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seblecaribou
38 abonnés
585 critiques
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3,0
Publiée le 14 septembre 2011
Un film de vampires assez différent pour que déjà on s'y intéresse. C'est rare, je le souligne. L'intrigue met en scène les vampires comme la race dominante et non comme un mythe marginal; une race dominante qui court à sa perte à force de presser l'humanité sur le bord de l'extinction comme un citron.
Le postulat est donc vraiment bien vue. Après la fin de l'humanité que reste-il? Alors certes on pourra dire que finalement l'intrigue va rapidement tournée de manière facile, mais franchement une dystopie sur le vampirisme ça m'a bien fait délirer d'autant que c'est vraiment bien filmé et que la photo est très soignée.
Pour moi la vraie faiblesse du film est d'abord un léger manque d'ambition pour le scénario qui aurait pu se révéler bien plus intelligent dans le déroulement, mais surtout et c'est bête à dire, une valeur de production un tout petit peu faible en comparaison des envies du réalisateur. Malheureusement le film aurait gagné à être fait à la mode Tom Savigni dans les année 80 avec un meilleur budget.
Pas aussi mauvais que ce à quoi on pourrait s'attendre. Le scénario est plutôt bien vu partant du principe que les vampires sont désormais majoritaires et qu'ils représentent la norme, ce sont aux humains de se planquer pour éviter de servir de gibier, ce à quoi s'ajoute un épuisement des ressources : métaphore très pertinente ! L'image est également très travaillée dans un univers assez proche d'Underworld, bien que son propos soit plus contemporain. Le film aurait sans doute gagné à privilégier le côté science-fiction plutôt que le côté horreur qui le dessert à mon sens. La fin de film est ainsi assez désopilante, sorte de trash-movie ultra-sanglant. Ici l'argent est roi, dans "Daybreakers" c'est le sang.
chef d'oeuvre total. DAYBREAKERS est sans doute l'un des film de vampire les plus réussi qui j'ai pu voir: monde apocalyptique qui parait plutôt peuplé par des vampires au départ mais qui tourne au désastre après que les réserves de sang soi en ruptures de stock, ont apprend par la suite qu'un groupe d'humain survivent depuis des années dans des cachette secrètes. action, suspense, survie, tentative de trouver un remède. les acteurs sont excellent donc un acteur de légende: Willem Dafoe connu principalement pour son rôle du bouffon vert dans la trilogie spider-man de Sam rami.
Ce n’est pas trop mal. J’ai bien accroché à l’histoire que j’ai trouvée originale. L’ambiance, l’esthétique générale du film ont réussît à me happer jusqu’au bout. Il y a tout de même quelques incohérences, quelques raccourcis scénaristique et surtout du gore trop gratuit pour moi, c’est dommage…
Le scénar tient sur un papier Krema mais pourquoi pas ! Daybreakers passe vite, trop vite du coup on n'a l'impression qu'il n'y a aucune profondeur. Un format série courte de 13 épisodes de 40-45' chaque aurait été préférable car l'histoire et le traitement vampirique sont quand même sympathique. A voir pour sursauter une ou deux fois et s'insurger que les vampires fument.
Il est peu habituel de voir Ethan Hawk dans ce genre de film. Histoire de vampires aux moyens limités mais qu'on regarde facilement et sans ennui aucun. Casting intéressant
Un film plus original que les autres films basiques sur les vampires plutot réussit et plus saignant que prévu ... à voir très sympa mais ames sensibles s'abstenir !
Depuis le foutraque mais rigolo Undead, on était sans nouvelle des 2 frangins australiens. Et ils reviennent avec un film de vampire à petit budget mais avec un casting en béton. Le résultat est inégale mais sympathique. Beaucoup trop court, Daybreakers aurait du durer 30 minutes en plus ce qui lui aurait permis de développer ses personnages ou ses enjeux surtout que son univers est particulièrement intéressant (dans un monde qui se rapproche de la fin de "Je suis une légende" ou l'humanité a fait place aux vampires) et possèdent 1000 idées originales et accrocheuses. Tour cela est sans doute du à une question de budget tout comme certains effets numériques franchement limites. Mais malgré ça, sur certaines scènes, le film sent bon la série b sérieuse et divertissante à l'image d'un final sanglant et réussie prenant à contre pied le mythe du vampire.
