Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Excessif
par Nicolas SCHIAVI
Abbas Kiarostami part d'un postulat universel et offre une ballade douce amère aux pays des illusions presque perdues.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
S'inspirant de Roberto Rossellini, Abbas Kiarostami signe son propre Voyage en Italie sans plagier l'original.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Une comédie de faux-semblants. Un jeu sur les apparences (...) Copie conforme prend un virage désarmant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Marianne
par Danièle Heymann
Décidément Juliette Binoche a eu raison, ce film-là avec son étrangeté, sa légèreté mélancolique, n'est pas dans sa carrière et dans sa vie qu'un film de plus.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
En filmant pour la première fois le corps et le visage de son actrice, Juliette Binoche, sublime de sensualité, Kiarostami rompt avec ses oeuvres passées, lumière sublime (signée Luca Bigazzi) et message d'amour doux et âcre à la fois, mais se laisse rattraper par son style dont ces longs plans-séquences en voiture qui rappellent évidemment Ten et Le Goût de la cerise. Son film est magnifique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
La mise en scène est d'une rare délicatesse, tout en glissement et jeux de miroir pour éviter les enchaînements de champs-contrechamps. Et Juliette Binoche déploie toutes la palette de sontalent pour traduire l'évolution de ses sentiments.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Copie conforme donne le vertige, par ses contradictions.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Critikat.com
par Mathieu Macheret
Copie conforme est un film diablement retors, comme semble l'indiquer son casting : une Juliette Binoche confirmée y apparaît en compagnie de William Shimell, fameux baryton anglais et pur débutant à l'écran. Sur les traces du cinéma italien d'après-guerre (notamment celui de Rossellini), il réserve au spectateur ce genre de vertige typiquement kiarostamien, dans la lignée de Close Up, un doute fondamental, un appel d'air susceptible de l'aspirer tout entier.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Anne Diatkine
Une sorte de road-movie mystérieux et simple, limpide et énigmatique, qui se déroule en une journée. (...) Tour de force : le spectateur devient lui aussi protagoniste de l'histoire (...) et, tel un miroir, ne prend jamais parti.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Julien Welter
voir le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Le flou entretenu par le réalisateur s'appuie sur une mise en scène fluide, qui entretient le mystère mais qui prend aussi d'assaut ses personnages en les filmant au plus près. On est ébloui par le jeu de Binoche (...) et séduit par Shimell (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
A coups de dialogues ciselés et de plans serrés, Abbas Kiarostami aboutit à un film universel, entre légèreté et drame, sur les sentiments qui se diluent au fil du temps.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) la femme est la scénariste, metteur en scène du couple, les femmes sont les deus ex machina du film. Venant de l'auteur de Ten, c'est tout sauf anodin. (...) Sous ses airs de classique film de couple, Copie conforme est beaucoup plus engagé et séditieux (...). Kiarostami réaffirme subtilement son féminisme à la face du régime iranien machiste et de la culture du tchador.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Le babillage (...) n'est probablement qu'un leurre pour dresser soudain dans le vide démeublé d'une fin d'après-midi le bilan moral des expériences et des émotions encloses dans le seul réceptacle mystérieux des visages que la caméra du cinéaste ne quitte presque jamais du regard (...) une vérité immortelle se fait jour et, sans phrase ni pitié, nous transperce le coeur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Rania hoballah
Dans Copie conforme, Kiarostami, Palme d'or en 1997 avec Le goût de la cerise, brouille les pistes dans une réflexion passionnante sur l'amour et l'art. Et offre un rôle sur mesure à Juliette Binoche.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Christine Haas
Palme d'or en 1997 pour Le goût de la cerise, le réalisateur sublime Juliette Binoche dans Copie Conforme. Un hymne à l'amour.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Franck Kausch
Mise au carré des structures du cinéma de Kiarostami, ce film à la fois mineur et essentiel perd certes l'immédiateté et la limpidité de l'univers tissé dans la première carrière du cinéaste, mais la cohérence de son projet est à ce prix.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Philippe Rouyer
A chaque nouvelle séquence, le cinéaste ajoute de la complexité pour faire d'un argument simplissime (la rencontre d'un homme et d'une femme) un fascinant jeu de masques.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Un style étrange, incertain, où la science des cadrages se mêle à une série de décalages, de dissonances dans le jeu des acteurs. Voulu ou non, le mélange sert le sentiment de malentendu, d'éloignement qui gagne les personnages.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Filmsactu
par Elodie Leroy
Obéissant à une mécanique surprenante reposant sur l'illusion, Copie Conforme dresse un parallèle entre l'art et l'amour et fourmille de considérations philosophiques passionnantes. Dommage que le film soit terni par un rythme trop lent(...)"
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Humanité
par Dominique Widemann
Filmer ou pas l'amour en Italie. Toujours et encore. Telle est la question. Ou pas.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir le site du Point
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Excessif
Abbas Kiarostami part d'un postulat universel et offre une ballade douce amère aux pays des illusions presque perdues.
