Derniers Avis : Wall Street : l'argent ne dort jamais - Page 27

pas franchement terrible,rien a dire sur les acteur,mais l'histoir est un peu alambiqué,on c'est pas trop ou l'auteur veut allé,il se regarde certe jusqu'au bout,mais on ressort de la salle pas forcément ravie,pour les amateur du genre je pense.

deja il y'a l' insupportable Shia Labeouf, on y comprend rien , on s'ennuie
j'ai l'impression qu'ils se sont autant ennuyé a le tourner que moi a le regarder... Je précise que je voulais pas aller le voir, on m' y a trainer mais je n'ai pas été déçu un film soporifique prétentieux et vain

Très décevant !

TRES TRES TRES MAUVAIS. Tout est nul, archi nul.Tout sonne faux,même la BO est nian-nian. Une série Z fait mieux que ça!! Amateur d'Economie, d'information, de bons moments , passer votre chemin.

Moins 5 étoiles

J'ai failli donner 4 étoiles au lieu de 5 mais la prestation de Shia Labeouf vaut bien la note maximale!
Son talent et son charme donne tout son cachet au film!
Par ailleurs la mise en scène est remarquable! La beauté des images sur certains plans est à couper le souffle et cela fait bien longtemps que l'on attendait ça!

Deux ans après le krach boursier, Oliver Stone cinéaste férue d’histoire signe un film que l’on préfèrera rapidement oublier . Fresque financière guère passionnante, « Wall Street 2 » déconcerte par une réalisation qui oublie l’essentiel et se perd dans un montage survolté, associé à quelques originalités formelles mal venue. A l’évidence Stone à voulue calqué sa mise en scène sur le thème boursier, l’intention est certes louable mais le résultat se révèle repoussant. Métaphore du système capitaliste, la faiblesse scénaristique frappe par ses lourdeurs démonstratives. Suivant la courbe d’un Krach financier la qualité du film s’effondre à mesure que l’intrigue avance. La catastrophe arrive avec la fin, sorte de produit convenue . Au passage, on aura eu le temps de trouver le fond fastidieux et de s’énerver contre autant de facilités formelles et scénaristiques débouchant sur de risible situations de déjà-vus. Dans ce faux pas aucun comédien n’arrivera à tirer son épingle du jeu. On était en droit d’attendre mieux de la part d’un film de Stone. Car si il n’est peut être pas un grand réalisateur, sa direction d’acteur à souvent été irréprochable permettant notamment d’assister à une des rares belles performances de Tom Cruise à l’occasion de « Né un 4 Juillet » En revanche on ne pourra pas reprocher l’utilisation d’un vocabulaire économique il est vrais perturbant par moment mais nécessaire. Espérons tout de même qu’Oliver Stone à finit sa crise et connaisse une reprise cinématographique lui qui par le passé à déjà prouver qu’il pouvait faire mieux.

Vraiment déçu du film. Un rythme beaucoup trop mou. Il est super long à devenir quelque peu intéressant. Une histoire un peu niaise entre un père et sa fille…

