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Un visiteur
2,0
Publiée le 17 novembre 2012
C'est très long ! L'amitié et l'amour donne une très mauvaise influence. Seul le casting donne un tout petit peu d'âme à ce film insipide par peu; (heureusement) ! Cela aurait pu être très intéressant ! Dommage !
Alors en fait il y aurait des gentils traders plein d'humanité et de science infuse, en lutte contre des méchants traders, les seuls véritables parasites. Tout ça pour une pauvre pub pour Heineken. Voyez plutôt "Inside job" et "Margin call".
Oliver Stone reprend dans ce Wall street 2010 son personnage de 1987 : Gordon Gekko, mais ce dernier n’est plus le personnage principal il laisse la place à Jake Moore, passage de relais qui signifie la fin de l’époque des yuppies que représente Gekko par celle de traders d’une nouvelle génération. Mais au final le film nous fait nous interroger sur ces nouveaux rois de Wall Street, sont ils au final si différents de leurs aînés qu’ils semblent le croire où la soif d’argent (la cupidité si bonne pour Gekko) est-elle toujours le moteur de leurs actions. Sur fond de crise des subprimes en gestation Stone battit un drame où le système Wall Street est disséqué dans une intrigue à plusieurs étages où Gekko reste toujours un manipulateur de grande classe. Cette dissection des mœurs de la haute finance ne se fait pas sans l’utilisation de son jargon et l’exposition de ces rouages, et là malheureusement je pense que beaucoup de spectateur ont dû être, comme moi du reste, passablement égaré tant les concepts économique tiennent plus de mathématiques de pointes que de la gestion bancaire à papa. Du coup si l’intrigue reste passionnante, les subtilités qui soutiennent les discussions ente Gekko et Moore restent souvent absconses. Le film est porté par une série impressionnante de bons comédiens dont Josh Brolin qui, il faut le signaler, se bonifie dans son jeu avec l’âge. Un très bon film qui ne sacrifie pas à la critique de Wall Street ni ces personnages ni son intrigue et qui fait passer un très bon moment, à ne pas rater
Une assez bonne deception ! Je n'attendais pas beaucoup de cette suite mais j'esperais une bonne suite mais helas... Micheal Douglas est loin d'etre en forme dans ce film ! il manque cruellement de punch , qu'il avait dans le 1er film ! Shia Labeouf n'est pas exptionnel ... Trop de longeurs ... Et scenario a la limite bacle ! Bref . regarde le 1er et limitez-vous a celui la !
Bonne réalisation mais cette suite est t - elle aussi bien que Wall Street Premier du nom ? Je dirais que non à titre personnel. Il n'empeche qu'il reste bien sympa à voir si on a vu le premier film .
Une honnête suite à ce film des années 80. L'interprétation énergique du personnage principal donne la force à ce film qui montre le monde de la finance de manière stéréotypée mais sans que cela soit trop gênant.
D'accord avec la moyenne des critiques...Très bon film, bien fait, entrigue bonne mais moyenne, et un sentiment de mièvrerie à la fin...dommage dommage...Pas assez critique, pas assez incisif, Geko a perdu ses dents, mais rien de son talent...Bref, un bon moment à passer, mais faut pas trop chercher la remise en cause du système là-dedans, bien qu'il y en ait plein d'indices...Je recommande
Wall Street: L'Argent Ne Dort Jamais c'est la suite du cultissime Wall Street et la surprises vient du fait que c'est une très bonne suite, Oliver Stone privilégie l'émotion à la tension, cette suite est plus classique, donc on ne peut qu'accrocher. Jamais ennuyeux et toujours efficace, Wall Street: L'Argent Ne Dort Jamais est un bon moment de cinéma, grand public, forcément moins dénonciateur et critique que son prédéceseur, le plaisir n'en est pas pour autant altérer, Oliver Stone signe un thriller classique, mais agréable. Le scénario est bon, toujours accrocheur et efficace, souvent prévisible, mais on ferme les yeux, les personnages sont simples, mais attachant, assez profond pour convaincre et surtout c'est un régal de revoir Gekko qu'on adore encore détester!, les acteurs sont très bons, Shia LaBeouf est parfait, Josh Brolin est bon, Michael Douglas est toujours juste (il fut nominé au Golden Globes du Meilleur acteur dans un second rôle, qu'il n'aurait pu gagné! la concurence était trop rude, Christian Bale dans Fighter, Andrew Garfield dans The Social Network, Jeremy Renner dans The Town, Geoffrey Rush dans Le Discours d'un roi), Carey Mulligan est très bonne, Susan Sarandon est magnifique, Eli Wallach et Frank Langella sont fantastiques (Wallach 94ans à la sortie du film est impressionant), l'apparition de Charlie Sheen est géniale, la mise en scène est sobre, il y a tout de même plein de bonne idée, les dialogues sont malins et parfois très drôles, la photographie de Rodrigo Prieto est superbe, Craig Armstrong signe une B.O. efficace et sympathique. Wall Street: L'Argent Ne Dort Jamais ce n'est jamais long malgré les 133 minutes qu'il dure, même lorsque qu'il est prévisible il n'ennuie pas. Oliver Stone nous offre une suite réussie, moins critique mais plus divertissant, son film est un régal. Wall Street: L'Argent Ne Dort Jamais c'est sympathique, rythmé, accrocheur, classique, divertissant et surtout c'est extrêmement efficace. À voir et à revoir.
