Mon compte
    La Rafle
    Note moyenne
    3,7
    17676 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Rafle ?

    1 819 critiques spectateurs

    5
    629 critiques
    4
    524 critiques
    3
    223 critiques
    2
    215 critiques
    1
    92 critiques
    0
    136 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 22 novembre 2012
    Film inattaquable moralement. Ce qui rend la critique difficile. Bon, d'un point de vue cinématographique, c'est un ratage totale. Film académique, bancal, etc.... Un film taillé pour des projo en classe dans des colleges et lycées. Voilà. Ni plus ni moins.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 novembre 2012
    Beau film mais il manque un peu de scène spectaculaire où ils essaient de s'échapper ou quoi .
    Movie_Fan
    Movie_Fan

    20 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 novembre 2012
    J'ai hésité entre 3 et 3,5/5. Globalement le film est pas mal, émouvant même, mais j'ai senti qu'il manquait un petit quelque chose qui rend généralement les films du genre très bons.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 novembre 2012
    Il y'a strictement rien de bouleversant tellement le travail de ce film manque à l'appel ! Aucune émotion ! Aucune profondeur ! C'est sans plus !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 novembre 2012
    Je m'attendais à un mélo grand public assez insupportable à la vue de la bande annonce et j'ai été assez agréablement surpris par ce film vraiment très bien fait et émouvant. Le parti pris de montrer la vérité crue rends l'histoire très poignante et les acteurs incarnent très bien les personnages sans faire dans le pathos . Mention spéciale à Gad Elmaleh complètement à contre emploi et totalement crédible dans ce rôle de père de famille juif. Beaucoup d'intelligence aussi dans les scènes où l'on montre bien que les gens de l'époque n'était pas tout blanc ou tout noir. Une leçon d'histoire bien maîtrisée donc.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 novembre 2012
    La dualité d'un film français à l'envers où cette fois les scènes d'action (rafle et déportation) sont bien faîtes mais où les scènes lentes et les gros plans sont surjoués. La faute est dû à une réalisation qui cherche à insister sur les émotions mais qui souffre d'un casting trop juste : Mélanie Laurent et Jean Reno surnagent autour d'autres acteurs qui surjouent.

    En résumé, pour moi l'émotion est venu de la violence parfaitement restituée et il ne me semblait pas nécessaire d'insister sur la naïveté et la résignation évidentes des victimes.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 novembre 2012
    Magnifique film, impossible de ne pas pleurer en le regardant !
    Les personnages sont attachants, l'histoire très bien écrite, sans longueurs. À voir !
    Marc Taton (Belgique)
    Marc Taton (Belgique)

    32 abonnés 651 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mai 2013
    Très belle réalisation de Rose Bosch, sans avoir recours à des images "chocs", la rafle percute !
    Une brochette d'acteurs de talent, une mise en scène réussie, tous les ingrédients sont réunis pour passer un très bon moment, tout en étant fortement secoué.
    Acidus
    Acidus

