Disons-le d'entrée : ce film est un long-métrage pour ados qui ne prétend pas remplir d'autre occupation. Partant de ce constat, 15 ans et demi, plutôt bien joué (à l'exception de la prestation quasi ratée de Benjamin Siksou), drôle et tonique, qui met en scène un père face à une une jeune fille adolescente qui se rebelle, est au demeurant fort sympathique, malgré un net manque de réflexion. Ce n'est pas le film du siècle, mais c'est une comédie légère qui fait passer un bon moment !
Une idée intéressante avec un Daniel Auteuil très bon, le scénario n'est pas mauvais même si sujet oblige il faut supporter des caprices avec des chichis d'ados et leurs histoirettes de flirt ou de booms; je me serais toutefois bien passé de la voisine quinquagénaire. Mais bon l'un dans l'autre le résultat est pas mal, surtout grâce à un Daniel Auteuil très amusant, entre autres dans de petites séquences "imaginaires" assez originales (mais pas celles d'Einstein).
Petite comédie vu et revu du genre teen movie mais peut-être au dessus de la moyenne des autres car elle n'est pas prétentieuse et ne se prend pas au sérieux. Mention spéciale à François Damiens qui donne un coup de peps au film d'où mon 3.
J'ai franchement adoré ce film ! Très frais, humoristique, divertissant ! La jeune ado (dont j'ai oublié le nom) est très bien dans son rôle ! Je le conseille vivement !!!
Pas la comédie du siècle, mais pas mauvais non plus. Un film agréable à regarder, même s'il ne laissera pas un souvenir impérissable. Juliette Lamboley est pleine de fraicheur, Danie Auteuil est très bien en père déboussolé.
Véritable punition cinématographique à quelques exceptions près (François Berléand en Einstein : un grand moment lorsque l'on compare au reste du film, l'évocation des « Enfants du Paradis »), « 15 ans et demi » est ce genre de productions entièrement dévouée à la cause adolescente, qui trouveront sans doute le résultat « frais », « cool » et « à leur image ». Mais le problème se trouve justement là. Car comment trouver à son image un film écrit de façon aussi navrante et offrant des situations aussi lourdingues que prévisibles, tandis que la relation père-fille est traitée avec un manque de talent et de subtilité qui choquerait même Fabien Onteniente (enfin, je m'engage quand même un peu là...)? Tout y est absolument ridicule, caricatural, au rabais... Pauvre Daniel Auteuil, se fourvoyant une de fois de plus et dont la médiocrité ambiante déteint atrocement sur sa prestation... La comédie française dans ce qu'elle a de pire : une vraie catastrophe.
Et voilà comment continuer dans la médiocrité du cinéma français. Des acteurs encore hésitants ne parviennent pas à faire décoller un scénario déjà morose voire même en panne d’inspiration, le coup du conflit parents-ados ne date pas d’hier. Daniel Auteuil est ridicule car impossible pour lui de jouer les postures loufoques dans lesquelles il est exposé (sauf la scène du lowriding qui est terrible !). Les deux jeunes (Juliette Lamboley et Benjamin Siksou) ne sont pas là pour remonter le niveau. En réalité, seul François Damiens se démarque en gourou compréhensif et aimé des jeunes. A par ça, on tombe dans une morale banale sortie des discussions du café du commerce. A tel point que le film se veut parfois plus être un téléfilm qu’autre chose.
Comédie naïve et romantique Comment en 3 mois un vieux con de père est devenu un jeun’s branché Détail qui m’a frappé est le surnom de nazi donné par Eglantine à son papaaaaaaaaaaaaaaaaaa Au fait, on ne rattrape pas le temps perdu, et en plus tout finit bien
Un coup de coeur, une excellente surprise comme j'en ai très peu malgré tout les films de la TNT que je m'envoie... Le film vise juste sur le thème de l'adolescence sans tomber dans le patos, mais surtout ne se prend jamais au sérieux et par dans tous les sens provocant de nombreux vrais éclat de rire. Une comédie qui sort juste assez des sentiers battus pour lui laisser une place de choix dans ma vidéothèque. Et quel florilège d'acteurs qu'on aimerait voir plus souvent... Petite réserve sur Daniel Auteuil, un peu décalé dans le ton, mais ca participe aussi au charme du film totalement second degré!