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Un visiteur
1,5
Publiée le 18 février 2011
Sujet grave, film nul.
"Difficile de critiquer un film qui a le mérite d'exister" disait une critique presse,. C'est vrai, mais les français, comme ppur l'algérie, ne savent pas traiter leur histoire récente comme les américains le font avec talent.
En gros : - Scène 1 : ou le gentil est gentil - Scène 2 : où le méchant, il est vraiment méchant. Mais scene ouatte mille, on apprends que parmi les méchants, il y a des mi-méchants - Scène 3/4/5/6/7 etc : On nous explique tableau par tableau pourquoi le gentil est gentil, pourquoi le méchant est méchant.
Quelque part je fais une analogie avec les ch'ti ou Boon nous explique la blague, au cas ou on la pas compris. La c'est pareil, on croirait que le réalisateur s'adresse à un public de CM2 ...
Caricatural, dans les deux sens, une succession de tableau de livre d'histoire, manichéen au possible.
Alors comme je le disais plus haut, c'est le film que je critique, sa réalisation franchouillarde, pas la réalité et l'atrocité d'un fait.
On pourrait penser que, comme c’est un film de guerre, c’est forcément un bon film. Eh bien non. Certes, on découvre une reconstitution impressionnante du Velodrome d’Hiver, mais le reste n’est qu’une illustration plate et futile de ce terrible évènement historique. L’émotion est trop appuyée et donne au film un côté mélodramatique ennuyant. Le jeu des acteurs est surfait et manque profondément d’humanisme. Ce film ne fait pas ressentir la véritable culpabilité française et ne donne pas de dimension particulière à ce sombre épisode de l’Histoire.
Une chose inutile, manichéene, facile, tire-larme, et par-dessus le marché la réalisatrice à le cullot de venir nous comparer à Adolf Hitler si nous n'avons pas versé une larme devant son film. Roselyne Bosch n'a décidément aucun sens de l'auto-critique, sans quoi elle se rendrait compte que son film fait honte à toute l'industrie du cinéma, et que rester de marbre devant un tel navet ne veut certainement pas dire que nous sommes insensibles.
Cette chose répugnante de mélodramatique à deux balles et de sensiblerie facile ne mérite pas d'être appelé film. Je ne parlerai même pas des formes filmiques pour ne pas m'énerver davantage contre la réalisatrice qui permet au cinéma français d'aujourd'hui de se vautrer dans sa propre médiocrité. Ce tragique événement de notre histoire a été exploité dans le seul but de tirer des larmes à coups de têtes blondes et de musique dramatique ; je ne ferai pas la liste de toutes les choses insupportables car les trois quarts du film y passeraient. (et encore, je me trouve courtois)
Si le devoir de mémoire vous tient à coeur, alors regardez de vrais films, de bons films, tels que - La liste de Shindler - Le Pianiste - La vie est belle - ET SURTOUT CE FILM MECONNU ET POURTANT MAGISTRAL : Requiem pour un massacre, un film traumatisant et époustouflant, ce à que Roselyne Bosch ne pourra jamais faire même dans ses plus grands fantasmes.
N'oubliez pas que si vous n'avez pas pleuré devant la Rafle, ce n'est pas parce que vous avez un minimum de bon goût, c'est parce que vous êtes un nazi.
Excellent film sur cette époque difficile de l'histoire.On ne peut pas rester insensible a cette histoire douloureuse et assez méconnu de l'histoire française .
La Rafle est un film très émouvant et très intéressant. Le film m'a captivée et émue, il m'a interrogée et m'a donnée envie d'en apprendre plus sur les différentes étapes de cette mécanique morbide orchestrée par Nazis et en mettant en avant le rôle et la responsabilité des autorités français concernant la communauté juive . Le Vel d'Hiv , subliment reconstitué et le rôle des infirmières française ( comme Annette , jouée par Mélanie Laurent) , des médecins juifs ( Dr. Sheinbaum, joué par Jean Reno, excellent dans ce rôle). "La Rafle" remplit parfaitement son contrat en trouvant bon dosage entre pédagogie et émotion. Le genre de film qu'il est difficile de critiquer , tant qu'il a le mérite d'exister. Je panse que le courage du producteur et de la réalisatrice de parler à travers de leur film d'un un sujet difficile et important devrait être une exemple pour nous tous.
