Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Dvdrama
par Gilles Botineau
Derrière ses faux airs de comédie juvénile romantique bas-de-gamme, La Copine de mon meilleur ami se montre finalement plus drôle et plus virulente que prévue.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
Première
par Stéphanie Lamome
Mettons les choses au clair: la copine de mon meilleur ami est une comédie culottée si mal élevée et grossière que la qualifier de "romantique" relèverait du contresens.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le site de Studio CinéLive.
TéléCinéObs
par La rédaction
Une fois de plus, dans ce registre désormais ultraconsensuel, toute forme d`humour mordante et vacharde est impitoyablement sacrifiée à la dictature du mièvre et du bon sentiment frelaté.
Télérama
par La Rédaction
(...) le comique troupier Dane Cook, fidèle à sa réputation de "Bigard américain" se taille un rôle sur mesure de dragueur ultrabeauf. (...) Résultat : le film est aussi vulgaire que prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dvdrama
Derrière ses faux airs de comédie juvénile romantique bas-de-gamme, La Copine de mon meilleur ami se montre finalement plus drôle et plus virulente que prévue.
Première
Mettons les choses au clair: la copine de mon meilleur ami est une comédie culottée si mal élevée et grossière que la qualifier de "romantique" relèverait du contresens.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio CinéLive.
TéléCinéObs
Une fois de plus, dans ce registre désormais ultraconsensuel, toute forme d`humour mordante et vacharde est impitoyablement sacrifiée à la dictature du mièvre et du bon sentiment frelaté.
Télérama
(...) le comique troupier Dane Cook, fidèle à sa réputation de "Bigard américain" se taille un rôle sur mesure de dragueur ultrabeauf. (...) Résultat : le film est aussi vulgaire que prévisible.