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Nicolas V
90 abonnés
1 283 critiques
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1,0
Publiée le 11 septembre 2017
Geard Butler devait se dire que ce scénario allait etre le nouveau matrix ou univers réels et virtuels se conjugent dans des plaisirs de masse . Ou les thèmes comme la liberté et le libre arbitre feraient échos à un public comblé.
Mais hélas mon Gégé, tu te retrouves dans un bon gros nanar des familles. Et quand je dis familles, au final, je me trompe. Car la violence est omniprésente et injustifiée ( sauf pour palier aux erreurs scénaristiques ).
Une mauvaise critique baclée du monde virtuel ( et des jeux vidéos ) remplie de testostérone dotée d'un scénario incohérent, dispérsé et confus.
Surement l'un des pires films avec Gérard Butler .
Film d'action ayant pour envie de décliner les jeux vidéos genre FPS et SIMS en live avec l'envers du décor en débat! Malgré des scènes d'action prenantes, le film ne décolle jamais et les personnages n'ont aucun relief, ni charisme et n'apporte rien au film. Bancal du début à la fin, le scénario est en plus très prévisible avec une fin consternante de déjà vu. Pour dire, dans le genre, préférer NIRVANA avec Christophe Lambert! Vraiment pour dire!
C'est souvent de mauvais gout, vulgaire et très bourrin. Les scènes d'actions sont fatigantes à suivre tellement elles sont mal filmées et le montage épileptique n'arrange rien. Le scénario est une version moderne de "Running Man" avec un peu de "Clones". On ne peut pas vraiment juger la prestation de Gerard Butler pour le peu de moments où il ne se bat pas, par contre Michael C. Hall est très moyen... Sinon j'ai bien aimé le petit clin d’œil à "Blade Runner". A part ça, pas grand chose à retenir de ce film. (Moyen)
Intrigue impeccable, quelques incohérences et questionnements qui n'auront jamais de réponses. Le film arrive à créer un univers terrifiant où l'on vit la folie des hommes, on traverse violence et pornographie en suivant l'histoire d'un prisonnier amoureux de sa femme. Si on survit sans avoir de crise d'épilepsie jusque la fin, on a même droit à une leçon sur le danger des puissants qui nous contrôlent. Respectable et innovant, mais peut faire bien mieux visuellement et scenaristiquement. Superbe idée quand même que de payer des gens pour devenir nos sims.
Un mixte pas si moderne que ça entre "Existenz" de Cronenberg (1999 !) et "Course à la mort" (2008)... Bref rien de nouveau n'en déplaise à ceux qui y voit un film original. Le cinéaste surfe sur son temps mais n'invente rien bien au contraire. Gerard Butler joue son action man de base dans un scénario très banal et même si d'habitude c'est efficace ici la sauce ne prend pas vraiment surement due à une mise en scène clippesque qui mise sur une avalanche d'effets spéciaux montée sans queue ni tête... Ca impressionne les jeunes ou/et ça fait plaisir aux gamers mais le cinéphile est abasourdie de tant de facilités.
Les réalisateurs du bourrin Hyper Tension reviennent avec un nouveau long-métrage mettant encore une fois en avant leur goût prononcé pour les jeux vidéos. Fortement inspiré par Running Man, Ultimate Game met en scène un monde futuriste où des êtres humains peuvent être contrôlés par des joueurs, ces derniers les faisant vivre les aventures qu'ils souhaitent à travers plusieurs jeux vidéos différents. D'un côté nous avons Nika (Amber Valetta, sexy à souhait), personnage flexible d'un Sims-like coloré devenant volontairement un pion pour subvenir à ses besoin. De l'autre nous avons Kable (Gerard Butler, badass à souhait), condamné à mort obligé de participer à un jeu de tir sanglant. Contrôlé par un ado richard via une nouvelle technologie fantaisiste consistant à mélanger des nano-cellules au cortex humain, Kable va tout faire pour se libérer de cette emprise, rejoindre ceux qu'il aime et par la même occasion éliminer le cruel concepteur du jeu incarné par la star de "Dexter" Michael C. Hall (au sommet du cabotinage le plus exécrable). Pas très subtil tout ça, hein ? Violent, sexy, irrévérencieux et assurément débile, Ultimate Game nous en met plein la vue avec une foule de séquences gratuitement excentriques où fortes poitrines, couleurs flashy, dialogues aberrants et scènes d'action filmées caméra à l'épaule s'entrechoquent autour d'un scénario pas très original malgré sa volonté de proposer une histoire au sujet actuel (la violence dans les jeux vidéos). Et si les deux trublions de réalisateurs parviennent à mettre en scène un produit plus ou moins efficace, ce scénario cousu de fil blanc rattrape la mise en scène et remet en place le statut du film... Nanar à gros budget des années 2000, le long-métrage ne pourra satisfaire que les gamers peu soucieux d'un script un tant soit peu intelligent. Pour les autres, ils se demanderont pourquoi ils regardent ce thriller futuriste dénué de toute intrigue où les quelconques rebondissements attendus (aussi minces soient-ils) sont hélas remplacés par des scènes d'action non-stop et des dialogues de série Z. Dommage donc pour ce deuxième film creux comme une coquille vide qui aurait pu être dans la même veine que le Avalon de Mamoru Oshii.
