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nestor13
57 abonnés
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4,0
Publiée le 18 mai 2009
Dans la saga "Underworld", je demande le troisième épisode. Mais qui est en fait le premier. Oui, va comprendre Charles. Eh bien, je l'ai trouvé bien meilleur que le deuxième. Qui est en fait chronologiquement le troisième. Quant au premier, mais qui est en fait véritablement le deuxième, ou le second au choix, ben je l'ai pas vu c'est ballot. Toujours est-il que j'ai été agréablement surpris par cette histoire qui est de plus facile à comprendre (n'étant pas plus imprégné que ça de ce délire, je craignais d'être complètement perdu). Bon, je regrette quand même Kate Beckinsale et les jolies formes qu'elle nous montrait même si Rhona Mitra qui est un peu plus radine à ce niveau-là mène bien sa barque. On peut d'ailleurs noter au passage que la miss semble se complaire dans les ambiances glauques puisqu'elle avait un peu le même type de rôle dans le dépotant "Doomsday". Ca bastonne ici d'ailleurs tout pareil pour un max de plaisir grâce sans doute à un réalisateur qui a été à bonne école puisque Patrick Tatopoulos n'est autre que le spécialiste des effets spéciaux de Roland Emmerich (qui avait malicieusement affublé le héros principal campé par Jean Reno du nom de son collaborateur dans "Godzilla"). Tu m'étonnes que ça déchire.
Dommage que cet opus d'Underworld ne soit pas à la mesure de ses ambitions et qu'il souffre d'un problème de traitement de forme (manque de budget, effets spéciaux parfois hasardeux au même titre que la mise en scène) mais aussi de fond, nottement dû à des raccourcis dans la narration, flagrants.
Dommage, car l'histoire est bien prenante, tout tourne autour de l'histoire d'amour (qui manquait cruellement de développement dans le premier opus) qui aurait pu aller plus loin mais ça passe et même si ça manque d'émotion à cause d'enchainements de scène un peu trop rapide, on est pris par les mésaventures de Sonja et Lucian.
Reste un film bien trop court, on reste sur sa fin mais le film constitue un bon petit divertissement.
Ce 3ème volet n'apporte rien à la saga, cela reste malgré tout un bon divertissement si on est fan de l'univers. L'histoire racontée ici est la même que celle qu'on aborde dans le 1 brièvement. Vivement une vraie suite !
Je m'attendais à beaucoup mieux, mais j'en suis vraiment satisfait, car un troisième opus de la saga vampirique semblait un lourd défi. Dommage que la durée soit assez courte, mais elles sont bourrés d'action, ce qui le rend plus que bon.
Découvrir les origines d'une saga est bien souvent intéressant et ce n'est pas "Underworld 3 : le soulèvement des Lycans" qui nous dira le contraire. Reprenant les fondements d'un problème qui donnera lieu à de nombreuses suites, cette préquelle lève le voile sur une histoire déjà expliquée en partie qui nous permet tout de même de redécouvrir le personnage de Lucian qui avait animé la rage des Lycans lors du premier opus. Scénario ultra conventionnel qui divertit sans surprendre, le long-métrage de Patrick Tatopoulos est sombre dans l'image mais très peu dans la profondeur où les clichés ne cessent de se mélanger pour nous donner un film à la limite de la série B qui se voit sauver par la renommé de la saga. On y retrouve un casting tout aussi mauvais que dans ses prédécesseurs mené par une Rhona Mitra pitoyable et d'un Michael Sheen qui a du mal à rattraper la performance de sa voisine. Interactions basique dignes de n'importe quelle suite à rallonge, "Underworld 3 : le soulèvement des Lycans" parvient à rehausser le niveau d'une saga à la dérive surtout en comparaison du catastrophique "Underworld 2 - Evolution" grâce à l'usage de décors plus attractifs et de thèmes plus puissants.
Le premier épisode de la trilogie est particulièrement bon, le deuxième est bourré d’incohérences scénaristiques et le troisième essaye de ramasser les morceaux, vu que l’on plonge dans une période troublée par l’amour, la révolte, les trahisons et les sacrifices. Pour dire un mot sur les acteurs, ils sont tous bon, du moins ils sont crédibles par rapport à leurs rôles. La direction artistique, les décors et les effets spéciaux sont honorables, à part peut être pour ces morphings horribles qu’ils s’obstinent à utiliser pour la métamorphose des Lycans. L’énorme faiblesse du métrage, s’avère être pour moi, le scénario. Incohérences, longueurs, banalités… Le film cumule toutes ces fautes qui font de cet essai de Dark Fantasy, une série B légère et sans impact émotionnel sur le spectateur. Mais bon, c’est très beau visuellement et j’adores le look des vampires et des Lycans (première et deuxième génération) ce qui aides à faire passer la pilule.
Troisième épisode de Underworld, celui-ci est un pré-quel au numéro 1. Le scénario est plutôt prévisible et très moyen (surtout si on a vu les premiers, on peut facilement deviner se qu'il va se passer...). Seuls les scènes d'actions et les acteurs "correctes" sauvent (largement) le film de la catastrophe. Si vous avez vu (et aimé) les deux premiers ça serait dommage de s’arrêter là, sinon passez votre chemin (ou regardez le premier ;D )
Loin d’arriver à la cheville des deux précédents numéros, UNDERWORLD LE SOULEVEMENT DES LYCANS revient aux origines et nous permet de découvrir les fondations d’une guerre sanglante. Sombre, juteux d’hémoglobine, combats, le dernier de cette trilogie fonctionne à plein tube. Mais le nouveau réalisateur, Tapopoulos (qui ?) n’a pas le talent de Len Wiseman et l’héroïne principale Rhona Mitra n’a pas la carrure ni le talent d’une Kate Beckinsale. UNDERWORLD 1 et 2 instauraient un nouveau style dans le genre vampires et loups-garous, UNDERWORLD 3 n’est qu’une simple série B efficace certes, mais qui fait pâle figure à côté des deux autres.
Le plus mauvais des 3. Histoire assez nunuche entre le lycan et la vampire, scènes d'actions pas terribles...même l'ambiance (la photo surtout) des anciens opus n'est pas présente. Déçu, l'autre actrice était bcp mieux. Le film frise le ridicule, mais s'en sort part une crédibilité dans le jeu des acteurs plutot rare dans ce genre ce film
L'univers d'Underworld semble avoir trouvé un équilibre en installant son histoire à l'époque médiévale à l'occasion de ce Soulèvement des Lycans, prélude aux premiers films qui se déroulaient à l'époque contemporaine, noyés dans un mauvais goût kitch maladroitement assumé et aux enjeux scénaristiques aussi multiples que confus. La plupart des endives qui servaient d'acteurs ont été remplacés par des comédiens avec un peu plus de charisme, et l'ensemble donne l'impression d'avoir été emballé avec plus de sérieux et de passion, malgré des effets visuels déjà difficilement acceptables l'année de sa sortie. Sans pour autant avoir de réelles surprises à se mettre sous la dent, le film reste sympathique, un peu plus violent et moins bling-bling que ses prédécesseurs, et dont la principale qualité réside dans une l'intrigue épurée qui lui permet d'aller droit au but. Pour une saga qui érigeait la mièvrerie en étendard de coolittude beauf, avoir un film qui se contente de faire le job, c'est déjà pas si mal.