    718 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 novembre 2012
    "La Rafle" est abordé de la même façon que la grosse majorité des films traitant de la déportation c'est-à-dire de manière manichéenne et avec un sentimentalisme surdosé. L'aspect mélodrame est poussé tellement loin que la crédibilité du film en prend un coup. L'intelligence ou tout du moins une certaine réflexion manque au long métrage de Rose Bosch mais la réalisatrice a le mérite de nous émouvoir à plus d'une reprise grâce notamment au choix de magnifiques musiques (Debussy, Chopin, Grieg,...). Au final, on se retrouve en face d'un film ultra formaté qui en fait des tonnes mais cela marche par moments.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 064 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 novembre 2012
    Je vais commencer par une citation approximative de Godard ou Rivette, je ne sais plus. Un des deux a dit une fois quelque chose qui devait ressembler à ceci qu'aucun acteur américain ne pourrait jamais jouer un déporté. Effectivement difficile de retranscrire l'émotion lorsqu'on a pas soit-même vécu ça.
    Et bon ce n'est sans doute pas Jean Reno ou Gad Elmaleh et autres acteurs sans talent aucun qui vont réussir à émouvoir et à jouer avec justesse un déporté.
    Mais bon tant qu'à faire autant être honnête depuis le début, lorsqu'on a une réalisatrice qui ne croit pas dans son sujet à la base à quoi bon ?
    La séparation d'une mère et de son enfant ça peut être déchirant au cinéma. La mort de tas de gens aussi, mais pourquoi s'amuser à faire un chantage avec des morveux en les rendant bien sûr bien sympathique pour la ménagère avec le petit garçon qui zozotte ? Pourquoi ? C'était nécessaire d'en rajouter des caisses ?
    Mais pire encore on nous remet par dessus une musique dégueulasse au violon histoire d'achever les derniers "pisse-froid qui rejoignent Hitler en pensée".
    Lorsqu'on a un film aussi mal branlé que celui là et venir insulter ceux qui n'aiment pas le film c'est le comble de la bêtise, pour ne pas être vulgaire.
    Bosch (drôle de nom de famille pour réaliser un film qui pousse des tas de haineux à déverser leur haine sur l'Allemagne après la vision du film) n'a ici aucun recul par rapport à la merde qu'elle a réalisé. Et pire encore elle la trouve tellement bonne qu'elle insulte ceux qui n'aiment pas.
    Alors qu'elle n'a fait aucun effort, toutes les scènes tombes dans la facilité, toutes.
    Pas à un seul moment on sort du manichéisme, on sort de cette lourdeur répugnante.
    Jamais le film n'est pensé, n'est subtile.
    Bosch en rajoute des caisses, et des caisses.
    Sauf que ces procédés émotionnels indignes même d'un téléfilm ne fonctionnent pas sur moi. Non balancer des gamins et des violons ça ne suffit à m'émouvoir.
    C'est là où on se rend compte que Bosch insulte à la fois ceux qui n'aiment pas son film et mais aussi ceux qui aiment son film. Effectivement pour tomber dans le grossier panneau de l'émotion facile ce n'est en aucun cas tabler sur l'intelligence du spectateur.
    D'ailleurs sans rentrée dans l'idéologie assez nauséabonde que peut développer le film, juste c'est quoi ça ? à un moment j'ai cru rêver ! Des gens qui dansent dans un camp, le garçon timide qui refuse d'inviter une fille qui lui plaît bien ? Mais merde depuis quoi on fait des booms dans des camps ? Allo ? il y a quelqu'un qui a pensé ce film ?
    Et puis Laurent qui fricote avec Reno ? mais merde, un camp c'est une agence matrimoniale.
    Non mais limite on se croirait en colo de vacances là.
    Ce n'est pas un hasard ce que j'ai "cité" au début de ma "critique". Les gens sont inconscients de laisser une telle connerie sortir.
    Après quant à l'idéologie du film c'est encore pire. Je veux dire si c'était juste un film sur un truc qui n'existait pas ça serait juste un mauvais film.
    Mais là, non. On entre en plein dans une sorte d'idéologie dégueulasse du souvenir. Se souvenir du passé c'est bien, cependant vouloir inculquer ce souvenir de force c'est juste détestable. On s'indigne que je ne sais pas combien de français ne sachent pas ce qu'est la Rafle du vel d'hiv, oui et alors ?
    On peut très bien vivre sans savoir ça, ça ne fait pas de ce français un antisémite carabiné. Il faut comprendre que ce n'est pas aux jeunes générations de "payer" de venir s'excuser pour un truc qui a eu lieu il y a 70 ans. Mes parents n'étaient pas nés, mes arrières grands-parents étaient des gamins, mes arrières grands-parents étaient des simples paysans… C'est bon je crois.
    Ce genre de film n'est pas là pour apaiser, au contraire, il est là pour accuser : "regardez ce que l'état français a fait".
    J'ai beau être athée, il y a quand même une valeur dans le christianisme qui me plaît bien c'est cette valeur du pardon. On sort de la loi du talion pour tendre l'autre joue.
    Et si on arrêtait d'exciter et de créer des animosités je pense que tout irait bien.
    Je regarde Black Book (c'est quand même d'un autre niveau), il n'y a pas de manichéisme dégueulasse, il y a des gens biens, des gens mauvais partout.
    On ne sort pas du film avec une haine de l'allemand. Il suffit de voir les avis sur La Rafle pour se rendre compte que ce n'est pas la peine.
    Bref tant qu'à voir un film sur les camps autant voir Kapo, bien que Rivette n'aime pas, c'est beaucoup plus réaliste, plus intelligent, plus émouvant. (ou bien Black Book que je citais tout à l'heure, même si c'est encore autre chose).
    Et pourtant dieu sait que bien traité ça aurait pu faire un excellent sujet, une grande tragédie humaine.
    Mais bon on sait bien que ça ne sert à rien d'engager des gens de qualité pour faire un film sur ce sujet vu que le sujet et les menaces de Bosch sont là pour faire taire tous ceux qui oseraient trouver ça (à juste titre) mauvais.
    Pisse-froid de tous pays, unissez-vous.
    Salim S
    Salim S

    50 abonnés 500 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 novembre 2012
    Oui, j'ai pleuré. Un film brillant et qui excelle pour ce qui est d'émouvoir le spectateur par ce passé inoubliable dans la mémoire de chacun des acteurs et témoins. Jean Reno signe par ailleurs sa meilleure performance depuis "Les Visiteurs" et "Léon.
    cineman42
    cineman42

    3 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2012
    Un film touchant sur l'histoire des juifs en France pendant la seconde guerre mondiale.
    Gad Elmaleh et Mélanie Laurent jouent vraiment juste et nous retransmettent parfaitement l'atmosphère abominable de l'époque. Aux grands émotifs, sortez vos mouchoirs !
    paul
    paul

    23 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2021
    Une mise en image intéressante sur un événement historique, peut être trop romancé ici. On confère d'ailleurs bien à Rose Bosch la faculté de vouloir toujours émouvoir et faire rire, faculté dont elle a peut être trop abusée dans ce film, au risque de fragiliser et de brider l'entendement du spectateur, et de porter atteinte au respect des victimes d'un événement horrible et mémorable : celui de la Rafle du Vel d'Hiv.
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    82 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 octobre 2012
    Après l’annonce de La Rafle, on pouvait voir ce projet comme une sorte de Liste de Schindler à la française, avec un casting alléchant (Mélanie Laurent, Jean Reno, Gad Elmaleh, Sylvie Testud…) et un sujet rarement évoqué au cinéma (la rafle du Vélodrome d'Hiver). Maintenant, voyons ensemble si ce film tient toutes ses promesses ! (ATTENTION, SPOILERS !!)

    Le film nous conte les événements de la terrible rafle du Vélodrome d’Hiver, en 1942, durant laquelle 13 000 Juifs sont « retirés » violemment de leurs domiciles par ordre de l’occupant et de Pétain. Mais surtout, La Rafle s’attarde à suivre en particulier une famille (celle du petit Joseph, 11 ans) et une infirmière qui va faire tout son possible pour aider ses malheureux. Jusque là, le film a le mérite de nous décrire un moment effroyable de l’Histoire, tout en nous insistant sur le fait que tout ce qui est montré relève de la réalité (personnages, événements les plus extrêmes…). Mais pour que La Rafle soit à la hauteur de La Liste de Schindler, il lui aurait fallu un scénario de taille. Or, ici, il n’y en a pas du tout ! Le film raconte ce qui s’est passé, rien de plus… Nous avons beau suivre le destin tragique d’une famille, sa présence à l’image nous donne plutôt l’impression qu’ils ne sont là que pour donner une directive à la trame principale. Car aucun des personnages n’est travaillé ! Ils subissent la Rafle comme tant d’autres, c’est tout… Que le film de Rose Bosch soit un documentaire ou bien (plus approchant) un docu-fiction, le résultat aurait été le même. À la limite, seul le personnage de Mélanie Laurent (l’infirmière Annette Monod) reste intéressant à suivre. Et puis, le film fait l’erreur de vouloir dépasser la limite du larmoyant, au point que certaines émotions ne passent pas comme on l’aurait voulu. Par exemple, le film démarre par un enchaînement de persécutions antisémites non-stop cinglantes, mais qui donnent l’impression d’une surdose désagréable à supporter et enlevant un peu de « réalisme » (on ose douter que c’était aussi excessif que cela !). Et puis parfois, ça frise le ridicule (l’interprétation d’Hitler qui flirte avec le ridicule de par ses grotesques crises) ! Tout cela pour nous montrer des images certes tristes et touchantes, mais jamais puissantes (l’ensemble du Vél d’Hiv bien trop numérisé, attardement sur des séquences qui pourrait durer moins longtemps, émotions des personnages attendues…). Et je ne parle même pas de la fin, qui semble télescopée et fait perdre au film son réalisme (l’infirmière qui, deux ans plus tard, retrouve comme par hasard, deux enfants perdus de vus et qui avaient pris des chemins différents). Seule la séquence où les enfants sont séparés de leurs mères, face aux pères qui protestent sans rien faire (car étant impuissants à ce qui se passe sous leurs yeux) restent le seul passage réellement intense à regarder !

    Heureusement, La Rafle peut compter sur un casting honorable. Où Jean Reno excelle à nouveau (cela faisait longtemps que nous ne l’avions pas vu dans un projet français sérieux), Mélanie Laurent tout en finesse, Gad Elmaleh bluffant avec son jeu d’acteur qui flirte avec un naturel indiscutable, Sylvie Testud excellente, les nombreux enfants qui participent à cette description…). Et puis, il ne faut pas oublier les différents niveaux de reconstitutions de cette époque, à savoir les décors (la Butte Montmartre, le Vél d’Hiv, le camp de Beaune-La-Rolande, Vichy ou encore la terrasse du Berghof), les nombreux costumes et accessoires du film. Si quelques images de synthèse made in France viennent un peu gâcher tout cela (l’intérieur du Vél d’Hiv, la vue panoramique du Berghof), il est clair que la Rafle peut se vanter d’être un film historique de ce côté !

    Rien d’autre à dire sur ce film. Pour conclure donc, je vais résumer sur le fait que La Rafle est un excellent « mémorial », un formidable recueil pour toutes les victimes de cet acte satanique pourtant orchestré par des êtres humains, servi par une distribution de prestige et une reconstitution à la hauteur de l’ambition du projet. Mais de là à dire qu’il s’agit d’un excellent film... Pas de scénario travaillé (juste une trame qui se suit) aux émotions souvent forcées et artificielles : voilà ce qui gâchent entièrement l’ensemble ! Avec un tel sujet, on peut parler dans ce sens parler de gâchis. Car si la Rafle du Vél d’Hiv restera à jamais dans les mémoires, ce film de Rose Bosch n’y hébergera que durant quelques minutes après son visionnage…
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 octobre 2012
    Dur à regarder, vraiment bien fait, un des rares films qui m'a arraché une larme. A voir.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top