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Un visiteur
0,5
Publiée le 30 janvier 2011
Les différentes scènes que représente le film sont trop clichés et cela part trop vite dans le ridicule. Et même en enlevant cela, je ne voit pas l'intérêt de toute ces scènes. Il n'y a pas d'humour, pas de trame, juste un néant total. J'imagine que cela n'est pas mon genre de film et que certain peuvent aimer, mais de mon côté, j'ai trouvé cela d'un ennui profond.
Le point fort de ce film est sans conteste le casting bien fourni mêlant acteurs rodés et acteurs moins confirmés. Le film est une succession de scènes où l'on switch facilement d'une mise en situation à une autre. Le rapport entre chaque scène est bien mince voir quasi inexistant seulement ce n'est pas un désavantage en soi mais plus un miroir de la réalité dans la mesure où l'ignorance d'autrui, de sa vie et de son expérience est avéré. Néanmoins, nous en tant que spectateur, on prend un malin plaisir à s'immiscer dans la vie de chaque citoyen, à les juger et à les critiquer comme on serait tenté de le faire en vrai. C'est dans la nature humaine et ce film fait ressortir nos habitudes plus ou moins mauvaises en plus d'attiser l'émotion. New York est bien dépeint et son caractère cosmopolite est très bien mis en avant. Mention spéciale à Ethan Hawke l'écrivain, Ugur Yücel le peintre et le couple de sénior représenté par Cloris Leachman et le grand Eli Wallach.
Certaines scènes captent tout de même moins l'intérêt que d'autres pouvant nous plonger dans un ennui passager. Quelques incompréhensions et passages brouillons entache le plaisir que l'on peut prendre à regarder ce genre de film atypique apportant un peu de fraîcheur dans l'univers cinématographique parfois trop conformiste.
Même si je n'ai pas eu le même coup de cœur gigantesque que j'avais ressenti devant Paris, je t'aime, New York, I love you fait tout de même mouche avec ses rencontres, son panorama, sa poésie et l'amour, toujours.
Sincèrement déçu, je m'attendais à 1h40 bluffante...Cela a pas été le cas. Le début est plutôt satisfaisant mais plus le film avance plus les longueurs apparaissent pour finir sur 45min interminables et dénuées de sens. Cela aurait pu être un très bon film, au lieu de cela, la dizaine de réalisateurs nous ont rendu une pale copie de film d'amour américain.
« Inégal » est en toute logique le premier mot qui me vient après ce spectacle me laissant en définitive un sentiment des plus mitigés. Pourtant (et une fois de plus aurais-je envie de dire) le spectacle commence de manière alerte et enlevée, les premiers sketchs nous apparaissant étonnamment originaux et bien écrits, la galerie de stars apparaissant pour une fois moins superficielle qu'à l'accoutumée, chacun réussissant joliment à se faire sa place sans jamais écraser les précédents ou les suivants (on retiendra en particulier la réjouissante passe d'armes entre Hayden Christensen et Andy Garcia et le savoureux coup de théâtre réservé par la délicieuse Olivia Thirlby à Anton Yelchin). Mais bon, il fallait bien que ca arrive (ou plutôt non) : au bout d'une demie-heure cette jolie impression finit par s'essouffler, certains courts-métrages nous apparaissant à la limite du foutage de gueule (le père danseur et son fils en tête), tandis que d'autres réussissent tout de même à relever le niveau général (belle histoire entre Julie Christie et Shia LaBeouf)... Bref, rien de honteux, mais rien de transcendant non plus, d'autant que l'intérêt des courts-métrages (et malgré quelques exceptions donc) va plutôt décroissant, nous laissant en définitive assez nettement sur notre faim. « Asylum » et « Au coeur de la nuit » paraissent bien loin...
Apaisant, tranquille, images superbes et distribution fantastique.A voir.J'oubliais la bande son : sensas (seul hic : introuvable sur le net ou dans le commerce, si quelqu'un a un tuyau..?).
Déjà très déçu par "Paris je t'aime", je le suis encore plus par ce "New-York i love you". Ok, les communautés sont diversifiées, on trouve tout type de personnages etc mais franchement on s'ennuie fermement! Tout comme "Paris je t'aime", le film ne fait pas honneur à la ville et ne donne franchement envie de la connaitre pour ceux qui n'y sont jamais allé. Que donnera "Moscou ia lioubliya tibya" (à peu près pour le titre!)
Quelques histoires plutôt bien ficelées aux personnages attachants, mais la plupart restent assez insipides et téléphonées. Certaines maladresses lorsque les personnages parlent explicitement de la ville de New-York, qui cassent le charme qui parvient toutefois à s'installer de temps en temps. Pas grand chose d'intéressant dans l'ensemble dans ce film qui se repose quand même en bonne partie sur des clichés, et une sorte d'obligation trop visible de faire ressortir le melting-pot new-yorkais sans que ça soit forcément la volonté des réalisateurs...
Film à recommander pour les personnes s'interessant plus à l'esthtétisme d'un film, que de son intrigue. De très bon acteurs , de sublimes images et plans de New York mais trop de passage de à la sauce "production française" (d'ailleurs Ivan Attal en a produit un passage et ça ce sent) c'est dire de trop long silence et un peu d'attentionnisme mais bon après faut aimer.
New York est ma ville préféré et pourtant je n'ai jamais les pieds la haut mais un jour j'irai c'est certain. Autant dire que mon envie de voir ce film reside dans mon amour pour cette ville, malheureusement ce film ne m'a pas plus. Ce film composé de plusieurs court-métrage de différents réalisateurs est pour moi inutile et un seul bon réal aurait fait largement l'affaire mais bon. Les films sont trés inégaux, il y a des bons comme ceux de Yvan Attal qui capte une energie génial d'un New York nocturne, celui de Mira Nair est intéressant dans sa vision multi ethnique et religieuse. Celui de Brett Ratner est surprenant, mais pour le reste je suis resté completement de marbre, celui de Shekhar Kapur est beau mais trop ambitieux dans sa forme et son fond pour moi, les pires sont ceux de Jiang Wen (malgrés la superbe Rachel Bilson) et de Shunji Iwai baclé à mon gout. La vision d'un New York non touristique est bien vu mais malheureusement cette aspect ne met pas en exergue le beau New York. Merci Yvan Attal de relever le niveau de ce film car sa production est clairement au dessus du lot et c'est le seul que l'on aimerai encore plus développé.