moi j'ai vue le film hier sur paris (alors que j'habite en bourgogne a une heure de la) est j'ai beaucoup aimer le film, sombre, bien écrit, un amour impossible. je le recommande !!!
Souvenez-vous : "Underworld" mélangeait les films de vampires et de loups-garous, et réinventait ainsi le genre. Le succès fut au rendez-vous, ce qui a donné lieu à une suite, aussi réussie que son grand frère. Voici donc le troisième épisode, qui n’est pas une suite, mais un préquel puisque l’histoire se déroule avant les deux premiers épisodes, afin de permettre au public de mieux comprendre le pourquoi de la guerre opposant les vampires aux lycans, alors que les origines ont été par ailleurs évoquées lors de l’entame de la saga. Len Wiseman a laissé la réalisation à son ami Patrick Tatopoulos, qui signe ici son premier long métrage. Un pari risqué ! Risqué ? Noooon, car le nouveau cinéaste n’est en fait pas un nouveau venu dans la franchise, puisque c’est lui qui a créé les créatures du premier film et qui a été le directeur artistique du second volet. Il avait donc toutes les recettes en main, et le fait est que… le résultat est à la hauteur des deux premiers opus. Nous sommes remontés loin dans le temps, à une époque médiévale (entrevue lors des premières images de "Underworld 2 - Evolution"), au temps où on ne circulait encore qu’à cheval et où arbalètes et épées régnaient en maître parmi les armes. Ceci offre un nouvel environnement à ces créatures qui ne peuvent évoluer que la nuit, et quel environnement ! Il est particulièrement bien choisi, avec des passages souterrains, des geôles, des coins et des recoins qu’aucun réverbère ne vient éclairer (et pour cause, puisque les réverbères n’existaient pas en ce temps-là), seulement timidement éclairés par quelques torches ici et là. Les nouveaux décors sont donc bien en phase avec l'atmosphère sombre, glauque et cachée que la saga s'était efforcée de mettre en place. Exit donc Kate Beckinsale et sa tenue gothiquement sexy, et bienvenue à Rhona Mitra pour interpréter Sonya, la fameuse fille de Viktor, elle aussi évoquée dans les épisodes précédents. Il est vrai qu’on peut s’interroger sur l’utilité de revenir au commencement de cette guerre, mais comme le précise justement l’internaute Guillaume M., ça a le mérite de donner du sens aux deux premiers épisodes (ainsi qu’aux numéros suivants éventuels) et de les crédibiliser. Et puis surtout, revenir aux origines permet de prendre un virage à 180°, pour montrer les vampires sous leur plus mauvais jour et, du même coup, de légitimer le combat des lycans. Tout le contraire des épisodes précédents, en fait. L’histoire n’en est rendue que plus intéressante, et permet à la saga de rebondir efficacement grâce aussi, il faut le dire, à la bonne interprétation de l’ensemble des acteurs : Bill Nighy toujours aussi froid, implacable, et dénué d’état d’âme ; Michael Sheen, visiblement plus inspiré que jamais dans son rôle, Lucian, pris dans les tourments de l’amour et de la révolte. On peut cependant déplorer qu’une grande partie du suspense soit tué dans l’œuf puisqu’on sait dès le début qui va s’en tirer ou pas.
3ème volet ou plutôt prequel des 2 premiers, ce "Rise off the Lycans" est surtout le premier film de Patrick Tatopoulos comme réalisateur. Si ce dernier n'a plus à faire ses preuves quand il s'agit de concevoir des monstres on ne peut pas dire la même chose sur ses talents de réalisateur car il faut bien le dire c'est très mal filmé et même la production design semble parfois sortir de Beowulf ( celui de Christophe Lambert). Et pourtant le tout est terriblement divertissant, d'un côté un film avec des vampires et des loups-garous qui se mettent sur la gueule c'est forcément sympa à regarder même si c'est mal filmé et puis Martin Sheen ( pas le père de Charlie l'autre celui qui est Anglais) et Bill Nighty sont excellents et retrouve leurs rôles du premier avec un grand plaisir.
Préquel plutôt inutile, puisque l'histoire de Sonia et Lucian est racontée dans le premier volet, le scénario ne présente donc aucune surprise. Mais bizarrement l'histoire est quand même plus intéressante que dans les deux premiers, car la romance est touchante sans être guimauve et le charisme de Michael Sheen nous fait vite oublier qu'une dénommée Sélène existe. Par contre, Rhona Mitra déçoit, il est clair qu'elle a été choisie pour sa plastique et non pour son charisme et ses talents d'actrice. L'ambiance est toujours aussi morose, est-ce trop demandé d'avoir un peu de couleurs ??
