Découpés en trois parties ( et qui sont réalisés par trois metteurs en scène différents ), " The Signal " possède une histoire qui n'est pas sans rappeler le " Cellulaire " de Stephen King .
La première partie du film, réalisé par David Bruckner, est centré sur la découverte de la maladie se trouve être filmée de manière nerveuse, efficace et fait que l'on rentre d'une belle manière dans le sujet. Malheureusement la seconde partie, mise en scène par Jacob Gentry, qui lorgne vers la comédie horrifique à la " Shaun of the dead " est pour moi la moins réussi de l'oeuvre. Car même si elle possède quelques séquences plutôt agréable, j'aurai préféré que cette partie soit abordée de manière plus sérieuse car celle-ci à tendance à enlever la tension que possèdait la première partie .
Le dernier acte, réalisé par Dan Bush, est pour moi la plus réussi de toutes, car sa mise en scène est particulièrement efficace et les séquences gores - dotés de maquillages vraiment très réussis - y sont vraiment très présente, ce qui ravira à n'en point douter, les fans d'hémoglobines.
Au final, il s'agit donc d'une série B américaine au budget dérisoire - à peine 50 000 dollars - qui est à découvrir, car elle y possède pas mal de qualités de mise en scène mais aussi au niveau artistique.