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Zorrine
41 abonnés
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3,5
Publiée le 13 février 2016
Un péplum qui a malheureusement vieilli par moments spoiler: ( notamment la scène bataille avec les navires, qui n'est pas franchement claire. Je croyais que les romains étaient vainqueurs jusqu'à ce que je les voie sur les planches) mais qui se laisse regarder sans déplaisir. Les acteurs jouent bien, et l'histoire est assez captivante. Ce n'est pas un des meilleurs péplums, mais ça reste sympathique.
Bon film avec belle histoire, beaux décors et bon casting mais ruiné par les interprétations calamiteuses des deux franchouillards de service qui sont peu inspirés. Ils sont si mauvais (voix d’alcooliques, dialogues idiots, aucun charisme) que sa nous fait décrocher du film. De plus chacune de leurs interventions ne fait qu'accentuer les nombreuses incohérences du scénario. Dommage car les autres acteurs sont plutôt convaincants, mention spécial aux actrices et à Terence Hill.
Même si loin des tartufferies du Hollywood de l’époque, dès le début la scène de l’immolation d’Anne Heywood ne cache pas grand chose de son anatomie si ce n’est son mini slip noir, nous sommes loin de la puissance érotique de la danse de Gina Lollobrigida dans “Salomon et la reine de Saba�. Comme souvent dans le péplum européen ce qui frappe dans “Carthage en flammes� du vétéran Carmine Galonne, ce sont d’immenses qualités, mais de terribles ratés. En tête un excellent casting avec Anne Heywood, Daniel Gélin et Terence Hill, gâché par un Pierre Brasseur aussi incongru qu’un salami au milieu d’une boite de caviar beluga. Un début et une fin de la bataille navale reconstituée avec beaucoup de soin mais dont le déroulé incompréhensible fait que l’issue semble parachutée. Une prise de Carthage spectaculaire, mais qui vient après des batailles trahissant un manque de moyens évidents (à peine plus nombreux mais aussi bordeliques que des équipes de football australien), donnant l’impression que la majorité du budget est passé dans les décors. Enfin un scénario intéressant mais avec un travail sur le script inexistant, vu le nombre d’incohérences qui apparaissent ci et là. Mais surtout une absence de fond digne d’un roman photo, le thème et fil conducteur du film se résumant à deux esclaves aimant le même soldat et deux soldats aimant la même esclave. Le Hollywood des années 60 offre un autre fond (Ben-Hur, Spartacus, Cléopâtre, La chute de l’empire Romain) et une forme souvent irréprochable (même si la Rome des trois premiers cités correspond à celle dont la reconstruction débutera sous Néron soit entre 30 et 60 ans plus tard). Si “Carthage en flammes� se laisse voir avec un certain plaisir, ce n’est pas sans agacements.
Le début semble prometteur et le casting plutôt riche mais le scénario et la réalisation se transforment rapidement en bouillie assez peu digeste. Un film d'un intérêt bien inférieur à ce qu'on pouvait en attendre.
Ce péplum ne vaut évidemment pas Spartacus, Ben-Hur ou encore Hélène de Troie, souffrant d'un scénario assez bancal, d'acteurs un peu fades, surjouant par moments et aussi d'une musique envahissante. Toutefois, il se regarde sans déplaisir et offre un moment plutôt sympathique.
Batailles, intrigues politiques et amoureuses dans Carthage assiégé par les romains. Bon péplum joliment mis en scène par Carmine Gallore. Un casting amusant réunis Pierre Brasseur, Daniel Gelin en méchant sadique joué avec beaucoup de plaisir, et un certain Mario Girotti plus connu sous le nom de Terence Hill.