AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
2,5
1159 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Cliente ?
5
35 critiques
4
62 critiques
3
21 critiques
2
85 critiques
1
38 critiques
0
18 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Au delà du propos qui est original, le reste n'est que clichés....... Balasko n'en fini pas de chuter depuis la grande époque du Splendid. Seule Nathalie Baye mérite de jeter un œil et encore on le ferme très vite car assommé par l'accumulation de poncifs boboisants et d'ennui profond...... au final, pas client......
L'histoire d'une femme qui sait se faire plaisir, même s'il faut y mettre le prix.
Difficile de parler de ce film, tous les poncifs y sont, avec plus ou moins d'humour, plus ou moins de sentiments. Dans l'ensemble, rien ne fonctionne vraiment. Mais ça se laisse regarder, grâce à Caravaca, impérial encore une fois, dans le rôle du benêt gentil mais un peu con.
Par contre, le volet social est pas trop mal traité, mais encore une fois, la caricature n'est pas loin. Un film pour créer son propre rôle, comme savent faire les anciens du Splendid, Jugnot mis à part, et en prime faire jouer son ex beau frère et sa propre fille. Surprise, pour une fois elle joue très bien la fille à claque, ça lui va comme un gant.
Un mélange de fleur bleue et de méchanceté cynique qui ne trouve pas son équilibre, sans que l'on ait envie de critiquer outre mesure un film bien fait dans l'ensemble.
Difficile de parler de ce film, tous les poncifs y sont, avec plus ou moins d'humour, plus ou moins de sentiments. Dans l'ensemble, rien ne fonctionne vraiment. Mais ça se laisse regarder, grâce à Caravaca, impérial encore une fois, dans le rôle du benêt gentil mais un peu con.
Par contre, le volet social est pas trop mal traité, mais encore une fois, la caricature n'est pas loin. Un film pour créer son propre rôle, comme savent faire les anciens du Splendid, Jugnot mis à part, et en prime faire jouer son ex beau frère et sa propre fille. Surprise, pour une fois elle joue très bien la fille à claque, ça lui va comme un gant.
Un mélange de fleur bleue et de méchanceté cynique qui ne trouve pas son équilibre, sans que l'on ait envie de critiquer outre mesure un film bien fait dans l'ensemble.
Moi qui m'attendait a un film drôle et bien j'ai été incroyablement super déçu ! On ne rit pas une seconde... on s'ennuit du début à la fin... loin du duo Baye-Balasko de Absolument Fabuleux qui été lui super drôle, dommage car le sujet est original mais la réalisation et les dialogues sont trop mauvais ! J'attend, si il y a, un prochain film de Balasko et qui soit vraiment meilleur... Un gros zéro mérité pour ce navet ! (0)
Un film qui aborde avec pudeur un sujet tabou dans notre société mais bel et bien existant. La réalisation est soigné mais ne prend aucun risques, par contre Isabelle Carré est vraiment irritante au possible. On a qu'une envie c'est la voir couler profond ! Nathalie Baye est au contraire très convaincante.
film touchant, malgré quelques défauts :l'ajout de la touche humoristique qui n'avait pas forcément lieu d'être. mais elle est là afin d'alléger le film, lui donner une touche de sympathie et de légèreté afin de minimiser le sujet principal du film : la solitude.
film admirablement bien joué.
film admirablement bien joué.
un film plat, sans relief qui n'arrive pas à nous transporter une seule seconde.
La fille rockeuse est à claquer.
Le gigolo est moche,mou, sans charisme ni humour et comme un autre l'a dit, il devrait payer pour être avec Nathalie Baye.
J'aurais bien vu quelqu'un comme Louis Garrel à sa place, mais le film n'étant pas extraordinaire j'aurais pas voulu qu'il fasse un mauvais film.
Le gigolo est moche,mou, sans charisme ni humour et comme un autre l'a dit, il devrait payer pour être avec Nathalie Baye.
J'aurais bien vu quelqu'un comme Louis Garrel à sa place, mais le film n'étant pas extraordinaire j'aurais pas voulu qu'il fasse un mauvais film.
