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    L'Aigle de la Neuvième Légion
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    466 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 12 avril 2011
    "Joey, tu aimes les films de gladiateurs" ... ;-)
    Une réalisation honnête pas très bien servie par un scénario bas du casque romain sur la fin.
    lost 4/8/15/16/23/42
    lost 4/8/15/16/23/42

    19 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mai 2011
    film sans plus il commence bien mais le rytme baisse ensuite et on s'ennuit fermement
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 141 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mars 2011
    Un péplum bas de gamme qui pourrait aisément se résumer ainsi : "de jolies séquences qui ne réussiront pas à nous faire oublier se manque total d'ambition et d'originalité". Un peu de folie bon sang !
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    83 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 mai 2014
    Kevin Macdonald s’est fait un nom dans le domaine des films documentaires. Mais il a également réussi à percer dans le cinéma « traditionnel », en livrant des longs-métrages plutôt marquants. Et ce par le biais de trois films : La Mort suspendue, Le dernier roi d’Écosse (qui valut l’Oscar du meilleur acteur à Forest Whitaker) et Jeux de Pouvoir (avec l’excellent Russell Crowe). Pour sa quatrième réalisation « classique », Macdonald décide d’adapter un roman, avec des airs de péplum, intitulé L’Aigle de la Neuvième Légion (écrit par Rosemary Sutcliff). Macdonald continue-t-il à nous éblouir ?

    L’histoire se déroule en 140 après Jésus-Christ, au nord de la Grande-Bretagne. Époque durant laquelle les Romains tenaient les Pictes à l’écart de l’Empire par le biais du célèbre mur d’Hadrien. Derrière lequel disparut la neuvième légion, 20 ans plus tôt. L’occasion pour un jeune centurion de tenter de retrouver l’emblème de cette légion, l’aigle, afin de restituer l’honneur de sa famille (son père ayant commandé et donc disparu avec la fameuse légion). Ce n’est pas la première fois que la légende de la neuvième légion inspire le cinéma. En 2010, nous avions eu droit à Centurion, réalisé par Neil Marshall (The Descent), qui s’était plus présenté à nous comme un survivor au visuel très barbare au lieu d’un péplum dans la veine de Gladiator ou bien de Troie. En réalisant L’Aigle de la Neuvième Légion, Kevin Macdonald décide de raconter cette légende d’un autre point de vue.

    Cette fois-ci, il n’est plus question de la légion même, mais plutôt d’un personnage qui tente de retrouver ce qu’il en reste. Du coup, sur le papier, le scénario promet de s’intéresser uniquement au protagoniste et non à des séquences d’action. Avec Macdonald, ce que nous voulons, c’est un film travaillé. Non un divertissement sans âme comme le genre du péplum nous offre depuis quelques temps. Et en voulant se préoccuper d’une histoire de rédemption (retrouver l’honneur), d’amitié improbable entre ce jeune centurion et un esclave picte qui lui sert de guide, le cinéaste veut faire dans le grandiose niveau scénario. Vraiment, L’Aigle de la Neuvième Légion promettait !

    D’autant plus que la mise en scène de Macdonald sert énormément à l’entreprise. Son style visuel se rapprochant rarement d’un film conventionnel, allant plus dans le documentaire. Même si avec ce film, le réalisateur se permet quelques effets, quelques images qui donnent un réalisme certain à quelques plans et décors (comme ces marécages qui semblent véritablement poisseux), qui ramènent le spectateur à se dire : « C’est bien un film que je suis en train de regarder ». Quant aux accessoires (costumes, boucliers, armes…), il heureux de voir que cela n’a pas le côté « plastique » qui se remarquait dans Troie, un film pourtant à plus gros budget que celui-ci (150 millions de dollars contre 25 millions).

    Il est donc fort dommage de constater que L’Aigle de la Neuvième Légion nous apparait finalement comme un film bancal. À commencer par son scénario qui hésite maladroitement entre le drame historique et le film d’action. Au départ, nous avons une longue introduction qui présente les personnages sans que cela ne parte en bain de sang, pour finalement passer dans une séquence d’infiltration à la 13ème Guerrier. Pour finir par une bataille digne de Centurion (le gore et la barbarie en moins). De ce fait, il est très difficile de voir où L’Aigle de la Neuvième Légion veut en venir, semblant laisser ses personnages de côtés au beau milieu du récit pour ne s’intéresser qu’à ce qui se passe à l’écran. Et comme le film n’est pas vraiment orienté action, difficile donc de se plonger dans ce qui semble finalement n’être qu’une coquille vide.

