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Mosse.
96 abonnés
445 critiques
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3,5
Publiée le 22 juillet 2010
Fight Club étant mon film préféré, je me suis jeté avec beaucoup d'espoir sur ce film ( qui a, de plus, l'excellent et trop peu employé Sam Rockewell ), dont l'histoire s'inspire d'une oeuvre de Chuck Palanihuk, auteur de, justement, Fight Club ! Dès le départ en sent la patte : Voix Off, personnages géniaux, intrigue et sous-intrigues intéressantes ( il serai le fils, par fécondation, de Jésus-Christ ! )... Mais par la suite, ça se tasse, malheureusement. L'histoire devient trop conventionnelle et les personnages trop habituels, dommage... Mais le film en lui même reste bon, et est à voir, ne serait-ce que pour la prestation de Rockwell, encore une fois mémorable !
Ah moi aimer Sam Rockwell, il est juste excellent dans ce film, dont j'ai aimé l'histoire délirante et totalement décalée. J'espère juste que le livre se trouve à ma médiathèque !!
Clark Gregg tire l'essentiel du roman de Chuck Palahniuk mais le passage à l'écran manque d'inventivité, de politiquement incorrect et de passages complètement barrés. L'acidité du bouquin s'est envolée malgré la fidèle transposition qu'en a fait le réalisateur. Peut-être Gregg aurait-il du s'approprier plus le livre comme l'a fait Fincher avec "Fight Club". Reste un bon film porté par Sam Rockwell et de très bons moments. Si vous avez lu le livre, vous risquez d'être déçu, sinon vous pourrez être charmé.
Rien de vraiment subversif ou de réellement dérangeant dans cette comédie dramatique matinée de romantisme. Cette opposition de tons met à plat d'ailleurs tout ce qui de loin apparaît risqué et qui de plus prêt s'affiche comme un simple outil racoleur... un compromis dicté par une nécessité commerciale au mieux. L'exercice est poussif pour le spectateur qui comprend que le film est d'emblée délimité par des frontières de pudibonderie.
J'avais lut le livre dont est tiré le film , sa donnai plutot un bon materiel de base c'est vraiment domage que l'ont sente que le budget deriere le film ne suis pas vraiment , le realisateur fait preuve de bonne volonté mais encore d'une trop grande inexpérience , heureusement les acteur arivent a ratrapé cela en partie , un film avec un super potentiel malheureusement sous exploité .
Sam Rockwell en pleine forme et au sommet de son talent, il a du génie pour les rôles d’escrocs attachants et décalés, sa tendresse pour sa maman est sublime, il est dévoué car elle lui a tout appris, sauf son addiction au sexe… Son pote Brad William Henke est aussi en grande forme, les deux font la paire; que ce soit dans les réunions d’obsédés anonymes ou dans le parc historique, ils sont vraiment tordants. La cerise sur le délire est attribuée à Anjelica Huston, une prestation extravagante, une personnalité hors norme, entre Alzheimer et simulation. Elle va trimballer le fiston jusqu’au bout, elle est juste géniale, avec caractère et tendresse. Kelly Macdonald est un jeune médecin plein de surprise et de plus une jolie comédienne.
Le scénario est un petit bijou de déconnade en tout genre et un vrai moment de cinéma. Clark Gregg est un bon comédien mais semble très doué pour la réalisation, on attend son prochain film.
Pour un premier film le réalisateur s'attaque à gros si gros qu'il noie son film tellement qu'ils y a différentes choses qui se passent sans cohérence ni naturel.
Là où Chuck Palahniuk dépeignait le portrait d'un homme au bout du rouleau qui s'adonnait à des pratiques peu louables pour pimenter sa vie tout en essayant de lui donner un sens, Sam Rockwell incarne une espèce de guignol sans scrupules. Et là où l'auteur parvenait à livrer une critique sociale censée au travers des traits pathétiques de son héros, Clark Gregg vise le drôle par le grotesque et enlève par conséquent tout son sens au scénario, qui devient du coup lourdeau et sans intérêt.
(...) Au final, Choke n’est pas un navet à proprement parlé, il est simplement le constat que réalisateur est avant tout un métier qui n’est pas destiné à tous. Personne ne peut devenir réalisateur du jour au lendemain sur un coup de tête. Ou si, tout le monde peut le devenir mais risque de donner naissance à un film qui est à l’image de Choke : décrédibilisé dès le départ à cause d’une mise en scène décousue, d’un rythme monotone et d’une hésitation permanente quant à l’engrenage scénaristique du film. Alors, adapté un roman de Chuck Palahniuk n’est certes pas une chose facile mais des réalisateurs comme David Fincher y sont parfaitement parvenus. Néanmoins, pas de miracle, pour y parvenir avec brio encore faut-il avoir le talent nécessaire à ce succès. A bon entendeur… (critique complète sur : http://www.leblogducinema.com/2009/11/05/critique-choke/)
Choke est l'adaptation du même nom de Chuck Palanihuk. L'adaptation de Fight Club sur grand écran était déjà un succès et malgré que le maître Fincher ne soit pas également au commande de celui-ci il en demeure pas moins aussi intelligent que son ainé. Le film en lui même est assez fidèle au roman qui pourtant n'était pas simple à être adapté sur grand écran et pourtant c'est un pari plus que réussi, une énorme surprise trop méconnu, on retrouve un peu les personnages et l'atmoshpere de Fight Club, c'est simplement très bon. Parfois touchant puis hilarant un mélange de sentiment qui offre une oeuvre de très grande qualité. J'aime l'originalité du scénario, les personnages loin de tous les stéréotypes que l'on nous sort, la performance de Sam Rockewell, la voix off qui nous rappelle "Fight Club", enfin bref j'adore.
Combien Palaniuk dut être heureux quand il vit Fight Club, le travail de réalisation de Fincher constituant une impressionnante et inspirée adaptation, gageons que face à ce Choke, Palaniuk n'a pas du éprouver le même enthousiasme tant on a ici affaire à une production des plus sages sur le plan formel, le choc n'est pas là et pourtant, et pourtant... l'adaptation est néanmoins réussie, Rockwell incarne à merveille une figure désabusée et le film file sans temps mort en égrennant là de l'absurdité, ici la fragilité touchante du héros, là le folklore urbain des addicts (on retrouvera d'ailleurs à mon avis une géographie et des figures commune à celles de fight club: les réunions de gens à problèmes, les étreintes rassérénantes d'anonymes)... une fibre réaliste plutôt bien rendue, tout en dispensant humour et vécu.
Un film qui, hormis l’excellente prestation de Sam Rockwell, est d’une platitude extrême, due à une réalisation bancale et peu inspirée qui lasse rapidement. Le sujet aurait mérité d’être beaucoup mieux traité.