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oranous
142 abonnés
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1,0
Publiée le 11 février 2009
J'ai bien fait de ne pas aller le voir au cinema, c'est typiquement, le genre de film que je n'aime pas. Un humour graveleux a la "américan pie" en un tout petit peu mieux et encore !! Tout est vide, l'intrigue ne passionne pas et on ne s'attache pas du tout a ce personnage antipathique. Et puis, je ne sais pas ce que vous trouvez tous a Sam Rockwell mais il ne faut pas exagérer. Vous l'encenser tous comme s'il avait frôlé l'oscar, le césar et la palme du meilleur acteur mais je ne le trouve pas extraordinaire. C'est finalement, un film plat dans lequel on s'ennuie, car l'humour qui devrait être présent fait un flop et l'histoire n'est pas intéressante et c'est dommage quand on sait que c'est tiré d'un bouquin de Chuck Palahniuk qui avait déjà écrit l'excellent Fight Club.
A ma connaissance Choke n'est que le second bouquin de Palahniuk adapté au cinéma, il faut croire que ses intrigues habituelles sont trop complexes (et tordues) pour les spectateurs... Le film ne bénéficie pas de la qualité de mise en scène de son "ainé" Fight Club (n'est pas David Fincher qui veut), ni de sa violence et de son nihilisme, mais demeure excellent : intelligent, hilarant, caustique et subversif, avec une interprétation parfaite et un script intéressant et cohérent. Ca se fait rare à Holywood (ça l'a toujours été d'ailleurs je crois).
Il s'agit là d'une des pires adaptations de l'histoire du cinéma. Quand on connaît l'oeuvre de l'auteur et qu'on voit le chef d'oeuvre qu'en a fait Fincher avec Fight club (il n'y a qu'a comparer les scènes dans les réunions entre fight club et choke) on a envie de jeter des légumes pourris sur son écran en voyant ce qu'en fait ici le réalisateur (si on peut appeler ça un réalisateur). On ne croit pas deux secondes à l'histoire, on ne croit pas deux secondes à la folie de la mère qui joue comme une mauvaise amatrice, l'essentiel de la profondeur du livre (scène dans l'avion par exemple) n'est pas du tout retranscrite à l'écran.
Pourquoi avoir voulu faire d'un livre dont l'histoire est souvent grave une comédie romantique pourrie que même une chaîne de la tnt n'a pas racheté pour ses troisièmes parties de soirée. Qu'elle immense déception pour le lecteur que je suis !
Pour résumer il s'agit la d'un très très mauvais téléfilm fait pourtant à partir d'un livre qui mérite d'être lu !
Si l'affiche bicolore vous à séduit, il faut faire attention, car le film est loin d'être aussi beau que ce qui lui sert de promotion. Le fait que le film soit adapté d'un roman de l'auteur de fight club n'en fait pas obligatoirement un bon film. Si fight club avec son second (ou troisième) degré avait réussit à diviser la critique, Choke lui ne choque pas, il est vide, sans âme.
Choke marque ostensiblement la différence avec la précédente adaptation d’un roman de Palahniuk – Fight Club. En travaillant la violence inhérente au propos et la forme cinématographique nécessaire pour la porter, Fincher pouvait bénéficier d’un soutient budgétaire des producteurs sans nul autre pareil, à la différence de Clarck Gregg qui héritait d’une thématique principale indésirable et tabou dans le cinéma d’outre-Atlantique, même indépendant ; le passage par la comédie s’avérait donc absolument nécessaire si l’on voulait récolter l’assentiment public et critique – remarquons d’ailleurs que la plupart des réussites indépendantes américaines héritent de cette forme. Cependant, cette même forme provoque irrémédiablement la suppression de la diversité thématique du roman ainsi que la perte définitive de crédibilité qu’en aux éventuelles tentatives de les hisser hors du néant comique et second degré afin de leur offrir une existence propre. En résulte une comédie particulièrement bien interprétée – saluons le choix judicieux et la performance de Sam Rockwell, en parfaite adéquation avec l’univers palahniukien – héritant du style visuel du cinéma indépendant US, qui annihile malheureusement un des chefs-d’œuvre de la littérature américaine contemporaine par ses choix préjudiciables de réalisation – néanmoins nécessaires, puisqu’on le sait, le Nouveau Monde et sa morale bien-pensante préfère se goinfrer violemment de sang plutôt que d’avoir a apercevoir furtivement une poitrine féminine dénudée sans hurler à gorge déployée « Restricted ! »
Sorti en 2008, "Choke" est adapté du sulfureux Chuck Palahniuk, auteur "Fight Club". Dans ce roman, l'écrivain mettait en scène les pérégrinations d'un accroc au sexe et les rapports tumultueux qu'il entretenait avec sa mère, internée dans une maison de retraite. Réalisé par Clark Gregg, l'œuvre possède néanmoins toutes les failles du premier long-métrage. "Choke" s'avère en effet être un essai assez déstructuré, souvent bâclé et inconsistant, comme une série d'actes mis bout à bout rendant l'ensemble bien sage au final. Gregg peine à rendre crédible et solide l'univers qu'il entend construire et cela se ressent au moindre geste. Pour incarner l'énergumène en question se trouve Sam Rockwell, que l'on croirait tout droit sorti "La Ligne verte". Sa prestation plate ne fait aucune étincelle et ne rehausse nullement le reste.
Film bien naze, qui n'a vraiment rien d'interressant malgré la présense de Sam Rockwell. Film en tout points mauvais a voir en accelerer. Seul la fin parvient a nous surprendre, mais le film peche trop pour qu'on puisse s'y attarder. A éviter de toute urgence...
Malgré son sujet scabreux le film n’est pas particulièrement choquant, il est juste déroutant tant il développe une thématique et une ambiance très particulières. Mais j’ai eu du mal à rentrer dans cette histoire qui, si elle est originale et décalée, ne parvient que rarement à être drôle ou même intéressante.
Vraiment idiot... Le côté un peu décalé n'arrange rien à l'affaire. J'ai trouvé ça débile et sans intérêt, malgré la présence de bons acteurs. Par l'auteur de Fight Club? Ouais, et ben on est très loin derrière le niveau....
Après le génial Fight club, je m'attendai à un super film, chocant, subversif, anti conformiste, politiquement incorrect... mais malheureusement c'est seulement creux. Néanmoins Sam Rockwell et l'ensemble du casting sont très bons.
Deuxième adaptation au cinéma d'un bouquin de Chuck Palahniuk (moins percutant que Fight Club). C'est caustique et vulgaire (mais ça fait du bien des fois), des dialogues nihilistes. Réalisation pas très inspirée mais sympa tout de même.
Une adaptation d'un bouquin de Chuck Palahniuk qui ne fait forçément pas le poids face à un "Fight Club" mais qui se défend admirablement grâce à l'énergie de Sam Rockwell et à un refus de verser in extremis dans la bonne vieille morale américaine souvent de rigueur dans ce genre de film.