Le Figaroscope
S'inspirant de Roberto Rossellini, Abbas Kiarostami signe son propre Voyage en Italie sans plagier l'original.
Le Monde
Une comédie de faux-semblants. Un jeu sur les apparences (...) Copie conforme prend un virage désarmant.
Marianne
Décidément Juliette Binoche a eu raison, ce film-là avec son étrangeté, sa légèreté mélancolique, n'est pas dans sa carrière et dans sa vie qu'un film de plus.
TéléCinéObs
En filmant pour la première fois le corps et le visage de son actrice, Juliette Binoche, sublime de sensualité, Kiarostami rompt avec ses oeuvres passées, lumière sublime (signée Luca Bigazzi) et message d'amour doux et âcre à la fois, mais se laisse rattraper par son style dont ces longs plans-séquences en voiture qui rappellent évidemment Ten et Le Goût de la cerise. Son film est magnifique.
20 Minutes
La mise en scène est d'une rare délicatesse, tout en glissement et jeux de miroir pour éviter les enchaînements de champs-contrechamps. Et Juliette Binoche déploie toutes la palette de sontalent pour traduire l'évolution de ses sentiments.
Cahiers du Cinéma
Copie conforme donne le vertige, par ses contradictions.
Critikat.com
Copie conforme est un film diablement retors, comme semble l'indiquer son casting : une Juliette Binoche confirmée y apparaît en compagnie de William Shimell, fameux baryton anglais et pur débutant à l'écran. Sur les traces du cinéma italien d'après-guerre (notamment celui de Rossellini), il réserve au spectateur ce genre de vertige typiquement kiarostamien, dans la lignée de Close Up, un doute fondamental, un appel d'air susceptible de l'aspirer tout entier.
Elle
Une sorte de road-movie mystérieux et simple, limpide et énigmatique, qui se déroule en une journée. (...) Tour de force : le spectateur devient lui aussi protagoniste de l'histoire (...) et, tel un miroir, ne prend jamais parti.
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Le flou entretenu par le réalisateur s'appuie sur une mise en scène fluide, qui entretient le mystère mais qui prend aussi d'assaut ses personnages en les filmant au plus près. On est ébloui par le jeu de Binoche (...) et séduit par Shimell (...).
Le Parisien
A coups de dialogues ciselés et de plans serrés, Abbas Kiarostami aboutit à un film universel, entre légèreté et drame, sur les sentiments qui se diluent au fil du temps.
Les Inrockuptibles
(...) la femme est la scénariste, metteur en scène du couple, les femmes sont les deus ex machina du film. Venant de l'auteur de Ten, c'est tout sauf anodin. (...) Sous ses airs de classique film de couple, Copie conforme est beaucoup plus engagé et séditieux (...). Kiarostami réaffirme subtilement son féminisme à la face du régime iranien machiste et de la culture du tchador.
Libération
Le babillage (...) n'est probablement qu'un leurre pour dresser soudain dans le vide démeublé d'une fin d'après-midi le bilan moral des expériences et des émotions encloses dans le seul réceptacle mystérieux des visages que la caméra du cinéaste ne quitte presque jamais du regard (...) une vérité immortelle se fait jour et, sans phrase ni pitié, nous transperce le coeur.
Metro
Dans Copie conforme, Kiarostami, Palme d'or en 1997 avec Le goût de la cerise, brouille les pistes dans une réflexion passionnante sur l'amour et l'art. Et offre un rôle sur mesure à Juliette Binoche.
Paris Match
Palme d'or en 1997 pour Le goût de la cerise, le réalisateur sublime Juliette Binoche dans Copie Conforme. Un hymne à l'amour.
Positif
Mise au carré des structures du cinéma de Kiarostami, ce film à la fois mineur et essentiel perd certes l'immédiateté et la limpidité de l'univers tissé dans la première carrière du cinéaste, mais la cohérence de son projet est à ce prix.
Première
A chaque nouvelle séquence, le cinéaste ajoute de la complexité pour faire d'un argument simplissime (la rencontre d'un homme et d'une femme) un fascinant jeu de masques.
Télérama
Un style étrange, incertain, où la science des cadrages se mêle à une série de décalages, de dissonances dans le jeu des acteurs. Voulu ou non, le mélange sert le sentiment de malentendu, d'éloignement qui gagne les personnages.
Filmsactu
Obéissant à une mécanique surprenante reposant sur l'illusion, Copie Conforme dresse un parallèle entre l'art et l'amour et fourmille de considérations philosophiques passionnantes. Dommage que le film soit terni par un rythme trop lent(...)"
L'Humanité
Filmer ou pas l'amour en Italie. Toujours et encore. Telle est la question. Ou pas.
Le Point
Voir le site du Point