Portée par l'interprétation parfaite et par conséquent déchirante de Mélanie Laurent, La Rafle touche son spectateur en émotivité. Hugo Leverdez dégage un talent impressionnant dans une mise en scène recherchée, qui va nous titiller! La nuance se joue dans la certaine superficialité de la réalisation qui se veut retransmission de l'histoire...
Il me semble qu'un sujet aussi grave aurait mérité un meilleur traitement, notamment en évitant les écueils du mélo. Mais si il en était resté là, cela ne m'aurait qu'à moitié gêné. Ce que je trouve grave dans ce film c'est d'une part le dédouanement partiel des autorités de Vichy car la réalisatrice part du postulat que la clique Pétain-Laval-Bousquet ne savaient pas la destination des convois et la responsabilité de l'inhumanité du traitement des gens raflés semble reposer uniquement sur les épaules des exécutants, dans un dédouanement partiels des responsables premiers de la collaboration qui seuls ont rendus possible la déportation des juifs de France. D'autre part, insidieusement, au détour d'une phrase de Jean Réno on retrouve la justification du sionisme et ça me parait toujours indécent de voir que les victimes du nazisme ne peuvent être évoquées sans être instrumentalisées à des fins politique. Pour finir la résistance n'est évoquée que par le rôle du médecin "gaulliste" qui informe l'infirmière du sort des déportés. Or ceci est une contre-vérité historique car si les alliés ont été avertis de l'extermination relativement tôt, l'information n'a pas été renvoyée aux réseaux de résistance pourtant très fortement ancrés, notamment la FTP-MOI, dans une population juive très politisée à cette époque. Cet ancrage explique aussi en partie la "faible" réussite de la rafle au regard des objectifs des autorités allemande et de l'état français. Pour toute ces raisons je garde un malaise à la vue de ce film car je me demande dans quel but il a été tourné, d'autant plus que j'aurais voulu pouvoir le montrer un jour à ma fille dont le grand-père est un des très rares enfants survivants de la rafle du vel d'hiv...
Le sujet est grave et poignant, malheureusement la réalisation n'est pas à la hauteur et ressemble plus à un téléfilm qu'à un grand film de cinéma comme "la liste de schindler" ou "La vie est belle"...Dommage !
Comment les Allemends ont-ils pu faire autant de mal ? C'est la question que je me suis pos�e apr�s avoir vu le film , ce film �tait tr�s touchant et je dois dire que j'ai pleurer , Nono est tr�s tr�s touchant et M�lanie Laurent a tr�s bien jou� son r�le , Merci a Rose Bosh pour se film aussi boulversant que r�el qui montre que les homme peuvent �tre cruel
un film qui donne envie de hurler, surtout lors de la scène de la séparation des enfants et de leurs parents. On ressent vraiment le sentiment d'impuissance des personnages principaux et l''envi de révolte.
« La Rafle » est le témoignage cinématographique sur un des évènements les plus dramatiques qu’est connu la France sous l’occupation : la rafle du Veld’hiv. Il s’agit d’un film pour la mémoire des disparus et du peuple juif, pour ne pas oublier également le degré d’implication des autorités françaises dans cette barbarie. De cette rafle du Vel d’hiv, on ne connaissait qu’une photo noir et blanc des bus vides garés le long du vélodrome d’hiver. Aujourd’hui, il y a le film de Rose Bosch, bouleversant et douloureux. On suit ses personnages, de leur vie insouciante à Montmartre au camp de Beaune-la-Rolande en passant par leur séjour au Vel d’hiv. La reconstitution de ce dernier est d’ailleurs stupéfiante. Puis vient leur départ dans les trains à bestiaux qui les emmènent vers les camps de la mort. La réalisatrice n’évite pas les quelques scènes qui tirent un peu trop sur le pathos, notamment celles avec les enfants, mais pour l’essentiel, la mise en scène est de bonne facture. L’interprétation est également très bonne, avec une Mélanie Laurent omniprésente et sensible. Malgré quelques imperfections, « La Rafle » reste donc un témoignage poignant sur une période noire de notre histoire récente.
"La Rafle" est une magnifique retranscription de ce terrible événement historique du 16 juillet 1942. Tout y est juste et empreint de douleur et d'émotion. Ce film est un superbe travail de mémoire, bouleversant, désolant même, mais tellement utile! Superbe.