Je suis a moitié heureux et décu . Rien que l'affiche du film me fait baver , en pensant fortement a ce film qu'était Wall Street a l'époque . Gordon Gekko , cette homme si froid avec ses répliques tellement cultes . Bud Fox , le jeuno qui démarre et qui devient riche échelon par échelon , toute cette époque du style lever de soleil sur Manhattan sous fond de Franck Sinatra , tellement yuppies . Je jubile rien qu'a l'idée d'avoir un deuxième opus . Mais Oliver Stone a changé , ses films aussi . Finit l'ambiance yuppies et cocaîne , place a la modernité ! Shia LeBoeuf dans le rôle titre pour "succéder" a Charlie Sheen . Michael Douglas reprend son rôle de Gekko . Bref , un casting assez prometteur avec Eli Wallach , Josh Brolin , Franck Langella etc ...Le scénario est basique , rien de vraiment surprenant a ce niveaux . Quelques petits rebondissement par ci par là mais dans l'ensemble c'est du vu et du revu . Le style a bien changé et ca se voit nettement , avec un autre style de filmer , une autre profondeur , des plans plus large et j'en passe . Le "style" du premier ne revient pas dans ce 2ème opus et c'est là son point faible . Seul Michael Douglas apporte un peu de richesse a l'histoire . Car le film est basé sur la crise financière de 2008 . Le début du film est ennuyeux je trouve , ca peine a trouver un rythme , un souffle . On assiste tout de même a de bon effet de "transition" . Oliver Stone a une obsession dans ce film , c'est les buildings . On en mange a tout va . La courbe de la bourse est mise en valeur de manière très habile . La réalisation nous offre un spectacle haut en couleur et en chiffre . C'est coloré , net et précis . Ce que je retient de la mise en scène , c'est la facilité a nous transporter dans un monde où le fric est omniprésent , bijoux de luxe , gadget high-tech etc .... Ce film denonce (un peu) le capitalisme américain . Je ne m'y connais pas assez pour en parler mais en tout cas , Stone n'a pas décroché du 11 septembre , le bougre nous incruste 2-3 références a ce tragique événement . Avec World Trate Center , W et Wall Street , Oliver Stone nous a pondus une trilogie spirituelle sur le 11 septembre . Bref , le film nous montre tout est permis dans le monde de la finance , encore une fois . Quand aux personnage , Gordon Gekko a vieilli est on perd un peu en crédibilté sur l'histoire , malgré que Michael Douglas se donne a fond dans ce rôle de salaud en pleine rédemption . La première partie du film est ennuyante et on sens le pêtard mouillé de Stone encore une fois . Mais (car il y a toujours un mais) la deuxième partie nous replonge dans le monde de la finance pur et dure , où tout les coups sont permis . Les fan du premier adoreront le "twist" de Gordon Gekko (pour ne trop en dévoiler) . Malgré la fin , vraiment naïve et fade . Je ne pense pas a un 3ème opus . Le film est vraiment spéciale car certaine scène peuvent être ennuyante au possible mais par moment , le rythme s'accélére et on se fait plaisir . Et puis ca perd en intensité et puis ca revient . Bref , le film est comme je le dirais bien , une courbe . Oui , une courbe comme a la bourse qui est en hausse sur certaines scène et qui redescende sur d'autre . Il n'y a pas de force du film car en fait les seuls moment où j'ai vraiment pris mon pied , c'est dans toute les références au premier , plein de clins d'oeil au premier sont là . Comme le fameux caméo de Charlie Shenn , énorme scène qui m'a vraiment fait plaisir . Ce bon vieux Bud Fox qui revient le temps d'un passage assez drôle . On retrouve aussi l'agente immobiliaire qui conseille Bud Fox pour l'achat de son appartement , bref plein de petit et de gros clins d'oeil . Ce Wall Street 2 mêrite quand même d'être visionner . Le film est quand même très orienté amour et couple . Le genre de film que je n'apprécie pas et je trouve que ca gâche justement le film . Après ce qui aime les films d'amour seront servie car l'intrigue se joue en grande partie sur ca . Le point faible de Wall Street 2 est de privilégier l'amour que la finance . Dans le 1er (encore une fois) , le film nous montrait l'envers du décor sans nous sortir une histoire d'amour très recherché . Par contre , l'amour DE la finance , il y en a dans le film . Le couple Shia Leboeuf - Carey Mulligan fonctionne bien . Le "méchant" de l'histoire passe inaperçue a l'écran mais a quand même une bonne gueule . Pour finir , la bande-son est moyenne , sans grande conviction , quelque musique par là sont distrayante mais bon . Là où j'ai vraiment apprécier , c'est la musique du générique de fin , qui va vous rappelez des souvenirs du 1 . On repart donc "joyeux" du film , en pensant que ça se termine comme ça , et c'est tant mieux . En fin de compte , Oliver Stone nous a servis une oeuvre divertissante pour le grand public qui n'ont pas vu le premier . Mais les fan du 1 vont être déçu . En fin de compte , qui est réellement méchant ? Oliver Stone , Gordon Gekko ? Le seul vrai méchant présent est l'argent .

Gordon Gekko, sorti de prison, est de retour. Et l'ancien requin de la finance semble s'être assagi, témoignant l'envie de renouer avec sa fille qui sort avec le jeune Jacob Moore, jeune trader avec une certaine éthique, loin de le faire ressembler à Gekko ou même à Bud Fox. Moore et Gekko apprennent donc à se connaître alors qu'une crise financière vient secouer Wall Street et que Moore a une vengeance personnelle à accomplir... Première suite que réalise Oliver Stone, renouant alors avec l'un de ses personnages cultes, "Wall Street : l'argent ne dort jamais" est plus proche du drame familial que du thriller et la critique acerbe qui faisait le sel de "Wall Street" semble s'être évaporée au profit d'une certaine humanisation. Certes, Stone pointe du doigt tout ce qui fait tourner les rouages de la finances américaine à grands coups de magouilles, de tirs dans les pattes et de manipulations mais alors que le premier film était prophétique, celui-ci ne nous apprend pas grand chose de nouveau et le cinéaste assure le minimum syndical niveau réalisation, calmant son hystérie pour quelque chose de plus posé. Même s'il est assez faible en terme de dramaturgie et qu'on attendait mieux de toutes les intrigues à moitié tissées dans le scénario, le film reste suffisamment divertissant pour que l'on s'y attache, notamment parce que Michael Douglas n'a rien perdu de sa niaque en Gordon Gekko, que les seconds rôles sont assez réussis (Josh Brolin, Frank Langella et même Eli Wallach) et que Shia LaBeouf s'en sort plutôt bien dans le rôle principal.

