes admirables de Kate Beckinsale, "Underworld" s'offre un troisième opus en forme de préquel. Si la présence du personnage de Selene se fait un peu ressentir, on remarquera une chose étrange : ce troisième film, mettant en scène le début de la révolte des lycans contre les vampires à la suite des amours contrariés de Lucian et Sonja, est presque le meilleur de la saga. Le côté épique et historique y est pour beaucoup, plongeant le film dans une atmosphère particulière. En dépit du scénario relativement simple, le charme opère grâce aux interprètes (Michael Sheen se donne à fond dans le rôle de Lucian, Bill Nighy campe un Viktor toujours aussi méprisant, Rhona Mitra se pose comme l'atout charme et guerrier de l'opus) et aux scènes d'action joyeusement orchestrées par Patrick Tatopoulos qui travaillait sur les effets spéciaux des deux premiers films et qui livre là un spectacle honnête devant lequel on n'a pas le temps de s'ennuyer, avec ce qu'il faut de sang qui gicle.
Un léger mieux par rapport au premier, mais comme d'hab' c'est foiré et comme d'hab' j'apprécie. On se rend compte que connaître les origines ne nous apprend pas grand chose puisque les anciens épisodes le faisait très bien.
Beaucoup aimé. On remonte dans le passé pour retrouver plusieurs personnages du premier volet et mieux comprendre la relation "vampire-lycans", en plus de ce qu'il est arrivé à la fille de Victor. Un excellent préquel et une très bonne ambiance !
Une saga d'heroique fantaisy / Vampires , où la belle Rhona Mitra, nous tient en haleine et nous séduit. Elle tombe amoureuse d'un Lycan et va semer le désordre dans cette Europe médiévale, où les Vampires et les Lycans s'affrontent à mort. Beaucoup d'effets spéciaux efficaces ,une très grosse production, menée sur un rythme d'enfer.
Loin d’arriver à la cheville des deux précédents opus, "Underworld 3 : le soulèvement des Lycans" revient aux origines et nous permet de découvrir les fondations d’une guerre sanglante. Sombre, juteux d’hémoglobine, combats, ce troisième volet de la saga "Underworld" fonctionne à plein tube. Mais le réalisateur Français, Patrick Tatopoulos n’est pas Len Wiseman et l’héroïne principale Rhona Mitra n’a pas la carrure ni le talent de Kate Beckinsale. "Underworld 3 : le soulèvement des Lycans" est un film assez ennuyant, avec une histoire très classique, un casting pas assez expérimenté et avec des effets spéciaux très limités. Seul quelques scènes d'action sauvent le film sinon l'ensemble est bien trop simple.