Un deuxième opus bien sympa, même si il reste moins bien que le premier volet. L'histoire reste dans les mêmes tons tout en variant l'intrigue principale. Cependant on reste sur une sensation de non-fin a la fin du film. La prestation de Douglas reste a la hauteur du premier, et celle de LaBeouf est toujours aussi surprenante que pertinente. Le petit caméo de Charlie Sheen est bien sympa également.
Un film que j'aime bien. Bonne réalisation et bonne musique. Un bon Michael Douglas. Un des défaults : comme tout film abordant ce sujet, quelques passages où on ne comprend pas grand chose quand on ne travaille pas dans la finance. Est-ce qu'il est aussi bien que le premier ? Pas sûr
Le premier film était une tuerie, un presque chef d'oeuvre, du niveau d'un Enfer Du Dimanche, un très bon film. Cette suite en prend le chemin pendant presque deux heures durant.
Shia LaBeouf remplace l'excellent Charlie Sheen (qui revient pour une excellente apparition, assez pessimiste quand même), Michael Douglas est égal à lui-même, un des meilleurs acteurs de sa génération, reprenant LE rôle de sa carrière, le toujours fourbe et sympathique Gordon Gekko, encore en grande forme et les très bons Josh Brolin, Frank Langella & Eli Wallach. Alors qu'on aurait aimé voir John C. McGinley, on a à sa place les charmantes Vanessa Ferlito et Natalie Morales. On ne perd donc pas au change. La musique de Craig Armstrong, agrémentée des chansons originales de Brian Eno et David Byrne, au top de leur forme est parfaite.
Oliver Stone, en plus d'apparaître encore une fois à la manière d'un Hitchcock, montre qu'il est un des trois meilleurs réalisateurs de sa génération, point de vue technique. Ce film est un manuel de technique cinématographique. Image parfaite, photo parfaite, numérique parfait, montage à se damner... Alors qu'est-ce qui cloche dans ce film parfait jusque là? Une vraie fin. Alors qu'il peut finir son film magnifiquement (Gordon Gekko achetant ses nouvelles chaussures), Oliver Stone nous sert une sorte de happy end totalement nauséabond. Alors qu'il avait évité les poncifs du genre une troisième fois, il se plante totalement sur la fin et gâche alors tout ce qu'il avait entrepris. Heureusement, le souvenir des deux premières heures reste fort.
Un 3 serait prévu, encore avec Gordon The Gecko et Josh Brolin. J'attends avec impatience.
Le monde de la finance est décidement un univers qui m'est totalement étranger. Je ne suis jamais rentré dans l'histoire. C'est loin de tous mes centres d'intérêt. Regarder ces gens se regarder le nombril et compter leurs billets ; très peu pour moi. Je n'ai eu aucune empathie pour les personnages et forcement je me suis endormi... et je n'ai pas réussi à aller au bout (et ça m'arrive 1 ou 2 fois par an, C'est dire comment j'ai aimé).
Déjà qu'il se passait pas grand chose et qu'on comprenait rien. Mais y avait peut-être rien à comprendre. Il a fallu que ça tourne à la guimauve la plus indigeste vue depuis un bail. D'un moralisme à toute épreuve. On sait que Oliver Stone n'a jamais fait de politique mais surtout beaucoup de moralisme mais là, c'est le pire.
Oliver Stone déçoit par la suite d'un grand film qui s'avérait pourtant bonne. Les acteurs ne sont pas forcément bons et nous ont déjà habitués à des rôles largement meilleurs. Pour ce qui est des décors, rien n'est vraiment éblouissant et on regarde le long-métrage avec un visage impassible. Par ailleurs la BO ne fait en aucun cas ressortir les émotions du film et s'avère même parfois mal choisie ce qui va contribuer à nous ennuyer. De plus le scénario se trouvait au premier abord assez intéressant mais ce n'était qu'un premier abord car il est en réalité ennuyeux et traîne en longueur à tel point que l'on se demande si regarder le film en accéléré ne serait pas mieux. Oliver Stone nous déçoit également par une façon de filmer saccadé qui laisse son film en suspens et laisse des pauses dans le long-métrage qui n'aurait pas du avoir lieu. En bref Wall Street : l'argent ne dort jamais ne se trouve pas être aussi bon que son prédécesseur et nous laisse même de marbre devant le nombre de défauts présents dedans.