Vaut le coup d'être vu, ne serait-ce que pour les belles images de New York. Pas aussi bien que le premier volet, mais la barre était si haut placée...

Wall Strees : l'argent ne dort jamais ce thriller financier est une satire mordante du capitalisme. Ce conte de fées pour adulte révant de grsse fortune vont en prendre plein le mirettes avec des dialogue très affutés. Nous sommes ici dans la jungle de la haute finance où seul les roublards survivent. ou presque...

Plus de 20 ans après Wall Street, sa suite n'a plus le même mordant, ni la même superbe immoralité, quoique ... L'époque a changé, la crise est passée par là, Michael Douglas et Oliver Stone ont pris de la bouteille, ce dernier ne se serait-il pas un peu assagi, par hasard ?
La description du Wall Street d'aujourd'hui vaut tout de même le déplacement, ne serait-ce que pour quelques explications bien senties et documentées sur le fonctionnement de l'économie mondialisée et des drogués à l'adrénaline que sont les traders. Le personnage du méchant de l'histoire, incarné par un Josh Brolin impressionnant, est croustillant à souhait.
C'est un théâtre de marionnettes que ce microcosme-là, qui joue avec l'argent comme des enfants à la marelle, et Oliver Stone, dont la mise en scène virevoltante reste efficace, s'en moque avec ironie autant qu'il la flingue à bout portant, un rien désabusé tout de même.
Michael Douglas, un poil moins charismatique que dans le passé, l'âge, que voulez-vous, assure l'essentiel et semble bien se divertir, lui aussi. On regrettera cependant le mélange des genres, la description de ses rapports difficiles avec sa fille amollissant quelque peu le propos. Même remarque pour les amours de cette dernière avec un trader nouvelle génération, qui sentimentalise le film et en déplace l'intérêt.
Moyennant quoi, ce Wall Street 2 se présente comme un divertissement honnête, avec quelques moments brillants et un rythme soutenu. Pas de quoi grimper aux rideaux mais, signe des temps, le slogan Greed is good ne s'affiche plus avec la même arrogance qu'il y a 20 ans. Bien que, même si plus discrètes, la cupidité et le cynisme continuent de mener le monde.

J'y allais à reculonsavais tord! On passe un exellent moment, seul reproche la fin qui est un peu trop jolie à mn goût! Shia Labaouf remonte dans mon estime quand Michael Douglas il a toujours autant classe!

Wall Street : un jeune trader, Jacob Moore, est prêt à tout pour venger son mentor, que d'obscures tractations financières ont poussé au suicide. Il demande de l'aide à Gordon Gekko, le meilleur - et le pire - des gourous de la finance, qui est sorti de 8 ans de prison pour délit d'initié. Jacob va apprendre à ses dépens que Gekko reste un maître de la manipulation, et que l'argent ne dort jamais -ou plutôt, et je cite, que l'argent est une putain jalouse qui peut rapidement déserter le lit-.

Les moins : Les termes financiers sont incompréhensibles pour les non initiés, ce qui fait que la partie financière reste assez obscure, c'est agaçant. Quelques longueurs, une histoire d'amour un peu niaise, et le film aurait pu être plus incisif.

Les plus : Shia LaBeouf, en jeune trader presque honnête aux dents longues, Michael Douglas, en manipulateur charismatique et cynique néanmoins pourvu d'un coeur -enfin parfois-, Carey Mulligan, en jeune femme à vif, Josh Brolin, en salopard, Susan Sarandon, en mère profiteuse, sont tous excellents. Le personnage de Winnie, cependant parfois un peu faible, apporte un peu de fraîcheur dans une histoire assez sombre et celui de Gekko amène l'humour. Les plans de New York sont superbes, la B.O, certes inégale, est agréable et colle au film. Le scénario est prenant, intéressant, montrant les tractations du milieu de la finance, quelques trouvailles graphiques symboliques (les courbes, les bulles).

Ma note : 8/10

Michael Douglas est excellent. Certes le scénario aurait pu être plus léché. Pour autant si certain le trouve complexe c'est volontaire car il faut toujours donner un air sérieux a la règle de base en finances qui est que
les moutons ont les tonds.