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Un visiteur
2,0
Publiée le 19 mars 2017
Quelques bonnes scènes mais c'est vraiment en dessous du Wall Street de 1987. Un documentaire aurait été bien mieux que ce copier coller du premier volet avec l'ajout du drama amoureux/familial. Vraiment longuet et inintéressant.
Une suite du célébre film culte , qui manque un peu de tonus.On a l'impression que Oliver Stone tourne un peu en rond, il n'apporte rien de bien nouveau. Michael Douglas est bien sûr impeccable et on a plaisir à le retrouver, Shia Leboeuf est bien aussi, mais le scénario manque d'imagination.
Ce film est en fait une comédie romantique. Il s'est inspiré ou il traite très mal la crise économique des subprimes de 2008. Le plan Paulson et la liquidation de Lehman Brothers sont à peine relatés. Tout ce qui concerne la finance est très superficiel, les discours sont plats et les actions spéculatives sont confus. Rien à voir avec le film : Le loup de Wall Street qui est bien meilleur. Il reste alors le thème de la relation père-fille et un conflit amoureux. Ceux-ci sont bien joués mais on a en rapidement assez vu.
Moins prenant, moins rythmé et surtout moins incisif que le premier film, cette suite est trop lisse. On ne retrouve pas l'esprit habituel du génial réalisateur de JFK.
il vient tout juste de passer à la télé, donc je prend le temps pour une petite critique.
Franchement, rien de fou, mais il se laisse regarder, dommage qu'il ne parle pas des Rockefeller our Rothschild, ça aurait été plus............divertissant :)
Quelques bons passages emmenés par Michael Douglas qui ne suffisent pas à donner de l'élan à cette œuvre où le spectateur reste sur sa faim avec un arrière goût d'inachevé.
Je gardais un très bon souvenir du premier film, mais cette suite n'aura pas droit aux mêmes honneurs. Le scénario est plutôt mince, les situations très convenues. Inutile de penser à se lancer sur les marchés financiers après le visionnage de ce film, vu la clarté des dialogues et autres détails techniques, vous y laisserez votre chemise. On a par ailleurs l'impression qu'Oliver Stone a oublié de diriger ses acteurs, les laissant assurer un service minimum. D'une idée assez fine on aboutit à un film un peu trop lourd, trop long d'une grosse demi-heure, sans tension réelle. Bref, à côté de la plaque.
Jake Moore est un trader à succès à Wall Street. Il vit avec Winnie Gekko, fille du célèbre Gordon Gekko qui a fini en prison suite à des malversations à la fin des années 1980. Quand ce dernier est remis en liberté, il se rapproche de Jake afin de se renouer contact avec sa fille qui ne veut plus le voir, et pour se venger, financièrement parlant, des personnes qui ont précipité sa chute à l’époque. Mais les intentions de Gordon se limitent-elles à cela ? Je n’ai pas revu le Wall street original de 1987 avant de voir cette suite du même Oliver Stone. Cela m’a probablement permis de ne pas avoir de grandes attentes quant à Money never sleeps, ce qui fait que je l’ai trouvé correct, quoiqu’un peu fouillis par moments. Le mystère Gordon Gekko est intéressant, les parties avec Josh Brolin le sont nettement moins. Je n’ai pas trouvé Shia Labeouf spécialement convaincant en trader surpayé qui a des objectifs écologiques. Carey Mulligan fait ce qu’elle peut, mais son personnage d’anti capitaliste qui sort avec un business man et vit dans un appartement de luxe est plutôt peu crédible. Et elle a des réactions d’enfant gâtée qui énervent ! Heureusement Michael Douglas et ses airs de mec qu’on ne peut cerner redresse la barre.
N'ayant pas vu le Wall Street des années 80, et n'étant pas un fervent admirateur du domaine de la finance, c'est un peu à reculons que je me suis lancé dans cette suite. Déçu par une mise en scène ô combien classique, par une intrigue banale et même par une interprétation plutôt pâle... Tantôt déjantée, tantôt soporifique, la filmographie d'Oliver Stone ne cesse de s'étoffer mais la qualité n'est malheureusement pas toujours au rendez-vous.
