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Akamaru
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2,0
Publiée le 21 juillet 2010
2ème création appartenant au projet des villes autour du monde après "Paris,je t'aime","New York,I Love You" reprend le même principe du film à sketches,tourné par une dizaine de réalisateurs internationaux sur le thème de l'amour et des rencontres fortuites dans les grandes cités.Difficile de juger dans son intégralité un ensemble si disparate selon le segment.On constate que par rapport à "Paris,je t'aime",les transitions entre chaque saynète sont plus harmonieuses,mais aussi plus floues,ce qui empêche de bien délimiter l'oeuvre de chacun,et le quartier mis en avant.On n'y apprend rien de neuf.Seulement des banalités servant de publicités touristiques.Cela dit,il n'y a pas lieu d'être trop sévère,la quantité compense la qualité.Au cas par cas,on peut envisager 3 catégories.Dans les segments ratés,on peut inclure ceux de Nathalie Portman(excessivement maladroit),de Mira Nair(désespérément plat),de Wen Jiang(inutile).Dans les segments corrects,ceux de Joshua Marston(éloge de la longévité du couple),de Fatih Akin(variation sur l'art pictural),de Shunji Iwai(imagination de son âme soeur),de Shekhar Kapur(songe sophistiqué).Dans les segments réussis,ceux d'Yvan Attal(séduction nocturne),d'Allen Hugues(crainte du 2ème RDV),de Brett Ratner(la tolérance avec malice).Un kaléidoscope d'où ressortent particulièrement certains acteurs et actrices,comme Ethan Hawke,Shu Qi,Julie Christie,James Caan ou Robin Wright.Pour tous les goûts.
Déroutant, certes. Mais de très beaux moments d'émotion, de belles images pour les amoureux de NY ... Avec un grand plus, des acteurs épatants ! Julie Christie, Nathaie Portman, Andy Garcia ... et tous les autres ... tous EXCELLENTS !
Après le petit succès de Paris je t'aime, dans lequel plusieurs histoires d'amour sont racontées par le biais d'une ville, le concept est repris pour une escapade à New York. Je n'ai pas vu le film se situant à Paris, mais ça n'empêche pas de comprendre celui-ci, car ce n'est pas une suite à proprement parler. New York I Love You est donc un long-métrage divisé en plusieurs segments, réalisés par plusieurs metteurs en scène différents. Bien évidemment, dans ce genre de film, on se retrouve toujours face à des segments moins intéressants que d'autres. Et dans le cas de New York I Love You, les segments ratés sont bien plus nombreux que les segments réussis. Parmi les meilleurs segments, j'en retiens 2-3. Premier segment intéressant: celui réalisé par Jiang Wen avec Hayden Christensen dans le rôle d'un petit chapardeur. C'est une bonne manière de commencer le long-métrage. Ensuite vient le segment avec Shia LaBeouf qui est assez poétique, même s'il ne casse pas trois pattes à un canard. Le segment réalisé par Natalie Portman où un jeune homme de couleur est comparé à une nounou est assez touchant lui aussi. Mais le segment que j'ai préféré est sans conteste celui avec Eli Wallach et Cloris Leachman. Celui-là est très émouvant et touchant. C'est de loin la meilleurs histoire d'amour de ce long-métrage. Au final, on ressort déçu avec une impression de trop peu, mais ça reste sympathique à regarder au moins une fois.
Pour dire franchement, je préférai "Paris, je t'aimes". Tout était mieux, à commencer par les scénarios. Les histoires étaient plus touchantes, même si celle de l'employé d'hotel est magnifique, la bande originale était plus subtile et le casting, plus alléchant. Cela reste un méli-mélo de plus métrages intéressants mais moins percutants, dommage puisque le film commence assez agréablement. A vous de voir, bon film !
J'ai beaucoup apprécié la scène entre Ethan Hawke et Maggie Q car j'ai trouvé que leurs répliques étaient très bien écrites, pour le reste j'ai trouvé ça terne, plutôt ennuyeux, vide. Dommage car j'adore la ville de New York.
Inégal et bordélique, "Paris je t'aime" offrait tout de même de beaux moments. Ce que peine à faire cette variation new-yorkaise. Car hormis les segments de Brett Ratner, drôle et touchant (j'aurais jamais pensé dire ça un jour du bonhomme) et de Shekhar Kapur, intriguant et mélancolique, on s'ennui tout de même un peu devant ces pérégrination bavardes et stériles malgré un casting quatre étoiles.
On ne l'attendait plus depuis deux ans, finalement le voilà ce New York, I love you. Quatre ans après le très bon Paris, je t'aime; revoici le même principe : une série de courts métrages sur l'amour ayant pour cadre la même ville réalisés par des artistes de différentes nationalités. Là encore, le casting fait rêver, mais si l'ensemble est séduisant, il déçoit en partie. D'abord, le film souffre du même problème que Paris, je t'aime, à savoir une qualité variable des courts métrages, mais dans l'ensemble c'est très bon et certains sont de véritables perles. Ensuite, si Paris, je t'aime proposait aussi une sorte de visite guidée de la capitale française, ce n'est pas le cas ici, la ville de New York n'étant jamais incorporée dans l'histoire comme dans Paris, je t'aime; de fait, l'univers urbain n'est jamais exploité, ce qui est dommage quand on a conscience du grand potentiel filmique de la ville. Enfin, peut-être que New York, I love you déçoit parce que l'effet de surprise qui jouait sur Paris, je t'aime, n'est plus ici, et le concept, bien que sympathique et original, semble ici vite s'essouffler. Attendons le troisième volet qui aura pour théâtre Shanghaï pour vois si cette hypothèse se confirme ou non.