Et bien je n'aime définitivement pas la saga Underworld. Ce troisième opus reste le moins pire même si ça reste toujours aussi nul. Malgré quelques bonnes séquences divertissantes (chose que je ne trouvais pas dans les autres), ce dernier reste prévisible (c'est souvent le problème des prequels surtout quand tout est raconté dans le premier opus.) et parfois assez laid visuellement digne d'une bon Direct to DVD. Je me suis fais chié et la fin est extrêmement bâclé... Fin, je ne suis pas surpris non plus.
Un film qui est loin d'être mauvais mais qui laisse le sentiment d'avoir été conçu uniquement pour faire du fric. L'utilisation de la franchise aurait pu être mieux exploitée et le film allongé d'au moins 20 minutes. En effet, il est très court et manque de profondeur. Cela ce laisse pourtant regarder avec des acteurs plutot bon. Moyen sans plus et c'est bien dommage.
la suite ou plutôt prequel des aventures des lycans et des loups-garous !!! le pourquoi de la guerre entre les 2 races.... un Roméo et Juliette version film d'horreur plutôt réussi !!!
Faire un préquel aux deux premiers volets de la saga Underworld, et ce en se basant sur le personnage de Lucian et les origines d’une guerre millénaire, voilà qui était plutôt bien pensé. Pour l’occasion, Len Wiseman laisse ici sa place à un nom surprenant, j’ai nommé le méconnu (et français) Patrick Tatopoulos ; un passage de flambeau un tant soit peu intrigant en somme, aussi l’on était d’autant plus curieux de voir le résultat. Et il advient que cet Underworld 3 se révèle être un préquel plutôt sympathique, bien que pas forcément transcendant, bien au contraire ; en fait le qualificatif le plus adéquat me venant à l’esprit est correct, ni plus ni moins. En effet l’intrigue proposée ici manque de réelles surprises, des flash-backs et autres références ayant déjà pu être évoqués occultant la chance d’assister à un quelconque rebondissement ; de même le fil conducteur se veut avant tout simpliste, celui-ci faisant mine d’aller droit au but comme peut le souligner la très faible durée du Soulèvement des Lycans. On a en quelque sorte l’impression que tout tombe du ciel, le scénario assurant lui-même le minimum ; côté visuel les effets spéciaux ne sont certes pas somptueux, mais pas non plus ridicules, tandis que les costumes/décors changent (en bien) la donne tant ils sont réussis. Autres point positif au niveau des personnages, ceux-ci nous faisant plaisir d’abord avec un Lucian s’étoffant enfin (je reproche pourtant à Martin Sheen un certain manque de charisme, mais cela ne tient qu’à moi), alors que l’immanquable Viktor s’impose une nouvelle fois grâce à la prestance naturelle d’un Bill Nighy parfait dans son rôle d’Ainé impitoyable. Bref malgré une chronologie entre passé et présent un peu floue, l’action et les éléments de cet Underworld 3 en font un long-métrage suffisamment divertissant ; aussi bien que l’ensemble paraisse un peu bancal, celui-ci s’inscrit avec une relative réussite dans la lignée de ses prédécesseurs. Mais le potentiel d’un tel univers semble encore une fois sous-exploité…
On pouvait d'abord se réjouir de voir le commencement de la guerre entre vampires et lycans, mais très vite on déchante. Déjà le remplacement de Kate Beckinsale par Rhona Mitra, s'il se justifie scénaristiquement, se fait sentir, car la remplaçante est à la fois moins charmante et moins convaincante. De plus le gros point noir du film reste la réalisation parfois ultra cheap, et je vise en particulier les costumes pour les plans rapprochés des lycans...en bref pour son premier film en tant que réalisateur Tatopoulos fait choux blanc; malgré un certain sens de l'esthétisme (les couleurs bien belles) et de l'action, le film est plombé par trop de choses que l'ont oubliait plus volontié dans les précedents épisodes ou qui étaient juste carément mieux faites.