Savoureux mélange entre thriller, horreur, anticipation, science-fiction, ce film est un exemple de ce qu'aurait dût être I am a Legend et Blade Trinity. On est directement plongé dans l'action, on n'a pas d'explications directes des évènements qui ont conduit à ce futur chaotique (infection dut aux chauve-souris, désirs d'immortalité et de survie...). Ici tout est mis en oeuvre pour nous faire croire à cet univers dominé par les vampires, qui n'est pas si différent du notre. Exit manoir, cercueil, gousse d'aïl, mis à part le pieu et les rayons du soleil, ils vivent désormais dans des appartements et des pavillons de banlieue dont les fenêtres occultent la lumière. Ils travaillent, prennent le métro et en dehors de leur régime alimentaire et de quelques détails physiques rien ne les différencient des êtres humains (miroir-video pour que les vampires voient leurs reflets, voitures avec vitres teintés anti-UV équipés de caméras, le sang humain comparé a du vin de grand cru, la pénurie de sang et ses conséquences est comparable à la crise économique, histoire d'amour fraternel...) Ce film est porté par un casting des plus intéressant vu qu'il ne comporte pas de grandes stars mais des has-been: Sam Neill en vampire business-man rejetant ses émotions, Ethan Hawke en ersatz d'Angel désireux de sauver l'huminaté, Willem Dafoe en caricature de chasseurs de vampires et Isabel Lucas qui sert encore une fois de faire valoir. Un soin a été porté à l'esthétique, mais que les fans de gore se rassurent le gore, la violence et le sang ne sont pas exclus. Les seuls défauts sont que le film est trop cérébral ce qui exclus tout le côté fun, et certaines idées ne sont pas assez aprofondies, Daybreakers aurait mieux convaincus en portage série afin de mieux les exploitées. Mais il est agréable à regarder, et on sent que l'on a pas perdu notre temps. Ma note: 8/10
C'est décevant ! L'univers visuel est magnifique aussi bien les décors que la photographie. L'histoire est vite lassante et l'ennui arrive rapidement malgré une histoire qui aurait pu être prometteuse. Effectivement, les rôles sont inversés puisque ce sont les vampires qui sont puissants. Mais l'histoire est mal traitée et vraiment pas terrible avec une fin bâclée et les nouveaux personnages apparaissent trop tardivement. Et puis ça n'a rien à voir ni avec "Matrix", ni avec "28 jours plus tard"...
Pas trop mal. C'est la 1ère fois que je vois dans l'univers des vampires une histoire qui s'intéresse à l'avenir de ces bebettes aux dents longues dans le cas d'un envahissement total de la planète. Les décors, l'atmosphère, bref la réalisation est soignée, le casting à la hauteur et le scénario crédible. Par contre, la seconde partie avec la découverte de la solution est un peu trop légère et casse le bon rythme du début...
Reprenant tous les vieux mythes du genre (soleil, pieux, aucun reflet dans le miroir, …), "Daybreakers" innove cependant en faisant se dérouler l’action dans un futur où les vampires représentent 95% de la population et rencontrent de plus en plus de problèmes à trouver du sang. Cette nouvelle histoire de vampire arrive d’ailleurs très bien à intégrer ce monde futuriste et le fait qu’au final ces vampires se comportent comme des humains révélant presque une satire de notre monde. L’action multiplie les effets gores jusqu’à ce demander si les vampires ne deviennent pas cannibales et la bande-originale quoique très classiques reste néanmoins sympathique. Ethan Hawke offre une bonne performance tout comme le trop discret Sam Neill mais l’énorme déception de ce casting reste William Dafoe qui se montre bien loin de son meilleur jour sans doute à cause des dialogues vraiment mauvais de son personnage. Si certaines choses restent intéressantes, "Daybreakers" n’arrive pas à décoller et s’en trouve bien moins passionnant, dommage.