Je suis généralement preneur pour ce qui est des films de sketchs, mais ici je ne vois pas l'intèret de celui-ci puisque, contrairement à son but inavoué, il ne me donne pas envie de visiter la cité new-yorkaise. Les producteurs du déjà moyen PARIS, JE T’AIME ont en effet traversé l’Atlantique pour réunir un beau casting et cumuler cette série de courts métrages de qualité très inégale se déroulant à New York. L’avantage vient des transitions plus réussies que dans la version parisienne mais il n’empêche que, parmi la douzaine d’amourettes qui nous sont contées, il n’y a finalement que la scène de drague d'Ethan Hawke qui aura réussi à me faire rire.
Ce film m’a paru globalement très inégal. Basé sur le même principe que le film Paris, je t’aime, on voit ici un assemblage de court-métrages réalisés par différents réalisateurs. Je dirais que selon le court métrage, le niveau est différent. Par exemple, le court métrage de Nathalie Portman m’a paru étrange et celui de Wen Jiang inutile. En revanche celui d'Yvan Attal est réussi, on entre tout de suite dans le sujet et le spectateur ne se sent pas perdu. Les transitions entre les court-métrages sont fluides et je n’ai pas été dérangé de ce côté-là. Je pense que le plus gros problème de ce film c’est le nombre de courts-métrages. Le spectateur réussi à entrer dans certains mais pas dans tous et finit donc pas se lasser assez rapidement. En clair, je dirais qu’il faut approfondir chacun des courts-métrages afin d’y gagner en qualité (chose difficile si on veut garder des formats courts). Du côté des acteurs c’est également très inégal. On trouve des acteurs prometteurs et d’autres qui le sont beaucoup moins. Egalement à l’affiche du film, des acteurs de talent comme Andy Garcia, Natalie Portman ou encore Ethan Hawke.
Je pense que les points négatifs et positifs se valent, Je mettrais donc deux étoiles.
L'objectif est clairement affiché : faire la promotion touristique de New-York en montrant tour à tour les différents quartiers de la ville. Initiative sympathique, plusieurs réalisateurs et scénaristes ont été sollicités afin de mettre en scène une flopée de petites histoires. Le résultat final est agréable, l'intérêt du spectateur étant régulièrement relancé. Les grands noms se succèdent, ainsi on retrouve avec plaisir la présence de Mira Nair derrière la caméra. Si un tel projet séduit, il présente toutefois des limites évidentes. Le manque de cohérence pour commencer. Malgré le fil rouge urbain et en dépit de la récurrence de certains personnages, "New York I love you" s'apparente à un vaste patchwork. Bigarré, le film s'avère par ailleurs trop inégal. Certaines histoires valent vraiment le coup, tel le passage du resto. La chute est bien trouvée, et les dialogues sont de qualité. D'autres en revanche n'ont aucun intérêt, par exemple les pseudo-aventures des deux petits vieux qui rappellent à bien des égards l'émission "Strip-tease". Enfin, une question se pose : est-ce réellement le meilleur moyen de rendre hommage à Big Apple" ? New-York ne sert finalement que d'arrière-plan alors qu'elle devrait être l'héroïne du film. "Caro diario" de Nanni Moretti ou encore "Vicky Cristina Barcelona" de Woody Allen rendent un hommage, que je trouve plus touchant, à Rome et Barcelone.
Alors le film est inégale déjà par son montage final le fait que tout est mélangé style de réalisation et histoire déconcerte vraiment car rien n'est fait pour ce liés après le film est inégale par ses qualités certains moments sont moins bon que d'autre tous comme les acteurs bravo à Ethan Hanke ou Nathalie portman et irfan khan et shia leboeuf par contre est pas credible tous comme son segment par contre bravo à bret ratner et yvan attal, Celui de mira nair est magnifique le film reste beau mais inégale.
Après "Paris, je t'aime" en 2006, voici "New York I love you". Sur le même principe - des courts métrages tournés dans tous les quartiers de la métropole - 11 cinéastes internationaux (dont Yvan Attal), hommes et femmes, en font une présentation collective, autour du thème fédérateur de l'amour. Le résultat est encore plus décevant que pour Paris : si l'aspect intrinsèquement cosmopolite de la "Grosse Pomme" est bien présent (mais sans originalité de traitement particulière), d'autres facettes essentielles, le bouillonnement culturel par exemple, ne sont pas traitées. Dommage. Et le niveau scénaristique et la réalisation sont évidemment inégaux - je ne retiendrai pour ma part comme méritant vraiment le détour que l'épisode dramatico-onirique du retour d'Isabelle/Julie Christie à l'hôtel, et l'amusante saynète montrant les conséquences d'une application littérale de la méthode Stanislavski. Espérons que le prochain film (sur Shanghai) saura enfin tenir les promesses de ce projet à l'origine si emballant.