Un soupçon d'Existenz, de Running man et de films de ce genre pour un regard assez trash sur l'avenir des jeux vidéo. Ca décoiffe mais c'est parfois un peu creux. La reconstitution des jeux qu'on connait est flagrante dès le début, les afficionados reconnaîtront tout de suite. Intéressant mais pas probant. A découvrir plus par curiosité que par nécessité.
Accablé par les classiques défauts du genre, à savoir un montage épileptique, des mouvements de caméra illisibles, et un scénario truffé d'invraisemblances, Ultimate Game parvient pourtant à avoir un certain charme. L'équipe derrière Hypertension signent une honnête série B, qui repose sur un concept plutôt pertinent de l'abrutissement de masse et de l'avancée d'un monde virtuel dangereux.
Si on ne regarde que l'aspect divertissement (action, histoire, etc...) on passe un bon moment avec quelques belles scènes. en revanche, le côté futuriste voulant alerter sur les danger de la vie virtuelle est souvent trop incohérent, complexe et mal exploiter pour vraiement donner envie de masquer les faiblesse du sénarios.
Un film d’une nullité désespérante sur la forme : mal conçu, mal filmé, mal joué. Sur le fond, quand la violence gratuite et les relents putrides de la civilisation sont érigés en spectacle pour le bon peuple, on a ce genre de produit, artificiel, inutile et creux, au message pervers, ramassis de lieux communs orduriers qui vomit toute forme de société… C’est en quelque sorte la négation pure et simple du cinéma. !
Dans un futur pas si lointain, affirme le carton prégénérique, les gens contrôlent des personnes réelles à travers deux jeux en lignes mondiaux: Société (version pervertie de Second Life) et Slayers (counter-strike grandeur nature). A l'origine de ces deux jeux, Ken Castle (Michael C. Hall très convaincant), milliardaire mégalomane et sans scrupules prêt à tout. Kable (Gérard Butler charismatique et muscles saillants) est un slayer sur le point de regagner sa liberté puisqu'il approche des trente victoires. Mais Castle ne l'entend pas de cette oreille. Les réalisateurs de Hyper Tension signent un film de science-fiction gonflé à la testostérone aux scènes d'action efficaces. Ils arrivent à recréer l'ambiance des jeux vidéo tout en faisant du cinéma, sans abuser d'effets spéciaux qui rendraient l'ensemble trop artificiels. Il est dommage que le montage soit parfois trop clipesque et que la fin soit quelque peu bâclée. On peut reprocher que la critique de la violence des jeux vidéo et des dérives de la technologie sur notre société ne soit pas plus mis en avant mais l'ensemble est suffisamment maîtrisé et efficace pour être un divertissement agréable.
Ce n'est pas tellement de la S.F. davantage un film d'action avec une idée prospective. dans la suite des films style Le prix du danger de 1982. Avec aussi du voyeurisme, une sorte de scientifisme et pas mal de violence. Il y a des idées mais le problème est que l'on n'est pas porté à y croire et le film ne sert qu'à un jeu d'acteurs assez charismatiques mais qui est moyen. Des images futuristes oui et non, des idées futuristes oui et non cela ressemble davantage à une description de la réalité où on peut prendre ce que l'on veut sans vrai cohésion : jugé bas de gamme par un bon nombre et encensé par quelques autres pour ses quelques originalités. Il n'est pas tellement outrancier ni spécialement malsain mais il est ambigu, assez peu abouti.
L’un des pires films d’action bourrin, tourner comme un jeu vidéo, sans intérêt. Entre la violence gratuite et les scènes d’action qui bouge dans tout les sens, une vrai prise de tête. Le scénario est nul et c’est ridicule. Le casting ne sauve rien du tout : Gerard Butler, Michael C. Hall, John Leguizamo et Keith David. Une daube total, un navet à éviter.
Décevant. Le film n'a pas vraiment un scénario qui tiens la route. Pourtant les acteurs sont convainquant, de même pour la réalisation tout simplement éléctrique. Baclé et pas vraiment charmeur, Gamer aurait pu être meilleure. Dommage !!!