    D’ailleurs le fossé entre les deux genres se remarque aussi bien dans les répliques que dans le choix des acteurs. Voir deux jeunes têtes d’affiche que sont Channing Tatum (qui atteindra sa renommée avec 21 Jump Street mais pour le moment, il doit se contenter de G.I. Joe : le Réveil du Cobra) et Jamie Bell était risqué. Sans doute un bon choix pour ce qui est de renforcer la personnalité de leur rôle respectif. Mais en ce qui concerner leur allure, c’est autre chose : les deux s’amusent, par moment, à jouer les mecs badass et nous balancent donc à la figure des phrases que nous aurions préféré entendre de la bouche d’un Stallone ou d’un Schwarzy. Ce qui rend, au final, certains passages assez ridicules (notamment le dernier plan, où nous les voyons de dos, marché tout en balançant les épaules comme des caïds). Ainsi, tout le réalisme instauré par la mise en scène en prend un coup, l’ensemble perdant toute crédibilité.

    Et là où L’Aigle de la Neuvième Légion n’arrive pas à tenir la distance, c’est par l’usage mal calibré de son petit budget. Si nous avons des accessoires et costumes réussis, ce qui nous apparait à l’écran témoignent du manque de moyens. Notamment quand le film se lance dans des batailles qui se veulent énergiques, mais qui se font sans une seule once de spectaculaire (le nombre de figurants étant déjà assez limité). Attention, je ne demande pas spécialement que ça explose dans tous les sens (en même temps, difficile d’avoir de telles séquences dans un péplum) ! Juste qu’il y ait un sentiment de grandeur qui se dégage dans ce genre de scène. Ce qui, vous l’aurez compris, manque cruellement à ce long-métrage.

    Ce qui irait le mieux à L’Aigle de la Neuvième Légion, c’est l’appellation de docu-fiction. Tant le film ne cache pas son manque de moyens et se montre bien plus pédagogue qu’autre chose. Et ce même s’il veut aller en faveur de l’action par moment. Le problème reste que l’on s’ennuie facilement, que l’on se désintéresse rapidement du film à cause de sa platitude et de son manque d’envergure. Comme si nous venions d’assister à un reportage lors d’une visite de musée. Un comble pour un expert en documentaires et en bons films. Pour sa quatrième réalisation, Macdonald fait chou blanc !
    yayo
    yayo

    65 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 décembre 2011
    A la base je n'aime pas trop Tatum, donc je partais avec un a priori négatif. Finalement on est loin de la bouse à laquelle je m'attendais. Le début est même plaisant, même si Tatum ne brille pas par un charisme légendaire. La deuxième partie aurait nettement gagnée à avoir plus d'ampleur (manque de moyens?), surtout vers la fin où ça devient du n'importe quoi. Cela dit ça reste regardable.
    ElBlasio
    ElBlasio

    35 abonnés 324 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mai 2011
    The Eagle aurait pu être une excellente aventure sur fond de décadence de l’empire romain. La mise en scène est intense, violente et immersive, l’aventure est passionnante, avec notamment l’épopée intérieure propre aux personnages (on lorgne clairement sur Apocalypse Now) et le casting bien trouvé. Néanmoins, on sent que McDonald est clairement en porte-à-faux avec la composante « commande » du film. En effet, on sent qu’il aurait quelque chose à dire quant à la définition de la barbarie par rapport à la civilisation… mais que nenni, hormis quelques vagues tentatives, le film est complètement alourdi par un discours lourdingue sur la rédemption et l’honneur retrouvé. Du coup, on a une vague impression de voir « la chute de l’aigle noir », et ça c’est un peu balaud tout de même.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 435 abonnés 7 566 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mai 2011
    Aussi original que cela puisse paraître, c'est Kevin Macdonald (Le Dernier roi d'Ecosse - 2006) qui se retrouve aux commandes de ce péplum, bien plus réussit que Centurion (2010), réalisé quant à lui par Neil Marshall et exploité en sortie technique. Adapté du roman éponyme de Rosemary Sutcliff (publié en 1954), l'originalité du film (sur fond de barbaries entre les romains et les anglais, qui résistèrent envers et contre tout face à un envahisseur près à tout pour assouvir sa suprématie) c'est que derrière cette histoire se déroulant en 140 après J.-C., c'est toute une métaphore sur l'impérialisme américain, comme là si bien dit Kevin Macdonald dans une interview, les jeunes américains se désintéressent totalement des films sur l'invasion en Irak ou en Afghanistan, afin d'y remédier et de créer un semblant d'intérêt, il faut situer l'histoire autrement et c'est ainsi qu'il a eu l'idée de réaliser L'Aigle de la Neuvième Légion (2011). Si la mise en scène nous empêche de profiter pleinement des scènes de batailles (mal cadrés, trop rapides et donc difficilement regardables), fort heureusement, au niveau de la distribution, c'est plutôt réussit, avec dans les principaux rôles, l'américain Channing Tatum, le britannique Jamie Bell et le français Tahar Rahim (méconnaissable).
    L'ensemble fonctionne plutôt bien et nous réserve un agréable divertissement, avec en prime une leçon d'Histoire !
    moket
    moket

