ce deuxieme volet a pour atout la presence du monstre cinematogrphique qui interprete gekko son realisateur hors pair un scénario tres biien ecrit et ds plan de new york asser manifique.plus simple que le premier sur le point de la finance le film a un visage plus humain ce qui rend la nature mechante de gordon encor plus effayante.Shia laboeuf est plus ou moin sincere dansson role bien que manipuler de toute part lorsqu'il se veut menacant nous n'arrivons pas a y croire ou tres peu cepandant sur interpretationt vis a vis des autres visages de son personages est remarquables.Oliver stone nous a fait une suite asser bonne ou le thème est frais dommage que Douglas ne soit pas asser présent et le monde de la finance pas aussi explorer que lors du premier
Manipulation, trahison, cupidité, corruption .... tels semblent être les mots d'ordre de la Bourse et du système bancaire libéral. Quelques répliques bien affûtées sur les responsabilités dans la crise financière de 2008 : la Spéculation dont un très petit nombre a bénéficié et dont le plus grand nombre a souffert. Une description assez fine des magouilles et montages financiers pour des rentabilités à 2 chiffres à très court terme. Le film reste néanmoins silencieux sur l'inaptitude de la sphère politique à contrôler les abus du système financier ..... politiques qui ont sauvé les banques grâce aux fonds publics : l'aberration du système libéral dans toute sa splendeur. Une définition de "l'aléa moral" qui n'est pas sans rappeler le "responsable mais pas coupable" de la vie politique française. Mondialisation, globalisation!!!!! Une interprétation sans faille de Michael Douglas en vieux lion financier "assagi" par la prison. Shia LeBeauf surprend en jeune loup aux dents très longues qui préfère la vengeance rapide au plat froid. Un bon moment malgré quelques longueurs et un happy end à l'américaine.
Bon film, bien réalisé. Suit bien la chronologie de la crise 2008, sous condition qu'on la connaisse avec la faillite de Lehman Brothers d'abord sous un autre nom, quelques touches d'humour. On ne s'ennuie pas. à ne pas manquer.
Très interessant, je n'ai pas été déçu à part quelques attentes non traités qui auraient été pas mal comme les subprims (évoquées assez brievement) ou les grands noms de la finance comme Lehmans brothers (pas du tout évoqué).Quelques termes sont cependant à connaitre avant, si vous ne savez pas ce qu'est wall street, c'est meme pas la peine d'aller voir le film.
"Vous n'êtes pas mon mentor" : non, ceci n'est pas une déclaration pleine de morgue de François Fillon à notre bien-aimé président Nicolas Sarkozy mais un coup de gueule du jeune Shia LaBeouf à l'encontre d'un financier véreux qui cherche ici à lui faire bien des misères. Eh oui, c'est à nouveau l'argent qui est au centre de ce film d'Oliver Stone, à l'heure où le monde est toujours empêtré dans la pire crise connue depuis 1929 déclenchée par ces fameux produits toxiques que sont les subprimes. Un prétexte pour le réalisateur pour donner en quelque sorte une suite à son "Wall street" et retrouver son machiavélique mais charismatique personnage interprété par Michael Douglas. Rassurez-vous, on revoit aussi Charlie Sheen lors d'une scène clin d'oeil, entouré de deux belles plantes en hommage certainement à son passé (et peut-être présent) d'amateur de call-girls. Si l'on peut reprocher l'aspect par trop didactique de l'entreprise du réalisateur qui passe beaucoup de temps à nous décrire cette crise que nous traversons, il est plaisant de voir cette lutte acharnée pour l'argent où tous les coups tordus sont permis, même sur la famille. Ca fait en outre toujours plaisir de voir le sympathique Michael, même s'il a des dents qui rayent le parquet et qu'il a une fois de plus du mal à assumer son rôle de père, comme auparavant dans "King of California". A ses côtés, Josh Brolin que l'on avait déjà vu récemment devant la caméra de Stone (souvenez-vous, il incarnait un célèbre président des Etats-Unis) est lui aussi un requin de la pire espèce. Et malheureusement, ces carnassiers non plus ne dorment jamais.
Ce film nous fait juste comprendre que wall street embauche que des juifs tout simplement ! Le reste c'est pas mal mais beaucoup trop lent ! L'actrice est non seulement moche mais Nullissime ! C'est rare a Hollywood !
Oliver Stone réalise plus de vingt ans après la suite de son célèbre Wall Street (1988), dans lequel Michael Douglas reprend son rôle titre (rappelons qu'il avait obtenu l'Oscar du Meilleur Acteur avec son rôle de Gordon Gekko). Face à lui, la nouvelle génération, à savoir Carey Mulligan & Shia LaBeouf. Ce qui est sûr ici, c'est que le film est surtout destiné aux amateurs du monde de la finance, tant les termes d'argent, de bourse, de spéculation et tant d'autres nous sont rabâchés tout au long, au point de finir par perdre le spectateur dans les méandres de la linguistique financière. Le scénario quant à lui n'a rien de très extraordinaire, mais aussi étonnant que cela puisse paraître, on finit par totalement y adhérer, grâce à une mise en scène soutenue, captivante, une qualité photo soigneuse et des acteurs intéressants. Un thriller financier au goût du jour (puisqu'il y est question de subprimes et de krach boursier) mais dont le traitement laisse à désirer plus d'une fois.
C'est rigolo... Peut-être ai-je vu le premier trop jeune? Peut-être que quand je l'ai vu dans les années 90 en cassette, ça puait déjà les années 80? Peut-être que j'en avais rien à foutre du monde la finance? Mais je m'étais fait grave chier!! Pour le deux, les critiques sont en gros assez mauvaises. Ils disent que ça parle presque pas de finance, qu'on se concentre trop sur la relation entre Shia LeBeouf et sa meuf mais moi j'ai aimé!! Je trouve la mise en scène super (moi au contraire des critiques pro, si le montage est un peu nerveux, que le réalisateur insère des idées rigolotes comme les tableaux qui se forment avec les buildings de New York, je trouve ça cool). Les comédiens sont bons voir très bons! Shia LaBeouf en tête. Et l'histoire qui se situe à peu près au moment de la crise m'a intéressée. Les passages sur la finance, j'ai rien compris mais j'ai aimé. Les passages sur la love story, c'est au départ pas forcément mon truc mais j'ai aimé. Et même si bien sûr, tout n'est pas parfait, l'histoire est peut-être pas vide mais pas super remplie, moi j'ai passé un très bon moment devant ce film...
Scénario bien ficelé, des acteurs crédibles, pas de grands moments cul-cul-la-praline (au contraire même, ce qui est étonnant pour un Oliver Stone), un BON film du cinéma made in US.
Film pesant, qui ne se raccroche à rien de vraisemblable. L'économie y est traitée comme un simple jeu pour enfants de 10 ans, on flotte entre des péripéties dont le seul but semble de nous faire passer le 2H11 de film. Décevant par rapport au culot et à la maîtrise de "W" du même réalisateur. On sent ici le film-commande à plein nez...