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ferdinand75
564 abonnés
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2,0
Publiée le 17 septembre 2017
Un film qui doit beaucoup à la très bonne interprétation de Nathalie Portman, qui sait jouer sur tous les registres. Mais le scénaio est faible,et donne parfois un air de "déjà vu". La réalisation est un peu poussive manque de souffle.
Un drame touchant sur le deuil et les relations familiales. Natalie Portman est excellente dans le rôle de cette jeune mère mal aimée qui a perdu son bébé, Charlie Tahan joue bien le rôle de son beau-fils, Scott Cohen livre une bonne prestation dans le rôle du père et Lisa Kudrow assure bien dans le rôle de l'ex-épouse rongée par la colère.
The Other Woman est de loin une histoire particulièrement touchante, mais le film tient sur trop de longueurs. Les personnages dont le rôle de Nathalie Portman sont attachants, mais la réalisation n'affirme pas ses convictions : trop pâle, trop américanisée, le film perd peu à peu du crédit, face à la méchante ex-femme. Pourtant, The Other Woman pouvait compter sur un scénario plutôt bien exploitable, et toucher le public. Mais, il n'en a rien été !
Sorti dans l’indifférence générale dans l’hexagone au début de l’été et sous la forme d'un DTV, Un hiver à Central Park (2009) pouvait difficilement bénéficier d’une exploitation en salles à cause de sa trop grande ressemblance avec Rabbit Hole (2011), dont tous les deux traitent pour sujet principal du deuil d’un enfant et la culpabilité que les parents peuvent ressentir. Adapté du roman "Love and Other impossible pursuits" de Ayelet Waldman, le film d’une durée de 90 minutes est d’un pathos prévisible, typiquement le genre de film à faire pleurer dans les chaumière, le film Kleenex® par excellence, plombé par une mise en scène amorphe et qui peine à nous tenir en haleine jusqu’au bout. Ce qui aurait pu être une émouvante réflexion sur la perte d'un enfant, se transforme en réalité en un banal téléfilm de luxe (à cause de sa distribution qui convie des stars Hollywoodiennes dont Natalie Portman & Lisa Kudrow). Le film n’offrant absolument rien d’original au genre, on pourra aisément s’en passer et plutôt regarder Rabbit Hole (dont le jeu des acteur mérite amplement le détour).
Un excellent film familial. Le début : Emilia (Natalie Portman) a craqué pour Jack, père de famille. Elle tombe enceinte de lui et réussit à briser son mariage avec Carolyn, mère de William. Emilia perd son enfant trois jours après sa naissance, et le film montrera comment elle réussira à surmonter cette épreuve, comment elle essaiera de bien s'entendre avec son beau-fils. Les dialogues sont constructifs et parfois poigants (je pense notamment aux scènes concernant les détails sur la mort du bébé), ils ne ressemblent pas à ceux des films du même genre, le scénario écrit par Don Roos (Le diable s'habille en Prada, Marley & moi) a réussi à me toucher. Le film aurait pu éviter le cliché énervant de l'ex-femme qui passe pour la méchante, mais l'excellent jeu de Natalie Portman m'a vite fait oublier ce détail. Le film est globalement un bel exemple de tolérance, de pardon, d'acceptation, et en plus, la bande originale est géniale. A voir à l'occasion, surtout si vous appréciez Natalie Portman !
Une comédie new-yorkaise qui ressemble à tant d’autres, avec de jolies vues de Central Park et de bons sentiments. Le film est construit autour du personnage d’Emily, jeune femme triste dont on comprend peu à peu les états d’âme à travers des retours en arrière éclairant son histoire et sa vie de couple. Dans ce rôle clé, Natalie Portman se montre bouleversante, promenant son visage botticellien et sa silhouette fragile dans un Central Park glacé comme son cœur, aux couleurs hivernales de deuil. Auprès d’elle, le jeune Charlie Tahan est plein de naturel et lui offre une réplique plus que convenable. Par contre, Scott Cohen, dans le rôle masculin principal, est bien top mièvre et passe souvent à côté des aspects essentiels de son personnage. La mise en scène de Don Rooos est conventionnelle, comme il se doit pour un tel produit dont la vocation n’est pas de surprendre mais d’émouvoir. Regrettons toutefois un surcroît de bavardages et un aspect moralisateur un peu trop marqué pour détacher ce film de tous ceux de sa catégorie.
