Comment ne pas résister à cet adorable chien japonais voyageant aux États-Unis nous faisons pleurer par sa fidélité mélancolie à l’égard de son maître, un bon chien que fut Hatchi, basé sur une histoire vraie nippone, dans les années 1920, très touchant animal.
Loyal envers son humain, professeur universitaire, tragique santé fragile emportée par la vie, soit ainsi donne naissance à cette intrigue, d’une sensibilité comme ce toutou Hachiko, huit japonisant, attend le retour éternel de son maître.
Hatchi n’a pas la capacité de parole et de comprendre que son défunt humain ne reviendra, hélas..... il attendra à la gare japonaise qui fit érigé une statuette mignon romantique dramaturge bête à son effigie, paix à son âme.
Juste un signe du bonheur qui fait chaud au cœur, les critiques presses n’attendront pas, parce qu’ils savent que le rôle tenu par Richard Gere, qui s’est mit à fond dans ce beau jeu d’interprétation, jusqu’à se mettre à quatre pattes pour élever ce good dog.
Docile, dévoué, devoir, un être intelligent avec philosophie positive et négative, l’optimisme sérénité et le pessimisme inquiétude, la décontraction animalière et l’homme éduqué qui l’instruit en semi-fiction romance, a past and modern tale, s’en prendre déjà plein, que ça arrive pour qu’ils comprennent biens dans leurs réflexions.