Pas forcément nécessaire, le scénario de base était suffisamment clair mais au moins, on a le meilleur film de la saga. Il y a des centaines d'années, les vampires avaient leurs propres races d'immortels pour les servir, les Lycans. Lucian était un esclave loyal, mais qui aime en secret Sonya, fille des chefs des vampires, Victor. Les deux amants secrets vont alors déclencher sans le savoir un des guerres les plus sanglantes... La réalisation est assez réussie: le cadrage est bon, certains plans sont vraiment beaux, la mise en scène assez efficace, les mouvements fluides et la profondeur de champ agréable. Le scénario est ce qui se rapproche le plus de Roméo et Juliette que le premier film: on sent vraiment que les deux amoureux n'ont aucun espoir d'être heureux. Le rythme est bien travaillé, il presque pas de temps morts, peu de scènes sont inutiles. Il y a des incohérences et d'assez gros clichés qui gênent parfois la narration mais l’histoire en elle même est réussie, arrivant à faire de bonnes transitions entre scènes dramatiques et scènes d'action. Les acteurs jouent tous très bien, mais c'est Bill Nighy dans le rôle de Victor qui mérite tous les éloges, incarnant un chef des vampires avec une crédibilité troublante. Les personnages sont assez stéréotypés dans leurs ensemble mais restent attachants. Les dialogues fonctionnent plutôt bien. La photographie de Ross Emery (Wolverine: le combat de l’immortel) est réussie, la lumière est très soignée mais les couleurs ne marchent pas toujours très bien. Le montage est parfois trop brutal dans les scènes d'action mais reste de qualité. Les décors sont très réussis, les costumes également, les effets spéciaux commencent un peu à vieillir mais fonctionnent encore et la musique agréable. "Underworld 3 : le soulèvement des Lycans" est un bon prequel est le meilleur de la saga.
Beau combat et belles intentions dans ce combat entre Lycans et Vampires. Un conte de fée dans la noirceur... Bien réussi : une préquelle qui remplit certainement ses fonctions. Cependant pourquoi tant d'incohérences avec les volets précédents? Mais l'épisode demeure incontournable!
Préquelle d'une saga largement surestimée à mon goût, ici, pas de miracle, c'est un bon gros navet qui a poussé avec amour. Le scénario est plat, c'est filmé de façon épileptique. Bref, nul.
La saga Underworld n'échappe pas à la dure loi consistant à présenter un troisième opus sous forme de prequel. Ainsi, la sempiternelle bataille entre les suceurs de sang et les loups-garous va être expliquée bien comme il faut à travers un prélude inutile, les origines ayant déjà été expliquées en long en large et en travers dans le deuxième opus... Underworld 3 souffre de nombreux défauts aussi insipides les uns que les autres avec en premier lieu la réalisation mollassonne d'un Patrick Tatopoulos pas très à l'aise derrière la caméra. On excuse le spécialiste des maquillages spéciaux pour son premier passage en tant que réalisateur mais tout de même... Rythme inégal, effets spéciaux pas terribles, dialogues débiles répétitifs (au bout du cinquième "On est pas des animaux !", on commence à grincer des dents) : ces origines sont indéniablement manquées. Ces magnifiques dialogues sont distribués par une flopée d'acteurs profitant du départ de l'attractive Kate Beckinsale pour tenter de s'imposer. En vain. La tout aussi sexy Rhona Mitra n'arrive malheureusement pas à créer d'alchimie entre son personnage creux comme une jarre, bien obligée de montrer ses fesses pour que le spectateur s'intéresse un tant soit peu à elle. Pareillement au cabotin Michael Sheen, lui aussi présent dans le premier opus, dont nous découvrons ici tout l'étendu de son jeu d'acteur. Nous retrouvons également l'inévitable Bill Nighy ainsi que quelques visages déjà aperçus dans les premiers opus mais rien ni personne ne viendra nous faire oublier la belle Kate et sa combi en latex. De plus, là où Len Wiseman faisait preuve d'une réalisation clippesque avec une série de combats bien chorégraphiés, notamment dans Underworld 2, on n'obtient ici qu'un ersatz de tout le travail de Wiseman, sans aucun souffle épique, seulement quelques affrontements enchainés à la va-vite sans conviction aucune, bien au chaud dans un studio. Car le plus flagrant reste cette impression de claustrophobie que l'on observe pendant ce court film : mis à part quelques pièces du château (par ailleurs toutes identiques) et quelques arbres pour créer un semblant de forêt, rien ne semble bien dépaysant. En bref, un prequel tout simplement qui n'évite pas les clichés et qui lasse plus qu'il ne distrait.