C'est pointu, le monde des requins est bien croqué, bien cadré par Stone et les acteurs sont convaincants, mais c'est au bout du compte la facette mélo omniprésente qui plombe l'ensemble. L'épisode un reste de loin le meilleur.
Très décrié à sa sorti, la suite de Wall Street, bon film de la fin des années 1980 porté par un excellent Michael Douglas, s'avère décevante. Ce dernier reprend son rôle de l'impitoyable Gordon Gekho et cette suite se devait de bousculer le monde de la finance, surtout à sa sortie en 2008, et malheureusement il n'en est rien, c'est terriblement plat et lisse et si Stone utilise beaucoup le vocabulaire de la finance, c'est très mal exploité. Il ne critique rien du tout et si le film n'est pas totalement désagréable, on se demande quelle est son utilité ? C'est dommage, il devait être pertinent, bousculé et dénoncé le monde de la finance mais c'est oublié que Stone a un peu perdu de son mordant depuis la fin des années 1990. Puis toutes ses situations familiales mal exploité ne sont pas franchement utile et il y avait trop de violons et de guimauve. L'ensemble n'est pas désagréable, on a vu pire, mais c'est une déception vu le sujet et le réalisateur. Michael Douglas et Josh Brolin sont en forme, tant mieux, mais ne sauve pas ce film très naïf que nous offre Oliver Stone.
Pas nécessairement fan d'Oliver Stone, il faut avouer que le film a un sacré prestige au niveau de sa réalisation. Le scénario étant sérieux et le casting somptueux (décidément, Shia LaBeouf est déjà taillé pour les rôles principaux!), le contrat est nécessairement rempli.
C’est difficile de faire une suite à un film pareil. Bon, il l’a quand même fait, et ça commence bien. Gordon Gekko sort de prison. Le monde ne l’a pas attendu, car le business n’attend pas. Ça se gâte vite, car tout de suite après, on a le clone de Bud Fox de Wall Street 1, qui s’amène, réincarné en un jeune trader le talentueux Shia LaBoeuf, (il a un nom à coucher dehors, quand même !), et on se demande si il n’essaie pas de nous faire du réchauffé. Le même film, Wall Street 1, qui ressemble à une suite qui n’en ait pas une, Wall Street 2. Et je ne sais pas si c’était une bonne idée de faire revenir Gekko, qui avait tout dit dans le film précédent, mais sans lui, sans Michael Douglas dans le rôle titre, je pense qu’il n’aurait jamais pût financer le film, Oliver, donc il était bien obligé. C’est visuellement beau, très clinquant, avec pleins d’effets, des surimpressions, images de synthèse, des écrans séparés, des dialogues fait sur mesure, on en a plein la vue, c’est séduisant comme une pub pour une voiture de luxe. Et le fait que Gekko cherche à retrouver l’affection de sa fille, nous fait chuter brutalement dans le mélo, je t’aime moi non plus, Où t’es, papa, où t’es ? Ça n’a rien à faire là, on est à Wall Street pas à Nothing Hill ! Le scénario est taillé sur mesure pour faire blockbuster, pseudo critique du monde de l’argent, une démonstration de mise en scène, mais il a perdu la force de conviction et les enjeux. Par contre, pour le spectacle de l’argent qui se regarde, dans un écrin de luxe, c’est top. Il me fait l’impression qu’il ne savait plus sur quel pied danser : Faire l’éloge ou la critique du système ? Il fait les deux en même temps. Bizarre.
Un bon film sur le monde de la finance. Michael Douglas est très convaincant en grand maitre de la bourse et le Shia Labeauf est pas mal non plus. On suit avec interêt l'évolution de leur relation et des stratégies qu'ils mettent en place. Le film est moins percutant que le premier mais se laisse regarder avec plaisir.