Une comédie tellement niaise qu'elle donne envie de s'arracher un bras et de s'étrangler avec, même Natalie Portman ferait mieux de se reconvertir en vase pour Monceaux Fleurs... Y en a marre de ses histoires d'amour à la noix sans émotions et sans talent.
Natalie Portman est une des deux actrices actuelles qui fait le plus battre mon petit cœur, donc pas la peine de préciser que je la trouve sublime, que c'est une véritable caresse pour les yeux que de la regarder, etc... et que donc j'ai visionné ce film uniquement pour elle. Autrement ce drame est assez conventionnel, a tendance à partir inutilement sur plusieurs sujets au lieu de bien se focaliser sur un, mais n'est pas désagréable d'autant plus que les acteurs dans l'ensemble, en particulier bien sûr la belle Natalie et à l'exception de Scott Cohen aussi charismatique que de la pâte à tartiner aux noisettes qui ne soit pas de la marque qui commence par un N, sont très bons.
Vade mecum niaiseux à destination des futures belles-mères, "Love and other impossible pursuits" représente en quelque sorte ma bête noire cinématographique. Dégoulinant de bons-sentiments, perclus de clichés psychanalytiques, prévisible quant à son scénario, sénatorial dans son rythme... j'ai du mal à trouver quelque valeur que ce soit à un tel film. Voir la belle et talentueuse Natalie Portman ? Certes, seulement cette satisfaction est contre-balancée par la déception Scott Cohen. Ce dernier se révèle étrangement transparent. L'explication peut être double. Soit je fait montre d'une jalousie telle qu'elle fausse ma perception de son impressionnant jeu d'acteur. Soit il ne dégage effectivement rien. Toujours est-il que voir "Un hiver à Central Park" s'est avéré être un long chemin de croix, et que le générique de fin fut une délivrance sans nom.
Un film dramatique un peu longuet, un peu trop bavard et plutôt confus. Les rebondissements sont trop nombreux, on se perd assez vite dans cette histoire complexe qui méritait un meilleur traitement et une mise en scène plus dynamique. Malgré l'impeccable interprétation, on s'ennuie et on ne se passionne pas. Même les émotions ont du mal à venir!!
Un film tout en délicatesse, parcouru de douleur et d'espoir. Ce film est un recueillement devant toutes sortes de deuils, de pertes, d'incompréhensions, d'injustices. A travers le drame d'une famille recomposée se dessine en effet la difficulté (si répandue) d'affronter ce à quoi nous devons renoncer, et ce que nous devons bâtir ou rebâtir. Divorces, deuils, dans tous les cas des séparations, secrètes ou avouées, pour un film qui lie subtilement l'intimité de ses personnages : famille recomposée, ex-femme, parents, collègues de bureau, tous portent les marques de la vie. Ce qui fait de Love and other impossible poursuits un film particulièrement émouvant, voire parfois éprouvant étant donné son sujet principal. Bouleversante, Nathalie Portman porte littéralement ce film, dans son rôle de jeune mère/belle-mère/nouvelle compagne/fille blessée. A la fois lumineuse, déboussolée, amoureuse, patiente, peste déterminée, etc., elle est toujours juste et juste parfaite.
Un bon drame sur la mort subite du nourrisson et ses conséquences, ainsi que sur les familles recomposées, ce qui donne un cocktail détonant. Natalie Portman est parfaite dans ce rôle, et le film se laisse regarder, avec une belle pointe d'émotion lorsque Lisa Kudrow lui annonce qu'elle n'a pas pu tuer son bébé.
Un film suffisant pour passer une soirée au chaud. La tendresse est à l'honneur et on ne peut pas s'attendre au rebondissement. Natalie Portman est touchante presque troublante de sincérité.