Présentatrice de télé-achat, la cinquantaine charmante et tonique, Judith (Nathalie Baye) se paie régulièrement des moments de plaisir avec de jeunes gigolos, plus élégamment nommés escort-boy. Elle se lie avec l'un d'eux (Eric Caravaca), lequel est marié (à Isabelle Carré) et ne fait ce métier que pour subvenir aux besoins de sa grand-mère ou de sa belle-famille.
Josiane Balasko -qui joue ici le rôle épisodique de la soeur de Judith- réalise le film le plus ennuyeux de l'année, un film au scénario d'une rare médiocrité et à la réalisation plus terne que le plus commun téléfilm de France 3! En d'autres temps, le sujet aurait pu sembler subversif. Il l'est d'autant moins, concernant le droit des femmes à payer elles aussi leur plaisir, que le film ne fait qu'aligner d'insupportables clichés et enfoncer des portes ouvertes. Il n'y a rien à sauver de ce film fadasse dont la banalité et l'insipidité rejaillit nécessairement sur les personnages. Il n'y a pas ici l'ombre d'une situation de comédie digne de ce nom et pas une once d'émotion ou de sensibilité spoiler: lorsque Balasko s'aventure dans le psychodrame sentimental dès lors qu'Isabelle Carré apprend les activités de son mari
spoiler: On n'en revient pas de voir la talentueuse Isabelle Carré tenir ce sous-emploi d'épouse jalouse et pleurnicharde qui provoque des scènes de ménage et s'en va tancer la cliente de son mari.
Les quelques bons mots, bien rares, que Balasko parvient à glisser sont indifférents et n'ont que l'effet de rappeler qu'elle fut jadis une bien plus corrosive dialoguiste. Balasko traite d'un thème avec une naiveté et une superficialité confondantes.
Josiane Balasko -qui joue ici le rôle épisodique de la soeur de Judith- réalise le film le plus ennuyeux de l'année, un film au scénario d'une rare médiocrité et à la réalisation plus terne que le plus commun téléfilm de France 3! En d'autres temps, le sujet aurait pu sembler subversif. Il l'est d'autant moins, concernant le droit des femmes à payer elles aussi leur plaisir, que le film ne fait qu'aligner d'insupportables clichés et enfoncer des portes ouvertes. Il n'y a rien à sauver de ce film fadasse dont la banalité et l'insipidité rejaillit nécessairement sur les personnages. Il n'y a pas ici l'ombre d'une situation de comédie digne de ce nom et pas une once d'émotion ou de sensibilité spoiler: lorsque Balasko s'aventure dans le psychodrame sentimental dès lors qu'Isabelle Carré apprend les activités de son mari
spoiler: On n'en revient pas de voir la talentueuse Isabelle Carré tenir ce sous-emploi d'épouse jalouse et pleurnicharde qui provoque des scènes de ménage et s'en va tancer la cliente de son mari.
Les quelques bons mots, bien rares, que Balasko parvient à glisser sont indifférents et n'ont que l'effet de rappeler qu'elle fut jadis une bien plus corrosive dialoguiste. Balasko traite d'un thème avec une naiveté et une superficialité confondantes.
🎬 RENGER 📼
Josiane Balasko adapte ici son dernier roman : Cliente, l’histoire d’une femme de cinquante ans qui a recours aux services d’un gigolo pour assouvir son manque d’amour.
L’histoire en elle même captive, pimentée par de multiples rebondissements, on suit le parcourt de ces deux personnes très différentes l’une de l’autre. L’une vivant auprès de sa sœur et l’autre faisant face à des soucis financiers tout en vivant encore chez sa belle mère !
Balasko étonne avec son sujet « tabou » (les relations sexuelles payantes et les difficultés de trouver l’âme sœur pour les femmes d’âge mur). Touchant, drôle et sincère, le quatuor d’acteurs (Nathalie Baye, Eric Caravaca, Isabelle Carré & Josiane Balasko) fonctionne à merveille et nous fait passer un agréable moment en leur compagnie.
