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soniadidierkmurgia
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4,0
Publiée le 4 août 2012
A ses débuts au grand écran Angelina Jolie a eu l’occasion avec cette « Anatomie d’un top Model» de montrer son potentiel dans un film à très forte dimension émotionnelle. C’est sans doute ici son rôle le plus fort car par la suite (hormis « L’échange » de Clint Eastwood), elle choisira des rôles plus calibrés dans des films d’actions. Son interprétation est assez remarquable pour une jeune actrice de 23 ans inexpérimentée. Le film est une dénonciation sans détour du milieu de la mode où l’on voit ces jeunes femmes utilisées sans vergogne par tous les intervenants sous prétexte qu’elles sont grassement payées. Gia au passé familial douloureux s’enfoncera dans la drogue ce qui renforcera son comportement rebelle. Dépourvue de guide et de soutien elle tentera par tous les moyens mais en vain de se bâtir un environnement sécurisant . Elle frôle sans arrêt les limites risquant plusieurs fois de se voir reléguée au ban de sa profession. Au moment où elle entrevoit la fin du tunnel le sida vient la cueillir. Elle meurt dans les bras de sa mère à 26 ans. Inspirée d’une histoire réelle on comprend les motivations d’Angelina Jolie elle-même mannequin et en proie à des conflits familiaux. Le metteur en scène en fait des fois un peu trop mais la prestation sans faille d’Angelina emporte le tout.
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1,5
Publiée le 15 mars 2021
Je regardé ce film hier soir sur TV5. Quelle perspicacité comme c'est nouveau et intéressant. Nous avons l'industrie de la mode qui et utilise qui jette les mannequins et tous ceux qu'elle emploie comme des Kleenex sales. La seule chose intéressante dans ce film est la façon dont une mort prématurée peut faire de quelqu'un une icône dans notre culture. Elle était censée être le top modèle pourtant je n'ai jamais entendu parler d'elle en tous cas ce n'est pas le super modèle comme elle était dépeinte dans ce film. Sa célébrité est un peu comme celle de James Dean qui vient de sa mort. Le film en lui-même est lourd et sans intérêt je ne pense personnellement pas que Jolie soit tout ce qu'il y a dans ce film. Pour un point de vue plus précis et bien joué sur la dépendance à l'héroïne et sur le fait que les gens qui en consomment sont tous des perdants essayez plutôt Panique à Needle Park...
Terrible histoire que celle de Gia, malheureusement trop courant dans le monde de la mode.. Bon petit téléfilm (un peu mou parfois), qui révèle Angelina Jolie dans son meilleur rôle (avec l'échange).
Aucune scène enthousiasmante. Le film paraît interminable. Réalisation poussive, la seule chose valable c'est la présence d'une Angelina Jolie débutante et ultra sensuelle (et pas parce que on la voit nue !) elle dégage vraiment quelque chose de rare.
Film TV sur des faits réels de la vie de la célèbre Gia Marie Carangi, une des plus grandes top model et fantasme de mon adolescence avec Cindy Craword et Claudia Shiffer, d'ailleurs on appelait Cindy la Baby Gia, bref. Angelina est le bon choix pour prendre le rôle de Gia, ce look avant de devenir model à la Shane ( L World ), puis le duo Angelina et Elizabeth Mitchell est quasi au diapason. Gia cette femme aimer, pas aimer, mystérieuse, est la première top model à offrir pour l'objectif d'un appareil photo des expressions faciales, des gestes plus amples que les précédentes. Cette femme de part son succès fulgurant, à oublier de vivre ou du moins elle le voulait mais prise par le travail qui la submerge, pour tenir le coup elle se drogue tout y passe, et le sexe s'impose également. Elle tomba amoureuse de sa maquilleuse ( Linda ), les actrices sont d'une beauté, le corps féminin est y est démontrer dans sa splendeur, son émotion, sa fragilité mais aussi la souffrance. Il est juste un peu dommage de pas y voir un cheveux plus de profondeur car Gia était une femme complexe et écorcher vive, cependant Gia est à voir, c'est du solide de par le fait de suivre la tragédie de sa carrière, le dernier quart d'heure est dur, et toujours d'actualité. Tout comme Rock Hudson qui fut l'un des premiers à être toucher de ce foutu virus du sida, Gia fut elle aussi une des premières à y être toucher officiellement. un de mes best Angelina de part sa prestation et l'histoire de cette femme que je suis pas près d'oublier. Deux heures pour un film TV c'est pas rien. Angelina joue son meilleur. Puis aimant l'univers des top model depuis mon enfance, je suis gâter, difficile que je reste indifférent et le film TV est solide pour son statut. Je termine par cette phrase que cite Gia à Linda "Je serais ton roi et je te ferai ma reine".
Sorti en 1998, ce téléfilm sort un peu des sentiers battus et traite avec réalisme du milieu de la mode, cruel et destructeur. Biopic lent et un peu froid dans la mise en scène, les teintes utilisées, mais agréable à visionner. Angelina Jolie est impeccable dans ce rôle.
Le personnage de Gia est parfois détestable parfois beau. Angelina Jolie que je n’aime pas particulièrement y joue plutôt bien. Mais le film traine en longueur. LA descente en enfer n’est pas bien amorcée même chose pour l’apogée de sa gloire qui n’est pas bien marquée. De plus on n’arrive pas à dire combien d’années se sont passées entre le début de sa carrière et sa mort. La mort est tragique, il n’y a pas de pathos. La réalisation n’est pas mauvaise mais manque cruellement de rythme.
Avec une réalisation un peu ringarde des années 90, cette descente aux enfers n'est pas réellement bouleversante... La prestation d'Angelina Jolie est plutôt convaincante même si on a vu mieux depuis. Finalement, ce téléfilm tient la route mais est loin d'être indispensable.
Hormis d’avoir offert (dans la première partie du film) son rôle le plus sensuel à Angelina Jolie, trois ans avant qu’elle ne devienne une star mondiale avec le navet Tomb Raider, Anatomie d’un top model a pour principal argument de nous faire découvrir, par le biais de la biographie d’un célèbre mannequin de la fin des années 70, le monde de la mode. Mais, de l’exploration de cet univers tout comme de la vie de cette icône, on a fait le tour au bout de quarante minutes, soit un tiers de la durée totale, alors que certains aspects, comme la pression exercée par le manager et le poids de la maladie, ne sont pas approfondis. Le scénario est tout à l’image de la mise en scène, c’est-à-dire poussif, répétitif et dénué de scènes marquantes. Très attaché aux histoires liées aux vices des élites policés, Michael Cristofer (qui avait jusque-là été le scénariste de notamment Le bucher des vanités et réalisera par la suite Sexe attitudes et Pêché originel) signe, en guise de première réalisation, un téléfilm qui, en tant que tel, est d’une qualité esthétique louable et jouit d’un bon casting (Le choix d’Angelina Jolie s’avère être un coup de génie et la présence de Faye Dunaway est plus qu’appréciable) mais dont la teneur est parfaitement dérisoire.
Tourné comme un documentaire sur la vie turbulente du modèle "Gia" dont Angelina Jolie fait ressortir l'aspect animal, audacieux, indomptable du personnage. Le film fait très années 80, par les coiffures, les tenues, le dénudé et la photographie. Mais aujourd'hui, près de 20 ans plus tard, il est figé dans son époque et se laisse voir pour Angelina. La vie du modèle en question n'étant pas si passionnante à moins que l'on soit un fan ou qu'on apprécie la mode de l'époque.