    547 abonnés 4 359 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 août 2011
    Dans le genre péplum ou film d'aventure, le film n'apporte rien de neuf. Côté scénario, c'est archi prévisible. En revanche c'est un divertissement plutôt bien fichu qui bénéficie d'une belle réalisation et d'un casting convaincant.
    Nyns
    Nyns

    221 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 novembre 2015
    Un péplum c'est toujours l'occasion d'admirer de grandes scènes de guerre historique et une logique d'aventure et de bestialité humaine unique et propre à l'ère romaine. Ce n'est pas que cet Aigle est mauvais, s'inscrivant dans une logique moins sanguinolente que la plupart des péplums du XXIème siècle, c'est juste le désintérêt total face à cette histoire de reconquête de l'honneur. En gros, pas passionnant pour un sous (un sesterce pour être exact). Les images et les plans sont globalement beaux, la musique est bien choisie aussi, mais ne parviennent pas à rendre cette épopée notoire. Channing Tatum je n'apprécie pas forcément, c'est l'américain moyen adulé par les américains moyens quoi, qu'est-ce qu'il vient faire à endosser un rôle de centurion romain? Ah oui les muscles. Enfin je suis médisante, c'est moins pire que ce dont je m'attendais. Jamie Bell, mon Billy Elliot pour toujours, s'en sort assez bien. Bref, la bataille finale avec les barbares celtes est ridicule, je veux bien plus miser sur l'humain que le spectaculaire, mais il faut quand même que ça fonctionne un minimum. Une amitié glorieuse entre un centurion et un esclave breton, mouais... Le niveau du dernier échange verbale conclut bien la qualité du film, pas exceptionnelle.
    GodMonsters
    GodMonsters

    1 314 abonnés 2 645 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 octobre 2011
    Pas terrible ce film ! Le casting a du mal à convaincre (surtout Channing Tatum, d'habitude il s'en sort beaucoup mieux), le scénario est peu prenant... et j'ai détesté la fin. Heureusement, il y a de bons décors et quelques scènes qui sortent du lot. Mais dans l'ensemble, c'est pas indispensable, loin de là !
    petitbandit
    petitbandit

    95 abonnés 636 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mai 2011
    un bon péplum avec de très bonnes scènes d'actions et une mise en scène convenable. Les acteurs sont très bons et on passe un agréable moment. Reste l'inévitable déluge patriotique, chevaleresque exacerbé à outrance ce qui nuit à l'image du film. Les valeurs de courage extrême, de sacrifice : on est bien à Hollywood....Enfin, un péplum en anglais, pas c'est pas top quand même.
    PhilippeToile
    PhilippeToile

    47 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 mai 2011
    Un an après le très intéressant Centurion, nous voici replongé dans les Highlands écossaises où les légions romaines s’embourbent militairement et politiquement, à l’image d’une actualité géopolitique bien brûlante. Mais ce nouveau péplum ne vaut pas le précédent avec des scènes de combat qui sentent les coupures budgétaires, et des personnages sans grand relief. Le jeune héros qui veut réhabiliter la mémoire de son père général vaincu par les barbares, brille par sa bêtise mâtinée de naïveté. Le regard éteint de Channing Tatum en renforce le vide sidéral. Restent malgré tout de belles images de landes désertes, et un clin d’œil appuyé aux grandes questions de politique internationale d’aujourd’hui.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 mai 2011
    L'accroche de ce film peut sembler attrayante. Las : c’est du mauvais Rambo transposé sous l'empire romain. Perfusé à la testostérone de synthèse. Lourdement épicé de valeurs morales : honneur, force, combat, etc. Là encore, le scénario est perclus de scènes superflues qui ralentissent le rythme.
    The Claw
    The Claw

    67 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 décembre 2015
    Un petit péplum qui se laisse regarder. Pas grand chose à en dire, c'est assez classique, ça ne laissera pas une trace impérissable dans l'histoire du cinéma, mais ça passe le temps. Le jeu d'acteurs est quand même un peu étrange parfois : c'est limite mais bon, ça passe on va dire.
    Ciné2909
    Ciné2909

    73 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mars 2014
    Attention, on serait tenté de croire qu’avec L’aigle de la 9ème légion on allait assister à un de ces péplums de la veine d’un 300 ou Le choc des Titans mais on est bien loin du compte. Les 20 premières minutes et quelques petites scènes par la suite mis à part, le film de Kevin Macdonald ne joue pas la carte du spectaculaire mais propose plutôt une profonde introspection du personnage de Marcus. Avec cette quasi-absence d’action, l’ombre de l’ennui plane donc au dessus des spectateurs malgré les belles prestations de Channing Tatum et notamment de Jamie Bell. On adhère difficilement à l’histoire de cette quête personnelle et on ne peut alors que constater les longueurs de ce film.
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