L’histoire en elle même captive, pimentée par de multiples rebondissements, on suit le parcourt de ces deux personnes très différentes l’une de l’autre. L’une vivant auprès de sa sœur et l’autre faisant face à des soucis financiers tout en vivant encore chez sa belle mère !
Balasko étonne avec son sujet « tabou » (les relations sexuelles payantes et les difficultés de trouver l’âme sœur pour les femmes d’âge mur). Touchant, drôle et sincère, le quatuor d’acteurs (Nathalie Baye, Eric Caravaca, Isabelle Carré & Josiane Balasko) fonctionne à merveille et nous fait passer un agréable moment en leur compagnie.
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Pour ce qui est des tabous, Josiane Balasko a depuis longtemps passé le cap. Celui d’envoyer valser tous les préjugés, les qu’en dira t’on, par le biais de personnages forts de caractère. A son image en fin de compte. Depuis Sac de nœuds, en passant par Gazon Maudit et bien d’autres comédies purement potaches, son parcours en temps qu’actrice/réalisatrice a conquis un certain public au fil des années, un public qui l’apprécie autant pour ses défauts que ses qualités et son petit côté écorchée vive. Son regard sur l’homosexualité, l’éternel célibat, ou encore la femme couguar est objectif et sonne franc. Cliente n’a rien d’extraordinaire en soi, mais loin d’être un mauvais film pour autant. Évidement, comme beaucoup, sujet à l’abattoir des critiques. Un thème contemporain, sensuel et simpliste, qu’est l’histoire d’amour entre un jeune gigolo et sa cliente, une femme du monde quinquagénaire et fataliste. Les fêlures des personnages se ressentent immédiatement, entre frustration et mensonge, les concessions peu glorieuses que l’argent ne comble pas. Une réalisation modeste et bien jouée, que trop de clichés viennent contraster à la french touch. Sujet corrosif et traité avec beaucoup d’humanité, mais manquant néanmoins d’intensité et de piquant. A voir une fois. 2,5/5
Plutôt pas mal. La première demi-heure est sublime et vraiment intéressante, je ne m'attendais pas à ce type de film, à cette histoire et par moments, j'étais bien accroché. Malheureusement, ça tourne souvent en rond, c'est parfois trop criard et désordonné et on se lasse de certaines scènes.
Le début du film,à était longt à démarer,mais aprés on se prend bien dans l'histoire,je vous le conseille.
L'entreprise était hasardeuse... Et on sent bien que Josiane Balasko, si elle a des copines sans partenaire précis, a un mari qui la bichonne, pas trop besoin de se fatiguer à chasser : son regard sur la solitude morale féminine manque un peu de mordant, Nathalie Baye elle, s'amuse comme une petite folle (et serait bien allée plus loin, vers plus déjanté). Certes, bien des belles quinquagénaires, quadragénaires même, dans leur for intérieur, souhaiteraient payer un type pour avoir un contact qui leur plaît plutôt que de s'échiner en palabres, ou à papillonner dans le vide, pour connaître, si ce n'est l'ennui ou les emm..., le fiasco après consommation. Par ailleurs, ce film ose dire que l'argent, dans les faits, a ses commodités dans les relations de couple (schoking ?...). Surtout bien rémunérer l'escort...
j'ai trouvé super originale d'avoir réalisé ce film sur la prostitution masculine.en effet,d'avoir pensé à faire le rôle inverse en faisant jouer nathalie baye en tant que gigolo féminine, à payer les hommes afin d'avoir du plaisir sexuel vu que elle est seule riche,s'ennuit aussi et séduisante encore a son âge.mais elle tombe amouresue d'un homme ( éric caravaca)très séduisant mais qui maheureusement est marié.et sa soeur josiane balasko est superbe aussi dans son rile de femme seule enduric mai squi trouve elel son homme à vie.
Le film sonne juste mais l'accumulation de seconds roles ( que vient faire le personnage de Balasko en soeur, de la gamine chieuse a la camera?...) empêchent de suivre le parcours de cette cliente? Rajoutez plusieurs voix off, une musique rap lourde et on obtient un film plutôt raté en dépit d'acteurs impliqués.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse