Coco : 0/20 : « Coco » (le film aurait dû s’appelé « Caca » ou « Concon ») représente le néant du cinéma. C'est simple, tout est merdique. Enfin presque, à part deux ou trois répliques drôles le reste est consternant de bêtise. Bon déjà, quand vous regardez les 2 premières minutes du film qui vous dit que « Coco » a crée non pas l’eau plate ni l’eau pétillante mais l’eau « frétillante », vous vous dîtes en tant que spectateur que vous n’allez pas assister à quelque chose de grand, ça c’est certains. Il faut savoir une chose ; je déteste Gad Elmaleh, (sa tête, son humour, son caractère, je n’aime rien du tout hormis la couleur de ses yeux et je dis bien que la couleur car la forme est à revoir…) et je savais d’avance que le film « Coco » allait être un navet, mais prenant du plaisir à effectuer des critiques et d’émettre un jugement négatif sur les pires nanars du monde du cinéma, j’ai regardé « Coco ». Tout d’abord, dans « Coco » l’histoire est vraiment inexistante et ultra convenue : un père de famille (dont il ne reste plus qu’un ans à vivre, moi je dit ; bon débarras ! un idiot en moins ça ne fait pas de mal) veut organiser une superbe soirée dédié aux 13 ans de son fils (et oui car pour lui, c’est l’âge ou son fils devient un homme, alors que c’est juste le moment de la puberté, des crises existentielles et des premières traces blanches au fond du slip…) avec 4000 invités dont le fils ne connaît même pas les noms. Evidemment, le fameux « Coco » va se rendre compte que ce n’est pas en organisant des soirées pleines d’hypocrites que son fils sera satisfait. De plus, la fin est pitoyable : la fête a lieu au Stade de France, mais d’images de la fête, on ne verra point, car Samuel le boulet refuse de s’y rendre, et demande à son Coco de l’emmener là où il aime le plus être : sur la glace d’une patinoire. Je crois qu’il y a une expression qui définit très bien mon ressentit concernant cette fin…Foutage de gueule ! Tout ce cirque pour une fin bâclée et lamentable. Nicolas Jouxtel surjoue l’adolescent puéril en pleine crise de rébellion, il fume, il se donne une contenance, il soupire, il en devient désagréable. Coco insupporte tellement il représente le Gad Elmaleh qu'on déteste : satisfait de lui-même et de ses blagues. Les chevilles gonflent Gad… Gad Elmaleh en fait des tonnes, on en rit tellement il est ridicule, il me procurerait presque de la pitié. Pour conclure, « Coco » c’est un enchaînement de scènes minables mené par des acteurs navrants. Entre les « How much ? », les « vous kiffez ? », les « sur la tête de ma mère », on n’a pas grand-chose à se mettre sous la dent. Ce film ne mérite qu’une chose ; la poubelle ! Avec Gad Elmaleh dedans !